sociologie
Appel à contributions
Avant le 15 janvier 2012 - Bordeaux
En sciences humaines et sociales, le rapport des chercheur.e.s à leur objet d’étude se pose à tous les stades de la recherche qualitative : définition de l’objet d’étude, accès au terrain, construction de réseaux, déroulement de l’enquête, retour sur le terrain.
Workshop
9 septembre - Genève
dans le cadre de la 10ème conférence de l’European Sociological Association (ESA) et de la session finale de l’Ecole doctorale romande en Etudes Genre.
Dans cette somme, le chercheur retrace l’histoire des militants abolitionnistes, venus de tous horizons, et dont la "croisade" s’avère tout aussi tumultueuse et riche en rebondissements que les combats des prostitué(e)s pour leur émancipation.
EHESS
Ce séminaire entend proposer quelques pistes pour mettre en œuvre une sociologie du désir. Sans prétendre prendre en compte toutes les formes de désirs, il s’inscrit dans une tradition féministe d’analyse critique des relations intimes, conjugales et sexuelles.
Dans différents contextes, le genre se trouve aujourd’hui placé au centre de la promotion d’identités nationales dites démocratiques, libérales et/ou progressistes. Pour montrer comment ces reconfigurations s’opèrent, ce dossier s’intéresse à trois univers professionnels et/ou associatifs articulant les hiérarchies de genre, de classe, de race et d’appartenance nationale : un centre de rétention pour étrangers en Allemagne (Mathilde Darley), une entreprise multinationale implantée en Arabie Saoudite (Amélie Le Renard) et une ONG oeuvrant pour l’égalité hommes-femmes au Tadjikistan (Lucia Direnberger).
Première année : Love, etc.
EHESS
Ce séminaire entend interroger le « tournant affectif » (affective turn) que les sciences sociales auraient opéré depuis le milieu des années 1990, et la place renouvelée qu’occupent les émotions et les sentiments dans la compréhension du social. Pour sa première année, le séminaire se concentrera principalement sur l’amour et articulera différentes approches : une lecture critique, inspirée des théories féministes et queer, visant à penser les rapports de pouvoir qui le traversent et le constituent
Avant le 30 juin - Toulouse
Penser, dire et représenter la séduction s’avère être beaucoup plus complexe qu’il ne paraît, car la séduction n’est pas un concept. Cette compagne ordinaire de notre quotidien aux mille visages, participe directement à la création du lien social. Les manifestations plurielles de la séduction font qu’il n’est pas toujours simple de discerner ce qui relève d’un phénomène auquel nous nous sommes habitués, de l’exceptionnel perçu comme une source d’intérêt nouvelle qui focalise notre attention, s’insinue dans nos esprits et fonde nos désirs. Si la séduction est difficile à définir, son rapport au désir l’est probablement davantage encore.
Plus sensibles en France à la dimension de la classe et de l’origine des acteurs de l’enquête, les approches méthodologiques en sciences humaines ont jusqu’aux années 2000 négligé celles du sexe et de l’orientation sexuelle. La dimension sexuée des interactions retient cependant davantage l’attention que par le passé.
Dans différents contextes, le genre se trouve aujourd’hui placé au centre de la promotion d’identités nationales dites démocratiques, libérales et/ou progressistes. Pour montrer comment ces reconfigurations s’opèrent, ce dossier s’intéresse à trois univers professionnels et/ou associatifs articulant les hiérarchies de genre, de classe, de race et d’appartenance nationale : un centre de rétention pour étrangers en Allemagne (Mathilde Darley), une entreprise multinationale implantée en Arabie Saoudite (Amélie Le Renard) et une ONG oeuvrant pour l’égalité hommes-femmes au Tadjikistan (Lucia Direnberger).
Thèse
26 janvier 2012 - Luxembourg
À partir d’une recherche ethnographique réalisée sur les lieux de prostitution de rue dans le quartier de la gare à Luxembourg, la première partie de la thèse propose une analyse des situations de prostitution qui se focalise sur les contraintes et les ressources avec lesquelles composent les personnes qui se prostituent dans l’espace public.