corps
11 avril
Poursuivant ses travaux et ses recherches sur la place de la femme en situation de handicap dans la société, notamment la maternité (Colloque « Être mère autrement » – 2007), la venue de l’enfant différent (Colloque « Le fœtus, une personne ? » - 2009) et la sexualité (Conférence-débat « Corps sexués & Handicaps » - 2013), l’association Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir - FDFA propose un colloque sur le corps de la femme singulière.
12 décembre - Paris 3
Strasbourg
Projet scientifique soutenu par le Conseil scientifique de l’Université de Strasbourg, la FRE 3578, l’UMR 7044 et l’Institut du genre (CNRS).
Colloque Arpège
1er et 2 décembre - Toulouse 2
La tradition philosophique pratiqua longtemps la scission entre corps et esprit, sur laquelle s’est érigée la pensée de la « différence des sexes ». Dès la fin du XVIIIe siècle, Mary Wollstonecraft souligne pourtant le caractère socialement construit et hiérarchique de la « féminité », et un siècle plus tard, Kierkegaard, Nietzsche et Freud développèrent une critique de ce dualisme rigide, juste avant que la phénoménologie (Husserl, Heidegger, Merleau-Ponty) puis Foucault et Lacan n’ébranlent définitivement cette tradition.
Avant le 15 avril - Nancy
Avant la parution, en 2005, de la grande encyclopédie en trois volumes sur L’histoire du corps, dirigée par Alain Corbin, Jean-Jacques Courtine et Georges Vigarello, l’histoire de la perception du corps humain, en particulier le corps masculin, a longtemps souffert, auprès des chercheurs en sciences humaines et sociales, d’une désaffection injuste.
Avant le 30 juillet - Paris
Depuis une vingtaine d’années, il est admis que le vieillissement ne se réduit pas à la dégradation physiologique, tout comme la vieillesse n’est pas synonyme de maladie. Les sciences humaines et sociales sont à l’origine de ces changements de paradigmes. Ces disciplines insistent, par exemple, sur le fait que le vieillissement est un processus tant biologique que psychologique ou social (Lock, 1993), qui affecte l’ensemble des mondes sociaux (travail, famille, santé, loisirs, etc.) (Caradec, 2001, 2004 ; Lalive-d’Epinay et al., 2008).
L’armée, l’école et le pouvoir politique sont connus pour avoir fait évoluer les usages de l’exercice corporel, cependant la part de la médecine et des sciences reste encore relativement inexplorée. En effet, si la participation des médecins dans la formulation d’une « éducation du physique » ne fait pas mystère, elle constitue un processus difficile à appréhender et les formes de l’engagement médical demeurent floues et méconnues.
Journée d’études
25 mars - Toulouse 2
Traditionnellement investi par les historiens de l’art, l’objet image est devenu, depuis quelques décennies, transversal aux sciences humaines et sociales qui s’en sont emparées pour le mettre en perspective avec leurs propres problématiques. Multipliant les angles d’approche, ces travaux ont contribué à apporter un éclairage inédit sur la question du genre et le rapport au corps.
9 décembre - Lausanne
Les doyen·ne·s de six facultés de l’Unil on participé le 19 mars dernier à la table ronde inaugurale de la PlaGe, intitulée Genre et interfacultaire : quels défis ? Au cours des discussions, un certain nombre de questionnements ont surgi autour de l’interdisciplinarité du genre, entre chercheur·e·s en sciences humaines et sociales d’une part, et en sciences naturelles de l’autre. La PlaGe se propose donc d’entamer un dialogue autour du corps.
Soutenance de thèse
15 novembre 2011 - Université Paris-Est Marne-la-Vallée
A travers l’intervention des technologies numériques (films/vidéos, performances, installations multimédias, art en ligne), les artistes contemporains proposent de nouveaux imaginaires corporels et des perceptions inédites des genres.