A peine quelques milliers de femmes utilisaient réellement les services d’Ashley Madison, le site de rencontres adultères qui a fait l’objet d’un piratage important aboutissant à la publication de sa base d’utilisateurs.
C’est la conclusion à laquelle est parvenu le site Gizmodo, qui a mené une analyse statistique extensive du contenu des fichiers, pour tenter de déterminer si les affirmations des pirates – qui accusent, entre autres, le site d’avoir créé de très nombreux faux profils féminins pour attirer les utilisateurs masculins – étaient vraies.