cinéma
Often disguised in public discourse by terms like "gay," "homoerotic," "homosocial," or "queer," bisexuality is strangely absent from queer studies and virtually untreated in film and media criticism. Maria San Filippo aims to explore the central role bisexuality plays in contemporary screen culture, establishing its importance in representation, marketing, and spectatorship. By examining a variety of media genres including art cinema, sexploitation cinema and vampire films, "bromances," and series television, San Filippo discovers "missed moments" where bisexual readings of these texts reveal a more malleable notion of subjectivity and eroticism.
Livre
Ce livre se veut une contribution à l’édifice en construction des études sur le genre et propose plus spécifiquement de revisiter en termes d’enfermement la question des femmes d’Amérique latine, dans les domaines littéraire, plastique, cinématographique mais aussi historique et politique.
L’égalité juridique entre les sexes est aujourd’hui acquise dans la plupart des États démocratiques. Pourtant, des injonctions implicites déterminant ce qui relève du féminin ou du masculin subsistent, et des rôles distincts sont encore et toujours assignés aux hommes et aux femmes. Ils entretiennent ainsi l’imaginaire d’une nature féminine et d’une nature masculine préétablies.
Avant le 10 janvier 2015 - Lausanne
En 1975, Laura Mulvey inscrit avec « Visual Pleasure and Narrative Cinema » la question du plaisir de regarder, dans son articulation avec le processus narratif, au cœur de la première théorisation politique des rapports de genre au cinéma. Elle montre alors que loin de n’être au cinéma qu’un enjeu d’ordre esthétique, le regard est aussi un enjeu inextricablement politique en ce sens qu’il est la variable nodale d’une symbolique qui permet de signifier des rapports de pouvoir entre femmes et hommes bien sûr, mais surtout entre masculin, féminin et toutes les identifications de genre qui seraient susceptibles de déroger à cette dichotomie.
Colloque international
4-7 décembre - Paris
Ce colloque, le premier sur l’œuvre de Lionel Soukaz, propose de sonder, dans toute leur diversité, les films, les engagements et les pratiques du cinéaste, en s’intéressant également à ses diverses collaborations et activités artistiques.
Thèse
9 décembre 2011 - Paris 3
Mai 1968 en France ouvre la voie à un renouveau du cinéma d’intervention sociale et politique, qui adopte le plus souvent la forme documentaire. Deux ans plus tard, émerge le Mouvement de libération des femmes (MLF), un « nouveau féminisme » qui invite les femmes à lutter contre leur oppression spécifique et pour la libre disposition de leur corps et de leur sexualité.
Appel permanent à proposition
Revue scientifique en ligne hébergée par la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine Genre en séries : cinéma, télévision, médias ambitionne d’être une revue universitaire en ligne pratiquant les critères scientifiques (comité scientifique international, évaluation en double aveugle), pour explorer la manière dont le genre (gender) traverse les cultures médiatiques.
L’approche théorique d’Anne Duggan sur l’œuvre de Demy rompt radicalement avec le consensus critique, puisqu’elle choisit de se placer dans le double éclairage des études sur le conte (dont elle retrouve les archétypes jusque dans Lola et dans Les Parapluies de Cherbourg) et des queer studies.
Avant le 31 août - Leeds
Les Femmes s’entêtent (1975) was one of the pioneering texts of feminism in France, bringing together short stories, essays, experiences, poems and social analysis in a great outburst of creativity, of contestation and resistance. Integrating the renewed anger at the oppression and marginalisation of women that had developed in the aftermath of ‘68, Les Femmes s’entêtent was an exhilarating and powerful text with its multiplicity of new perspectives and new kinds of writing.
Jacqueline Audry a réalisé seize long métrages entre 1946 et 1969, adaptant notamment Colette et Sartre, dans une démarche féministe étonnante dans le contexte idéologique de l’époque. Brigitte Rollet revient ici sur son parcours depuis les années 30, avec la volonté de faire de cet itinéraire singulier le révélateurs d’une histoire plus vaste, des débuts du cinéma à nos jours. S’appuyant sur les cultural et gender studies, l’auteur renouvelle notre vision de la cinéaste, mais aussi notre conception de la réception et de la postérité des films.