colonialité
20-21 novembre - Paris INHA
Ces journées se proposent d’examiner les modalités et les singularités du genre en contexte postcolonial, de ses représentations et de ses identités.
La race fut longtemps appréhendée dans un sens biologique, approche qui constitua l’une des formes les plus puissantes de l’idéologie raciste. À la suite de la disqualification scientifique et politique de ces catégorisations biologiques, le racisme fut relégué au rang de simple préjugé. Or, qu’en est-il de la production continuée de la race à l’ère prétendument « post-raciale » ?
Avant le 15 décembre - Rennes 2
Since their explosion at the end of the 1960s, the historical feminist struggles have irrigated both artistic practices and theories, infusing fertile interchanges. On the one hand, by deconstructing discourses, images and ideologies that are shaping gender oppression in art, academic feminism has developed a new historiography. On the other hand, in order to raise issues of identity politics, artists have taken hold of this theoretical effervescence.
revue Tumultes
Frantz Fanon peut être considéré comme le précurseur de la théorie post-coloniale. Ce numéro de Tumultes se propose d’explorer les pistes tracées depuis la période de la décolonisation. Il rassemblera certains textes écrits à partir de présentations faites au colloque organisé par le C.S.P.R.P. à l’automne 2007 "Penser aujourd’hui à partir de Frantz Fanon".
Revue
Cahiers Genre et Développement n°7
Le présent ouvrage s’attache à souligner la diversité et la richesse
des mouvements de femmes de par le monde, qui se sont organisés autour
d’enjeux variés, que ce soit autour du droit de vote des femmes, du droit
des filles à l’éducation, des luttes anticoloniales, des discriminations
racistes envers des femmes ou de divers autres droits.
Séminaire du CEDREF 2010-2011
Paris Diderot
Séminaire
NYU Paris
Coloniser a toujours été perçu comme un acte essentiellement masculin. C’est sans doute pour cette raison que l’histoire de la colonisation (et de la décolonisation) - qui, jusqu’à une date récente, était le plus souvent écrite par des hommes - n’a fait que peu de place aux femmes, aux rapports sociaux de sexe, à la construction des identités de genre et plus encore à l’histoire de la sexualité en situation coloniale.