arts
Alors que le corps humain est plus que jamais au centre d’enjeux sociétaux, cet ouvrage engage une réflexion sur les représentations du corps et de ses territoires dans les œuvres artistiques. À mi-chemin entre miroir du monde et origine de nouvelles perceptions, les créations nous parlent de la place du corps dans la société, en s’exposant comme territoires textuels qui donneraient formes corporelles aux œuvres.
Actes du colloque
Deux questions traversent les 17 contributions de cet ouvrage : quelles femmes écrivains et/ou artistes ont marqué les années 1900-1945 ? Pourquoi leur œuvre est-elle encore méconnue aujourd’hui ?
« Les femmes régnaient alors, la Révolution les a détrônées », écrit Élisabeth Vigée-Le Brun lorsqu’elle rentre en France après avoir fui la Terreur. À la fin du règne de Louis XVI en effet, les femmes s’imposaient enfin dans l’art et ses institutions.
Appel à contributions
Avant le 30 avril - GRIMH
La question gender se situe à l’intersection de nombre de disciplines des sciences humaines et sociales qu’elle est venue bousculer, subvertir, troubler, en référence au désormais classique ouvrage de la philosophe américaine Judith Butler.
19 septembre - Lyon ENS
Journée d’études organisée par le laboratoire junior GenERe dans le prolongement de l’atelier "Genre et danse"
Colloque
1er-2-3 décembre - Lyon 2
Colloque
Avant le 20 juillet - Paris EHESS
Si depuis plusieurs décennies, en France, les différentes disciplines artistiques (littérature, histoire de l’art et cinéma, notamment) se sont considérablement ouvertes à l’histoire des femmes, aux théories féministes et aux études de genre, le dialogue avec l’histoire des arts vivants (théâtre, musique, danse) reste encore à établir.
Journée d’études
Ce livre est le fruit d’une enquête auprès d’environ soixante-dix protagonistes de l’histoire des femmes en art entre 1970 et 1982, ainsi que de l’étude complète d’une quarantaine de revues d’art et de revues féministes. L’articulation entre une histoire des femmes et une histoire de l’art offre un panorama inédit de la scène artistique française des années 1970 et insère les questionnements féministes et de genre en art et en histoire de l’art, en écho aux ouvrages des historiennes anglo-américaines qui ont historicisé depuis longtemps leurs propres mouvements.