médias
Avant le 15 février 2014
Over the last decades, a considerable amount of research has been conducted on the relationship of gender with communication. However, new insights are still needed, especially those that explore the interrelations and negotiations between media and gender through the use of interdisciplinary and intersectional approaches.
Partant du postulat que les médias contribuent activement à la fabrique du genre (Coulomb-Gully), ce premier hors série des Cahiers de la transidentité prend pour hypothèse de travail l’existence de représentations médiatiques qui dérogent aux représentations de genre hégémoniques. Véritables « technologies de genre » (De Lauretis), les médias participent de la reproduction et du maintien d’assignations de genre.
Livre
Comment le réalisateur Marc Cherry et la chaîne américaine ABC sont-ils parvenus à transformer le pire genre télévisé, le soap opera de la ménagère, en une série diffusée en prime-time et qui a connu un succès planétaire ?
Appel à contributions
Avant le 15 avril 2012 - revue Le Temps des médias
« Enfant de Bohème » ou dans la version de Georges Perec, « petit anarchiste tchèque en 5 lettres », l’amour semble insaisissable, par définition.
Avant le 16 mars - Arras
Le 21e colloque de la SERCIA aura lieu à l’Université d’Artois, à Arras, du 3 au 5 septembre 2015 et est organisé conjointement par le laboratoire Textes et Cultures de l’Université d’Artois et le laboratoire CORPUS de l’Université de Picardie Jules Verne. La Société d’Etudes et de Recherche sur le Cinéma Anglophone réunit des chercheurs français et internationaux afin de promouvoir la recherche et les publications dans le domaine du cinéma anglophone. Elle publie une sélection d’articles issus des colloques SERCIA dans des ouvrages collectifs et dans sa revue Film Journal (http://www.ucl.ac.uk/filmjournal).
Avant le 25 septembre - Paris 2
Depuis une dizaine d’années, de nouveaux groupes et personnalités féministes retiennent l’attention des médias (les Femen, la Barbe ou les Pussy riots pour ne citer que trois exemples parmi les plus emblématiques). Parallèlement, les blogs, les réseaux sociaux de type Facebook et Twitter semblent avoir renouvelé les répertoires d’action de la lutte des femmes.
Avant le 20 novembre - Bordeaux 3
Autrefois dénigrées pour leur fonction de divertissement populaire (entertainment), les séries télévisées – entendues au sens large de fictions télévisuelles épisodiques – sont devenues un objet culturel légitime aux USA, là où elles aspirent à le devenir en France. Très largement dominées par une production américaine pour le public américain, mais fonctionnant au-delà des frontières, par leur posture hégémonique, comme un modèle universel, les séries attirent aujourd’hui l’attention d’un public diversifié et élargi, dont les préoccupations s’organisent en trois grands ensembles : divertissement, analyse et critique.
La France aime rire et ne s’en prive pas. Les humoristes ont conquis tous les fronts médiatiques, des matinales d’information aux émissions télévisées de prime time, sans compter les grandes scènes de spectacle. De la bouffonnerie d’un Coluche à l’incarnation du garçon arabe par Jamel Debbouze, en passant par les parodies féminines de Florence Foresti, les humoristes sont devenus des acteurs majeurs du débat public.
Avant le 25 septembre - Paris 2
Depuis une dizaine d’années, de nouveaux groupes et personnalités féministes retiennent l’attention des médias (les Femen, la Barbe ou les Pussy riots pour ne citer que trois exemples parmi les plus emblématiques). Parallèlement, les blogs, les réseaux sociaux de type Facebook et Twitter semblent avoir renouvelé les répertoires d’action de la lutte des femmes. Comment analyser ce phénomène qui est souvent interprété comme l’apanage d’un nouveau féminisme, plus jeune et plus dynamique ? Et comment replacer les usages militants des médias et les visions médiatiques des militant-e-s dans l’histoire plus longue des mouvements féministes ?
Paris 3
Pour prolonger et élargir la réflexion sur « genre et gender » que nous avons entreprise de 2008 à 2011, nous consacrerons un nouveau cycle du séminaire à la comédie, le genre à la fois le plus populaire et le moins légitime dans la recherche française - ceci expliquant sans doute cela. Il s’agira cette fois-ci non seulement d’explorer différents corpus nationaux (France, Hollywood, Italie, Grande-Bretagne, etc.), mais aussi d’accueillir toutes les approches socioculturelles et historiques, du moment qu’elles prennent pour objet le genre lui-même.