justice
Colloque
11-12 octobre - Paris Panthéon
Pourquoi les couples, mariés ou non, font-ils appel à la justice ? Qui prend l’initiative de la démarche ? L’homme, la femme, les parents, ou le juge ? Les litiges sont traités en priorité par les tribunaux d’Église, mais pas seulement, et il faudra comprendre quelles stratégies commandent les choix qui sont opérés et dans quel but.
Avant le 15 mai - Cahiers de la femme
Ce numéro spécial des Cahiers de la femme mettra l’accent sur les crises sociales et environnementales qui menacent la conservation de la vie sur notre planète. On aura intérêt à consulter les féministes, pour expliciter les dynamiques du patriarcat et du capitalisme, et plus aptes à éclairer les "réponses" et les "fausses solutions" qui compliquent la situation actuelle.
28 septembre - Paris 8
Ce travail explore la façon dont les féministes mobilisent la notion d’universel dans leurs revendications de justice. Depuis les annés 1950, l’universalisme latent ou assumé de certains discours féministes a été beaucoup critiqué. On a reproché à ces discours de se déployer dans des
cadres philosophiques à la fois ethnocentriques, impérialistes et patriarcaux hérités des Lumières.
Divorces et séparations conjugales sont aujourd’hui fréquents. Tout un chacun, marié ou ayant des enfants, peut avoir affaire à la justice familiale pour régler les conséquences de sa rupture. Cette institution publique est censée mettre en œuvre un droit identique pour toutes et tous. Mais les justiciables se voient-ils accorder la même attention selon leurs ressources et leurs conditions de vie ? Et la justice conduit-elle effectivement à plus d’égalité entre les hommes et les femmes ?
Appel à contributions
Avant le 15 octobre - AFSP Strasbourg
Cette section thématique réunira des chercheuses et chercheurs intéressé-e-s par l’analyse des rapports sociaux de sexe, en tant qu’ils sont structurés par les politiques de la justice et par les pratiques judiciaires elles-mêmes.
Appel à contributions
Avant le 1er mars - Aix-en-Provence
Est-il naturel d’être soi-même sur la scène judiciaire ? La question peut sans doute surprendre. Pourtant, la pratique des archives judicaires fait émerger des configurations rhétoriques, des discours attendus et des attitudes motivées par la situation d’urgence dans laquelle la crainte du bras vengeur de la justice place le prévenu, le témoin, le plaignant devant l’opinion, plus souvent appelée le « bruit public » sous l’Ancien Régime.
Avant le 14 février 2014 - Montréal
La plupart des Etats africains ont ratifié les instruments législatifs en faveur des droits des femmes. Pourtant le fossé entre les normes adoptées et leur application est patent, l’accès à la justice restant très aléatoire en pratique. D’une part les facteurs sociaux-économiques et les pesanteurs socio-culturelles jouent un rôle dissuasif. D’autre part, les dysfonctionnements des institutions judiciaires ne font que renforcer l’image d’une justice lointaine et inaccessible.
18 décembre - Paris
Le rapport du Conseil Supérieur de la Magistrature sur la parité dans la magistrature publié dans le rapport d’activité 2012 du CSM
15 novembre 2013 - Bordeaux
Pour étudier la prise en charge la violence conjugale, nous avons choisi d’adopter tout d’abord une démarche compréhensive et comparative franco-espagnole puis une évaluation régionale de l’efficacité des mesures adoptées. Ainsi, nous dressons un constat qualitatif et quantitatif du travail des associations et des institutions qui prennent en charge la violence conjugale, tout en analysant le contexte politique au sein duquel ils évoluent, leurs contraintes, leurs ressources et les logiques d’acteurs.