médias
Avant le 20 septembre
The post-apocalypse is an enduring science fiction concept that
continues to fascinate film and television audiences in the twenty-first
century, often combining our deepest existential fears with our wildest
escapist fantasies. As speculative fiction (we hope !), post-apocalyptic
narratives ask questions about what it means to be truly human, particularly
in the context of survival horror and genocide. Interestingly, these
speculative narratives, limited only by the bounds of human imagination (and
media technology), frequently reproduce conservative ideologies of
nationalism which shape how the viewer "reads" race, gender, and sexuality
in the world after the world ends.
15 janvier - Paris
Depuis une dizaine d’années, de nouveaux groupes et personnalités féministes retiennent l’attention des médias (les Femen, la Barbe ou les Pussy riots pour ne citer que trois exemples parmi les plus embléma- tiques). Parallèlement, les blogs, les réseaux sociaux de type Facebook et Twitter semblent avoir renouvelé les répertoires d’action de la lutte des femmes.
6 mars - Bordeaux
Pensé dans une perspective pluridisciplinaire, ce séminaire a pour but d’explorer différentes théories et méthodologies dans l’approche Genre du cinéma et de la télévision, entre études textuelles et contextuelles, études de réception, star studies, cultural studies, en prenant pour objet des fictions cinématographiques et télévisuelles, mainstream ou marginales (la pornographie), mais aussi des émissions de flux.
Paris 3
Pour prolonger et élargir la réflexion sur « genre et gender » que nous avons entreprise de 2008 à 2011, nous consacrerons un nouveau cycle du séminaire à la comédie, le genre à la fois le plus populaire et le moins légitime dans la recherche française - ceci expliquant sans doute cela. Il s’agira cette fois-ci non seulement d’explorer différents corpus nationaux (France, Hollywood, Italie, Grande-Bretagne, etc.), mais aussi d’accueillir toutes les approches socioculturelles et historiques, du moment qu’elles prennent pour objet le genre lui-même.
19 décembre - Paris Dauphine
Journée commune avec le séminaire « Genre, féminismes et mobilisations collectives » de l’EHESS et avec le séminaire « Presse magazine, source et objet d’histoire » du Laboratoire Communication et Politique (LCP).
Appel permanent à proposition
Revue scientifique en ligne hébergée par la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine Genre en séries : cinéma, télévision, médias ambitionne d’être une revue universitaire en ligne pratiquant les critères scientifiques (comité scientifique international, évaluation en double aveugle), pour explorer la manière dont le genre (gender) traverse les cultures médiatiques.
Avant le 3 mai - Paris
Les messages de prévention incitant à consommer cinq fruits et légumes par jour, à boire de l’alcool avec modération, ou encore à ne pas abuser du sucre et du gras, saturent les médias. Dans le même temps, la télévision n’a jamais autant regorgé de programmes centrés sur la cuisine ou l’alimentation : concours, (Qui est le meilleur pâtissier ?), télé-réalité (Cauchemar en cuisine) ou fictions (Chefs).
Comment les identités de genre contrevenant aux stéréotypes traditionnels sont elles médiatisées ? Comment les médias travaillent-ils à partir d’assignations genrées pré-construites ? Si les médias peinent à évoquer les identités qui contreviennent aux assignations genrées traditionnelles, leur traitement révèle un certain nombre d’ambivalences, de paradoxes, voire de contradictions.
Revue
Hommes, femmes, masculin, féminin : comment la presse, la radio, la télévision et Internet en parlent-ils ? En prenant comme point de départ la vaste étude de l’Observatoire mondial des Médias sur le Genre – Global Media Monitoring Project ou GMMP – à laquelle ont participé plusieurs contributrices de ce dossier, le présent numéro de Sciences de la Société analyse la dialectique entre la société et des médias qui, descriptifs et prescriptifs, ne se contentent pas de « refléter » le réel mais contribuent à sa fabrication.
Colloque
14-16 mars - Rennes
Le 19 août 2009, la sprinteuse sud-africaine Caster Semenya est devenue championne du monde du 800m à Berlin, réalisant la meilleure performance mondiale de l’année. Sa victoire a déclenché une polémique suscitée non seulement par ses résultats, mais également par son allure et son style de course, tous jugés très masculins.