violence
Avant le 15 octobre - La Réunion
Dans son ouvrage L’amour en plus. Histoire de l’amour maternel, 17ème s. – 20ème s., Elisabeth Badinter évoque « l’usage ambigü du concept de maternité qui renvoie à la fois à un état physiologique momentané, la grossesse, et à une action à long terme : le maternage et l’éducation. »1
Après les thèmes de la conception, de la gestation, de la parturition, l’accent sera mis sur le maternage et l’éducation, et plus précisément, afin de compléter notre programme de sensibilisation et de lutte contre les violences intrafamiliales, les situations critiques où la maternité est vécue, perçue, représentée comme une faute, voire un crime, et où l’enfant est traité comme le corps du délit.
Journée d’étude
14 février - Pau
Journée d’étude du programme Figures et fondements de la misogynie animé par Maurice Daumas et Nadia Mékouar-Hertzberg
Livre
La violence des femmes apparaît comme un tabou social et historique. La femme brutale est forcément très minoritaire, très masculine, un peu sorcière, cruelle ou atteinte pathologiquement.
Thèse
29 juin 2011 - EHESS
La victime de la traite des êtres humains est appréhendée à la fois comme coupable d’infractions de séjour irrégulier et de racolage et comme victime de ce qui est considéré comme l’une des pires atteintes aux droits de l’Homme : être acheté, être vendu, être exploité.
Durant le dernier tiers du XXe siècle, de nombreuses femmes rejoignirent les rangs d’organisations politiques violentes comme la Fraction armée rouge allemande, les Brigades rouges italiennes ou Action directe en France. Certaines tuèrent. Les médias surpris de cette violence féminine les appelèrent "amazones de la terreur" et créèrent pour elles une nouvelle catégorie, celle de la "femme terroriste".
Revue
Dans ce premier dossier de Problèmes d’Amérique latine consacré aux rapports sociaux de sexe, nous avons choisi de réunir des travaux sur les violences masculines faites aux femmes et aux filles, un enjeu au cœur des mobilisations féministes depuis la fin du XX siècle et objet d’une brûlante actualité. C’est en effet parce que cet enjeu est d’actualité...
Avant le 1er février 2014 - Toulouse 2
Qu’elle soit appelée meurtrière, assassine ou tueuse, la femme qui commet un homicide élude les catégories usuelles : elle dérange l’ordre social, bouleverse les rapports de forces symboliques et inquiète les dispositifs judiciaires. De Médée ou Clytemnestre, et de leurs épigones anglophones, à Black Mamba et ses émules contemporaines, la femme qui tue ne cesse de faire retour dans la littérature et les arts visuels : de manière plus ou moins spectrale et sensationnelle, elle y révèle les paradoxes du maternel mortifère, de la criminelle victime de sa victime ou du meurtre autodestructeur.
Appel à contributions
Avant le 12 septembre - Paris
Le Centre de Recherches Psychanalyse, Médecine et Société (CRPMS) de l’École doctorale Recherches en Psychanalyse de l’Université Paris VII Denis Diderot et La Fédération Nationale Solidarité Femmes (FNSF) lancent un appel à communications pour leur prochain colloque Violences conjugales, pourquoi tant de résistances à en parler ?
31 janvier - Nantes
Journée d’études - Oppelia
21 octobre - Saint Germain les Arpajon
Telle une poupée gigogne la violence conjugale s’emboite dans une histoire sociale, familiale et individuelle.
Les violences conjugales ont des effets dramatiques, dans l’immédiat comme à long terme, sur tous les membres de la famille et chacun subit des conséquences graves, autant sur les plans physique et psychique que sur le plan social.