violence
Journée d’études
13 février - Paris
Les violences de masse ont représenté un phénomène majeur du 20e siècle, siècle des génocides pour certains. Le caractère sexué de ces crimes (à travers la pratique de l’esclavage sexuel, le recours aux viols systématiques et aux grossesses forcées, comme aux meurtres ciblant spécifiquement l’un ou l’autre des sexes) s’est fait jour sur de nombreux terrains, en Europe, en Afrique, en Amérique ou en Asie, sans que la dimension genrée des génocides et des violences de masse n’ait pour l’instant fait l’objet d’analyses comparatives et d’interrogations théoriques interdisciplinaires.
Journée scientifique de l’Unité Genre, démographie et société
La première enquête française sur les violences faites aux femmes, ayant une dimension nationale, l’Enveff, a été réalisée au cours de l’année 2000, sous la responsabilité de Maryse Jaspard, enseignante chercheuse à l’Institut de démographie de l’Université de Paris1 (IDUP) et co-responsable de l’unité Genre, démographie et société de l’Institut national d’études démographiques (Ined).
Appel à contributions
Avant le 22 décembre - Reading (Angleterre)
The AHRC-funded Terrorist transgressions : network on gendered representations of the terrorist brings together an interdisciplinary group of scholars to investigate how the terrorist has been represented in the visual arts, film, photography and the media. It gives specific attention to the question of gender in imagery of the terrorist.
20 avril - Genève
Peut-on sortir du cycle de violence quand l’extrême violence anéantit la possibilité même de la réflexion ? Les expériences dans l’espace militant turc offrent des réponses à ces questions, et nous permettent d’envisager les dimensions proprement créatives de l’engagement politique.
3-4 octobre - Lyon
La question des violences entre élèves en milieu scolaire est aujourd’hui une préoccupation centrale des institutions éducatives et des pouvoirs publics. Les présupposés sur lesquels elle repose méritent pourtant un examen détaillé : dans quelles conditions peut-on parler de violence entre élèves ? Existe-t-il vraiment, comme on le dit si souvent, des « décalages » perceptifs, normatifs, interprétatifs entre les élèves et les adultes ?
Livre
La grande majorité (80 %) des élèves punis au collège sont des garçons. Comment expliquer ce chiffre en contradiction avec le discours égalitaire officiel ? Pourquoi n’attire-t-il pas l’attention des équipes éducatives ?
15 novembre 2013 - Bordeaux
Pour étudier la prise en charge la violence conjugale, nous avons choisi d’adopter tout d’abord une démarche compréhensive et comparative franco-espagnole puis une évaluation régionale de l’efficacité des mesures adoptées. Ainsi, nous dressons un constat qualitatif et quantitatif du travail des associations et des institutions qui prennent en charge la violence conjugale, tout en analysant le contexte politique au sein duquel ils évoluent, leurs contraintes, leurs ressources et les logiques d’acteurs.
Avant le 1er septembre, Lausanne
La reconnaissance publique acquise par le problème des violences envers les femmes résulte notamment des mobilisations féministes qui, depuis la fin des années 1970, ont fait de l’accueil et du soutien des victimes une part significative de leurs actions. En revendiquant le développement de politiques publiques, les militantes ont contribué à alerter les pouvoirs étatiques dans différents pays du monde et, plus largement, le public.
Journée d’étude
14 février - Pau
Journée d’étude du programme Figures et fondements de la misogynie animé par Maurice Daumas et Nadia Mékouar-Hertzberg
Thèse
29 juin 2011 - EHESS
La victime de la traite des êtres humains est appréhendée à la fois comme coupable d’infractions de séjour irrégulier et de racolage et comme victime de ce qui est considéré comme l’une des pires atteintes aux droits de l’Homme : être acheté, être vendu, être exploité.