identité
28 septembre 2013 - Paris 8
La thèse traite de la question de la représentation féminine en jeu dans les œuvres de Joanna Russ, Ursula le Guin, Toni Morrison, Margaret Atwood et Daphne Marlatt. Cette thématique est élaborée à partir d’un questionnement philosophique sur le genre. Les utopies et les dystopies publiées aux Etats-Unis dans les années 1970 ont contribué à fournir de nouvelles possibilités narratives pour la représentation du féminin.
Colloque international
11 décembre - Paris INED
La loi du 8 janvier 1993 révise l’état civil et la filiation en libéralisant le choix du prénom et en facilitant les changements de prénom. Plus récemment, c’est la transmission du patronyme (devenu nom de famille) qui s’est vue réformée par la loi du 4 mars 2002, permettant aux parents de choisir de transmettre à leurs enfants soit le nom du père, soit celui de la mère, soit encore un « double nom ».
Après avoir exhorté les pères à couper le cordon ombilical, on a ré-incité les mères à allaiter, puis valorisé le contact peau à peau avec leur nouveau-né, et certains les invitent à contempler leur placenta. Désormais, les parents d’un enfant mort-né sont encouragés à le toucher ou à le photographier. Alors que la confrontation avec le corps des défunts est supposée favoriser le « travail de deuil », la crémation est suspectée de nuire à celui-ci.
S’inscrivant dans le sillon inauguré par les travaux de Michel Foucault et des représentant/e/s du courant constructiviste des études gaies et lesbiennes anglo-saxonnes, ce livre se propose de retracer le volet romanesque de la production discursive d’une "identité homosexuelle" spécifique dans la seconde moitié du XIX e siècle. Le corpus analysé se compose d’une quinzaine de romans publiés en France entre 1859 et 1899.
4 février - Paris EHESS
Intervention dans le cadre du séminaire “Rapports de genres au Maghreb et au Marchrek" organisé par Tassadit Yacine et Sonia Dayan Herzbrun
L’opposition sphère publique / sphère privée repose traditionnellement sur la division de la société en termes d’identité sexuée, offrant aux hommes l’espace ouvert du politique, du champ de l’action, alors que les femmes se voient le plus souvent reléguées dans la sphère domestique de l’intime et du recueillement symbolisée par la maison.
29 novembre - Paris Diderot
A partir de l’expérience trans-identitaire des parcours transgenres ou trans- sexuels, cette journée a pour but d’explorer et rendre compte des possibi- lités de création des sexualités et des identités. Les normes individuelles et collectives contraignent et rendent possible la construction de l’identité, le développement de la sexualité.
Colloque
11 décembre - Paris INED
Le prénom et le nom de famille sont les premiers éléments que nous utilisons pour identifier et se faire identifier au sein de la société. Le nom de famille nous rattache à une certaine lignée (par la filiation) tandis que le prénom laissé au libre choix des parents permet de s’individualiser. Alors que, jusqu’à récemment, des habitudes locales et coutumières ou des règles juridiques restreignaient fortement la transmission du nom de famille ou l’inscription du prénom à l’état civil, il semble que les hommes et surtout les femmes disposent désormais d’une plus grande liberté de dénomination. Quel usage est-il fait de cette liberté ?
Colloque pluridisciplinaire
27-28 octobre - Paris Ouest Nanterre
L’émergence d’espaces transculturels francophones et anglophones invite à une rupture avec les schémas traditionnels d’altérité et de confrontation qui ont longtemps caractérisé l’étude des identités sexuelles et culturelles.