sexualité
Strasbourg
Séminaire pluridisciplinaire organisé par
Sandra Boehringer (UMR 7044) et Estelle Ferrarese (UMR 7236)
4 octobre - Aix-en-Provence
Conférence organisé par le programme CAPES-COFECUB dans le cadre de Genre, sexualité et parenté : une étude comparative France-Brésil
Revue
Associés, les deux termes, sexe et politique, ouvrent un vaste champ de réflexion et enjoignent, pour comprendre le présent, à revisiter ses multiples déclinaisons. Sexe et politique s’articulent en effet sur de nombreux plateaux idéologiques, historiquement situés, aux résonances contrastées et, en 2011, ils ont refait ensemble une irruption fracassante dans le monde globalisé, au sein même de ses organes de « bonne gouvernance ».
C’est une histoire culturelle des sexualités, la capture d’instants d’une époque charnière. Une époque bouillonnante, florissante. Quand les jeunes en arrivent à écrire sur les murs « Jouissons sans entraves ! ».
Ce dictionnaire est le plus complet et le plus novateur à ce jour consacré aux diverses formes de sexualité et à la place qu’elles occupent dans notre société.
Soutenance de thèse
7 décembre 2012 - Paris 1
Bruxelles
Séminaire STRIGES Structure de recherche interdisciplinaire sur le genre, l’égalité et la sexualité
Atelier EFiGiES-Antiquité
« Fonctions sociales, pratiques sexuelles : l’ “amour grec” en question »
Créé à l’automne 2007, l’atelier EFiGiES-Antiquité s’intéresse aux systèmes de genre propres au monde antique en abordant des textes et des images de natures différentes et d’époques variées.
« Il est 18h, où est votre femme ? » interroge un nouveau site de rencontre extra conjugale en 4 par 3 dans les couloirs du métro. Alors que la polygamie a mauvaise presse en Occident, on promeut dans tous les magazines l’infidélité ou le « polyamour ».
Avant le 1er juin - revue Genre, sexualité et société
Dans son article « Penser le sexe. Pour une politique radicale de la sexualité », en 1984, Gayle Rubin (2010) analysait la sexualité comme un lieu d’oppression spécifique. Tout en reconnaissant qu’elle est un des lieux privilégiés de l’oppression des femmes, Rubin mettait en lumière l’existence d’un cercle de la sexualité vertueuse, relativement autonome du système du genre, qui définit des bons et des mauvais sujets sexuels, justifie des violences, des stigmatisations, impose à certains désirs ou à certaines pratiques le silence.