droit
Livre
Dès la venue au monde, en 1982, du premier « bébé-éprouvette » français, d’intenses débats de société surgissent. La technique ne risque-t-elle pas de déshumaniser la naissance ? La parenté est-elle avant tout biologique ou d’abord sociale ?
Livre
While feminist legal scholarship has thrived within universities and in
some sectors of legal practice, it has yet to have much impact within the
judiciary or on judicial thinking.
7 mai - Angers
Évoquer la relation entre droit et genre place la définition de la normativité juridique au cœur de la problématique. Le souci épistémologique, fil rouge de ce colloque, implique de porter tout d’abord notre attention sur les fondements philosophiques du genre qui sous-tendent une approche sociologique du droit. Cette dernière modifie la conception même de la règle juridique et de son fondement anthropologique.
21 mars - Paris IISMM
L’intervention entremêlera des références au parcours de F. Brezzi (à l’université), à la position de la réflexion féministe dans le monde académique (notamment en Italie), à l’expérience acquise par cette philosophe dans un Master réalisé au Maroc, intitulé “Les droits des femmes entre les deux rives de la Méditerranée. Le droit de la famille en migration : le cas du Maroc”.
Livre
Dans les sociétés libérales, l’accent est mis sur le libre choix des époux et sur l’épanouissement de la personnalité de chaque conjoint. Pourtant, le mariage forcé existe.
Avant le 1er septembre - Lausanne
Le Centre en études genre (CEG) de l’Unil en collaboration avec l’équipe du projet ANR REGINE (genrer le droit) dirigée par Stéphanie Hennette-Vauchez propose une section thématique autour de l’articulation entre genre et droit/s. La question de la façon dont le droit fait et défait le genre, sous l’impulsion de mobilisations sociales et de contre-mobilisations fait l’actualité dans de nombreuses démocraties libérales : mariage homosexuel, régulations de l’avortement, prostitution, PMA, mise en place de quotas législatifs pour les femmes, mouvements masculinistes, congés parentaux, droit de la famille et de la filiation, politiques d’égalité et outils juridiques de lutte contre les discriminations sexistes.
21 mai - Paris Pouchet
La revendication des droits reproductifs est née à la fin des années 1970 d’un compromis entre les féministes américaines majoritaires, qui exigeaient la liberté de l’avortement contre l’emprise de l’État, et les féministes « blacks » et socialistes qui demandaient également la possibilité d’avoir des enfants dans de bonnes conditions et la fin des stérilisations abusives.
Avant le 15 avril - revue Autrepart
La notion de droits reproductifs est née dans les années 1970 de la conjonction de luttes pour le droit à l’avortement et la santé reproductive et contre les stérilisations forcées. Cette notion, reprise par des mouvements tant locaux que transnationaux dans des pays du Sud, a été acceptée par les délégués de 189 pays à la Conférence Internationale sur la Population et le Développement qui s’est tenue au Caire en 1994 et a été reprise par les programmes de nombreux pays.
Livre
Ce livre s’adresse à un large public, celui qui a suivi l’« affaire DSK ». Son sujet n’est pas l’affaire judiciaire (qui ne fait que commencer). Il ne traite pas non plus des agressions sexuelles. Son sujet est le sexisme comme idéologie rationalisant les atteintes aux droits des femmes.