maternité
Colloque international
Avant le 1er mai 2014 - Aix-en-Provence
Selon les économistes de l’ère industrielle le " travail" est "productif" (producteur de valeur marchande), il se vend et s’achète sur le marché, relève de la sphère publique, et appartient essentiellement aux hommes. Les activités liées à la reproduction (mise au monde et première éducation des enfants) n’entrent pas dans la catégorie "travail" parce qu’elles ne se vendent pas et n’auraient donc pas de "valeur" ;
15-16 janvier 2015 - Aix-en-Provence
L’histoire de la maternité atteint un seuil où elle doit être réinterrogée au regard du travail. Les femmes, à la fois mères et "actives" participent aux profondes mutations des mœurs et des représentations, autant qu’elles doivent s’y adapter. DEMETER-CORE engage des réflexions et des débats pour tenter de mieux comprendre et de mieux vivre les transformations actuelles, au sein des populations méditerranéennes, si attachées à l’image de la "bonne mère".
3 décembre - Paris
Avant de se battre sur des « réponses » qu’il convient d’apporter à des problèmes de société, il faut avoir des opinions fermes que chacun doit être apte à se construire personnellement. Pour cela, il faut disposer non pas des multiples discours fournissant des « réponses », mais de l’état des « questions », pour que chaque citoyen devienne apte à se faire une opinion et puisse la faire valoir dans l’espace public démocratique national et international.
Dans cette présentation à quatre voix, nous aimerions revenir sur la place tenue par le complexe d’&OEligdipe dans les théorisations psychanalytiques contemporaines à propos de la sexualité et de la famille.
Appel à contributions
Avant le 22 octobre
Le féminisme occidental a remis en question toutes les différenciations sexuées, en montrant que le genre est distinct du sexe. La maternité elle-même, qui demeure pourtant, dans la plupart des sociétés, une expérience féminine, a été reconsidérée.
L’expérience maternelle, qui consiste à transmettre la vie, à la perpétuer en gardant l’empreinte corporelle au creux de leur ventre, plonge les femmes, les mères, dans des émotions, des sensations proches d’un archaïque, quasi innommable.
Revue
Revue
En utilisant la notion de « production d’enfants », le titre du dernier numéro de Nouvelles Questions Féministes n’a pas pour but de choquer, mais de revisiter une réalité complexe. Au lieu d’analyser la « maternité », les spécialistes observent les investissements que la production d’enfants nécessite en travail, en temps et en savoir-faire au niveau de l’organisation de la société dans son ensemble, et le prix, qui reste très élevé, payé par les femmes qu’elles aient ou non des enfants.
Avant le 1er mai - Aix-en-Provence
Selon les économistes de l’ère industrielle le " travail" est "productif" (producteur de valeur marchande), il se vend et s’achète sur le marché, relève de la sphère publique, et appartient essentiellement aux hommes. Les activités liées à la reproduction (mise au monde et première éducation des enfants) n’entrent pas dans la catégorie "travail" parce qu’elles ne se vendent pas et n’auraient donc pas de "valeur" ; relevant de la sphère privée, elles sont confiées aux femmes, mères et futures mères, sous le contrôle des pères.
Appel à contributions
Avant le 15 avril - Aix-en-Provence
Dans le cadre du programme transversal de la MMSH (2009-2012) Maternité, paternité : métamorphoses et permanences de la différenciation sexuée coordonné par Laurence Hérault (Université de Provence, IDEMEC).