médias
L’égalité juridique entre les sexes est aujourd’hui acquise dans la plupart des États démocratiques. Pourtant, des injonctions implicites déterminant ce qui relève du féminin ou du masculin subsistent, et des rôles distincts sont encore et toujours assignés aux hommes et aux femmes. Ils entretiennent ainsi l’imaginaire d’une nature féminine et d’une nature masculine préétablies.
Appel à contributions
Avant le 8 mars - Laval (Québec)
On a reconnu depuis longtemps le caractère socialement construit du genre, mais on ne trouve, en sciences sociales, que peu de recherches sur la performativité du genre en lien avec les représentations médiatiques des femmes.
La France aime rire et ne s’en prive pas. Les humoristes ont conquis tous les fronts médiatiques, des matinales d’information aux émissions télévisées de prime time, sans compter les grandes scènes de spectacle. De la bouffonnerie d’un Coluche à l’incarnation du garçon arabe par Jamel Debbouze, en passant par les parodies féminines de Florence Foresti, les humoristes sont devenus des acteurs majeurs du débat public.
Documentaire - Arte
24 janvier, 22h10 - 3 février, 8h55
Partout dans le monde, les femmes sont en moyenne plus petites que les hommes. Il y a
pourtant des espèces animales où les femelles sont plus grandes que les mâles. Le
dimorphisme sexuel de taille comme l’appellent les scientifiques n’est pas toujours celui
qu’on croit ! Alors dans notre espèce, la plus grande taille des hommes est elle une
nécessité naturelle ?
Avant le 31 mai - revue Genre en séries
Que signifie être un homme ? Les codes de la masculinité, que chaque petit mâle apprend consciemment et inconsciemment dès sa naissance, passent aussi par des fictions audiovisuelles depuis que le cinéma puis la télévision sont devenus une part dominante de la culture de masse, en particulier par des genres plus spécifiquement destinés au public masculin (action, guerre, aventure, policier, science-fiction) et par des stars masculines qui fonctionnent comme des modèles.
Soutenance de thèse
26 novembre 2012 - Nice
Cette recherche, inscrite au sein des Sciences de l’Information et de la Communication, porte son attention sur les formes de la construction médiatique des transidentités à la lumière des études de Genre et des études culturelles. Elle permet de montrer que nos représentations génèrent des modélisations à la fois sociales et médiaculturelles.
Livre
Ce livre s’adresse à un large public, celui qui a suivi l’« affaire DSK ». Son sujet n’est pas l’affaire judiciaire (qui ne fait que commencer). Il ne traite pas non plus des agressions sexuelles. Son sujet est le sexisme comme idéologie rationalisant les atteintes aux droits des femmes.
Livre
L’élection présidentielle de 2007 présente une situation inédite : pour la première fois, une femme, Ségolène Royal, se trouve candidate d’un parti de gouvernement en position d’éligibilité, face à un homme, Nicolas Sarkozy, dont la posture « virile » se trouve dès lors mise en relief.
Avant le 25 septembre - Paris 2
Depuis une dizaine d’années, de nouveaux groupes et personnalités féministes retiennent l’attention des médias (les Femen, la Barbe ou les Pussy riots pour ne citer que trois exemples parmi les plus emblématiques). Parallèlement, les blogs, les réseaux sociaux de type Facebook et Twitter semblent avoir renouvelé les répertoires d’action de la lutte des femmes. Comment analyser ce phénomène qui est souvent interprété comme l’apanage d’un nouveau féminisme, plus jeune et plus dynamique ? Et comment replacer les usages militants des médias et les visions médiatiques des militant-e-s dans l’histoire plus longue des mouvements féministes ?
La revue Seitô (septembre 1911-février 1916) fut la première revue littéraire créée uniquement par les femmes, pour les femmes. Sous l’impulsion de Hiratsuka Raichô (1886-1971), puis d’Itô Noe (1893-1923), elle devint l’emblème des femmes nouvelles, rebelles à l’injonction de devenir de « bonnes épouses et mères avisées (ryôsai kenbo) ».