1ère diffusion sur Arte, vendredi 24 janvier 2014 22.10
Rediffusions lundi 3 février 2014 08.55 et sur Arte+7
Documentaire inédit
Réalisation Véronique Kleiner
Conseiller scientifique Priscille Touraille (CRNS/MNHN)
Production Point du jour / Picta Productions / Arte France / CNRS Images / CNDP
Avec la participation de l’INSERM
Durée : 52 minutes
Présentation :
Partout dans le monde, les femmes sont en moyenne plus petites que les hommes. Il y a
pourtant des espèces animales où les femelles sont plus grandes que les mâles. Le
dimorphisme sexuel de taille comme l’appellent les scientifiques n’est pas toujours celui
qu’on croit ! Alors dans notre espèce, la plus grande taille des hommes est elle une
nécessité naturelle ? Pour répondre à cette question, ce film mène l’enquête dans
différents domaines scientifiques de la génétique à l’histoire, la biologie de
l’évolution, l’ethnologie et l’anthropologie. Les données de paléoanthropologie,
d’obstétrique et de nutrition éclairent de façon inédite les contraintes évolutives
spécifiques aux femmes. Il apparaît qu’en terme d’évolution, les femmes ont avantage à
être grandes. Ce qu’elles ne sont pas. Pourquoi ?
Visionnez un extrait : http://vimeo.com/73729892
Intervenants scientifiques français du documentaire :
*Jean-Claude Carel*(Hôpital Universitaire Robert Debré) | Service d’endocrinologie pédiatrique (Inserm)
*Françoise Héritier*(Collège de France) | Laboratoire d’anthropologie sociale (LAS - Collège de France / CNRS / EHESS / EPHE), Paris
*Nicolas Herpin*(CNRS) | Observatoire sociologique du changement (OSC - CNRS / Science-Po Paris)
*Laurent Heyberger *(UTBM) | Laboratoire de recherche sur les choix industriels, technologiques et scientifiques (RECITS - Université de Technologie Belfort-Montbéliard)
*Sandrine Meylan*(Université Paris Sorbonne), *Tom Van Dooren* (CNRS) | Ecologie et évolution (CNRS / UPMC / ENS Paris)
*Priscille Touraille*(CNRS) | Eco-Anthropologie et ethnobiologie (CNRS / MNHN), Paris
http://www.arte.tv/guide/fr/045331-000/pourquoi-les-femmes-sont-elles-plus-petites-que-les-hommes