procréation
22 mai - Paris
Rencontre-débat organisée par le GIS Institut du Genre avec le Columbia Global Center de Reid Hall
4 octobre - Aix-en-Provence
Conférence organisé par le programme CAPES-COFECUB dans le cadre de Genre, sexualité et parenté : une étude comparative France-Brésil
16 janvier - Aix-en-Provence
L’étude des grossesses illégitimes aux xviie et xviiie siècles met en évidence différentes transgressions en matière de sexualité définie par les canons de la religion. Le pouvoir politique a édicté des règles contre la débauche et le libertinage, surtout au regard des dérives qu’ils entraînent : infanticide, avortement ou abandon d’enfants.
6 novembre - Bruxelles
Vingt ans après la Conférence internationale sur la population et le développement de 1994 qui en jetait les fondements, les droits sexuels et reproductifs (et parmi eux l’accès à la contraception, à des services d’avortement sûr et légal, ou à une éducation à la sexualité de qualité pour les jeunes tout particulièrement), connaissent ces derniers mois de préoccupantes remises en cause.
Paris Panthéon
La pratique du don de gamètes en France et aux Etats-Unis se développe a priori selon des logiques opposées. Les principes de l’anonymat et de la gratuité qui encadrent le don en France paraissent être en contradiction avec le mécanisme du libre choix et de tarification qui gouverne la pratique aux Etats-Unis.
21 mai - Paris Pouchet
26 février - EHESS
Revue
Le ‘travail reproductif’ désigne ici l’ensemble des activités liées à la fabrication d’enfant par le biais des biotechnologies dans le contexte actuel de mondialisation. Ce numéro interroge sous cet angle les incidences des nouvelles techniques reproductives sur la vie des femmes et le système de genre.
Le refus d’entrer en parentalité doit être lu en interaction étroite avec les normes conjugales et professionnelles qui se reconfigurent depuis les avancées sociales, féministes et juridiques des années 1970. À partir de données statistiques récentes et de récits de vie denses et régulièrement convoqués au fil du texte, l’ouvrage s’intéresse aux motivations des personnes volontairement sans-enfant qui ont accepté de témoigner. À la croisée de la sociologie de la famille, du genre et de la déviance, l’ouvrage permet de suivre ces « outsiders de la parentalité ».
Livre
Dès la venue au monde, en 1982, du premier « bébé-éprouvette » français, d’intenses débats de société surgissent. La technique ne risque-t-elle pas de déshumaniser la naissance ? La parenté est-elle avant tout biologique ou d’abord sociale ?