sociologie
Cet ouvrage s’inscrit dans le foisonnement de la sociologie du genre et des études gaies et lesbiennes. Il propose une synthèse des recherches en sciences sociales sur l’homosexualité en France et dans le monde.
Livre
Souvent présenté comme le « crime absolu », aux conséquences physiques, psychologiques et symboliques odieuses, le viol fait aujourd’hui l’objet d’une réprobation sociale maximale. Pourtant, derrière les images forcément simplifiées et « dramatisées » de ce crime, se profile le portrait d’un acte aux manifestations diverses et hétérogènes, que l’analyse doit élucider.
EHESS
Dans le prolongement des années précédentes, ce séminaire porte sur les temporalités sexuées du care ; il entend ainsi étudier les enjeux politiques des interventions pour autrui (médico-sociales et plus largement tous types d’accompagnement de la personne) et contribuer à une sociologie des présences sociales.
Dans différents contextes, le genre se trouve aujourd’hui placé au centre de la promotion d’identités nationales dites démocratiques, libérales et/ou progressistes. Pour montrer comment ces reconfigurations s’opèrent, ce dossier s’intéresse à trois univers professionnels et/ou associatifs articulant les hiérarchies de genre, de classe, de race et d’appartenance nationale : un centre de rétention pour étrangers en Allemagne (Mathilde Darley), une entreprise multinationale implantée en Arabie Saoudite (Amélie Le Renard) et une ONG oeuvrant pour l’égalité hommes-femmes au Tadjikistan (Lucia Direnberger).
Plus sensibles en France à la dimension de la classe et de l’origine des acteurs de l’enquête, les approches méthodologiques en sciences humaines ont jusqu’aux années 2000 négligé celles du sexe et de l’orientation sexuelle. La dimension sexuée des interactions retient cependant davantage l’attention que par le passé.
12 décembre - Nantes
Les personnes sans enfant et déclarant ne pas en vouloir sont relativement rares en France. Qui sont-elles ? Quelles raisons donnent-elles à leur choix ? Le fait de vivre ou non en couple a-t-il une influence ? S’appuyant sur plusieurs enquêtes, dont l’enquête Fecond, Charlotte Debest et Magali Mazuy nous présentent les résultats de leur analyse sur ce choix de vie.
Avant le 30 juin - Toulouse
Penser, dire et représenter la séduction s’avère être beaucoup plus complexe qu’il ne paraît, car la séduction n’est pas un concept. Cette compagne ordinaire de notre quotidien aux mille visages, participe directement à la création du lien social. Les manifestations plurielles de la séduction font qu’il n’est pas toujours simple de discerner ce qui relève d’un phénomène auquel nous nous sommes habitués, de l’exceptionnel perçu comme une source d’intérêt nouvelle qui focalise notre attention, s’insinue dans nos esprits et fonde nos désirs. Si la séduction est difficile à définir, son rapport au désir l’est probablement davantage encore.
Dans différents contextes, le genre se trouve aujourd’hui placé au centre de la promotion d’identités nationales dites démocratiques, libérales et/ou progressistes. Pour montrer comment ces reconfigurations s’opèrent, ce dossier s’intéresse à trois univers professionnels et/ou associatifs articulant les hiérarchies de genre, de classe, de race et d’appartenance nationale : un centre de rétention pour étrangers en Allemagne (Mathilde Darley), une entreprise multinationale implantée en Arabie Saoudite (Amélie Le Renard) et une ONG oeuvrant pour l’égalité hommes-femmes au Tadjikistan (Lucia Direnberger).
15 novembre 2013 - Bordeaux
Pour étudier la prise en charge la violence conjugale, nous avons choisi d’adopter tout d’abord une démarche compréhensive et comparative franco-espagnole puis une évaluation régionale de l’efficacité des mesures adoptées. Ainsi, nous dressons un constat qualitatif et quantitatif du travail des associations et des institutions qui prennent en charge la violence conjugale, tout en analysant le contexte politique au sein duquel ils évoluent, leurs contraintes, leurs ressources et les logiques d’acteurs.