économie
This contribution seeks to delineate the broad contours of a transnational, anti-imperial feminist perspective on gender and economics in Muslim communities by bringing together feminist analyses of Orientalist tropes, development discourses and policies, and macro- and microeconomic trends. The goal is to facilitate conversations among scholars who have tended to work within their respective disciplinary and methodological silos despite shared interests.
Avant le 30 juin - Paris Sciences Po
Since the 1990s, a number of European countries have set up policies to promote the development of household services through schemes designed to both lower the cost of labour and to subsidize the demand for household services, especially for childcare and elderly-care, through the introduction of cash subsidies or different socio-fiscal measures (social contribution exemptions and/or tax reductions).
16-17 octobre - Genève
La littérature sur l’économie sociale et solidaire ne s’est jusqu’ici que peu intéressée au genre et aux théories féministes. L’effort de conceptualisation s’est porté sur d’autres dimensions, comme les principes d’une économie plurielle, l’institutionnalisation de l’économie solidaire et les conditions d’une démocratisation de l’économie portée par des initiatives locales.
Journée d’étude
26-27 juin - Genève
Débat autour de la parution de la Controverse n°23/2010
17 février - Paris Sorbonne
Quelles relations entre la présence des femmes aux postes de responsabilités dans les entreprises et leurs performances économiques ? Nombre de résultats de recherche concordent pour mettre en évidence une telle relation. Mais ils posent questions.
. Comment évaluer ces résultats ?
Thèse
9 décembre 2011 - Paris 3
L’insertion économique des migrantes brésiliennes en Guyane française s’inscrit dans le processus global de la féminisation des migrations et du marché du travail, initiant les déplacements d’une main-d’œuvre peu qualifiée des pays des Suds, notamment des États du Pará et de l’Amapá (nord du Brésil) vers les pays des Nords, la Guyane, département d’outre-mer.
Malgré les lois, discours et autres chartes, en France, le salaire des femmes reste inférieur d’un quart à celui des hommes. Comment expliquer cet écart persistant ? Au XIXe siècle, on considérait qu’il n’était pas vital pour une femme de travailler. Pouvant compter sur « monsieur Gagnepain », celle-ci ne pouvait prétendre qu’à un « salaire d’appoint ». De manière insidieuse, ce modèle pèse encore aujourd’hui. Les salariées semblent piégées, entre « plancher collant » et « plafond de verre ».
C’est par devoir de mémoire qu’est publié cet ouvrage. Il propose, à juste titre, de revisiter un mouvement féministe aujourd’hui tombé dans l’oubli. Un mouvement dont la revendication de base était agitée à l’époque comme un véritable épouvantail : un salaire au travail ménager !
Débat
17 février - Paris
Débat organisé par le Mage, la revue Travail, genre et sociétés et le
cerlis autour de la Controverse du n° 23/2010 de Travail, genre et sociétés
Appel à contributions
Avant le 12 octobre
Le rapport Guégot préconise une amélioration générale de la connaissance de la situation comparée des hommes et des femmes dans la fonction publique. Or si la connaissance des inégalités a été améliorée par la production de statistiques sexuées, l’observation fine des différences de traitement en matière de rémunérations (salaires et primes) peine à être établie.