féminin
Avant le 20 octobre - Toulouse 2
Dans toutes les cultures et à toutes les époques, les hommes ont imaginé des images qu’ils ont manipulées comme supports à leurs discours et à leurs pratiques. Produites à partir de matériaux divers, adoptant de multiples formes, et traversées par des temporalités différentes, elles portent des significations culturelles, historiques et sociales fortes et dévoilent la relation au monde de ceux qui les élaborent.
Journées jumelées ERIMIT-Gradiva
21-22 juin - Paris 8
On s’interrogera, durant ces journées, sur les multiples zones de contact que sollicitent, que renouvellent ou que font éclater les créations, qu’elles exacerbent ou au contraire qu’elles résorbent et qu’elles dépassent en offrant souvent des alternatives aux paradigmes classiques sur lesquels repose la pensée.
Journée « Gradiva »
24 mars - Paris Jourdan
Les paradigmes Masculin/Féminin, dans la mesure où ils apparaissent en tant que tels dans les créations et dans les idéations, sont-ils inconciliables avec les « gender studies » ? Est-il possible, est-il utile, que ces paradigmes disparaissent de l’espace littéraire et plus globalement de celui des créations artistiques alors même que la réalité de nos sociétés est imprégnée du féminin et du masculin, de leur disjonction et de leur dysfonctionnement ?
18-19-20 juin - Amiens / Paris
Appel à contributions
Avant le 15 juillet - Champ des Lettres
Peut-on programmer les moments qui dépassent l’habituel, qui nous font sentir pleinement l’en-vie ? Faire la fête/ carnaval : soupape ou subversion ? Les sous-cultures, les moments d’exiose, d’extase, d’inattendu, les moments où on « prévoit l’inattendu », aller en boite, boire des bières chez des copains, partir en retraite de méditation.
Appel à contributions
Avant le 30 avril - Grenoble
Le colloque s’adresse aux géographes mais pas exclusivement. Il interpelle des chercheurs d’autres disciplines comme l’urbanisme, la science politique, l’anthropologie, l’économie, la sociologie, l’histoire, la philosophie qui mobilisent la notion de genre en lien avec l’espace, les lieux, le territoire et les sociétés....
Journée « Gradiva »
2 avril - IEIHA Paris
Nous avons pris le parti, cette année 2010-2011, d’inscrire le féminin dans la ville en tenant compte du potentiel politique et utopique de cette relation. La question des femmes (et des jeunes filles et même des petites filles) dans la ville que posent implicitement, parfois plus volontairement, la littérature et les autres formes artistiques, comme le cinéma, nous permet d’envisager le geste créateur comme un art de penser le monde et la société, de les penser l’une et l’autre en des termes souvent critiques et polémiques, mais aussi de les rêver, de les subvertir, de les reconfigurer.
Les identités féminines et masculines, leur ductilité, leur porosité mais aussi parfois leur persistante incompatibilité, génèrent « mécaniquement » interrogations, doutes, tensions et révolutions.
Depuis Bachofen et son livre sur Le Droit Maternel, on s’est beaucoup intéressé à l’État des femmes. Après lui, on ne compte plus les tentatives de retrouver dans le passé lointain de l’humanité ou dans des régions éloignées du globe la réalité d’un pouvoir féminin et l’existence d’une communauté des femmes.
Soutenance de thèse
2 décembre 2011 - Paris Diderot
L’anthropologie psychanalytique permet de questionner la dimension du genre et de la féminité par une relecture des textes classiques de la psychiatrie comme des textes freudiens, tout en actualisant la clinique du malaise dans la civilisation par l’étude des foules de femmes.