géographie
Appel à contributions
Avant le 30 avril - Bruxelles
What we now recognise as the sub-disciplines of sexual and queer geography largely emerged out of the study of predominantly white gay male (and later, lesbian) spaces in the major urban centres of North America and north-western Europe.
6 février - Nantes
La cartographie des pratiques sexuelles dans différents lieux du monde et à différentes échelles territoriales montre que, dans un monde globalisé, l’homogénéisation des modes de vie en termes de sexualités est loin d’être une réalité. Les valeurs sociétales, les identités religieuses et les niveaux de développement viennent croiser les législations pour expliquer la grande diversité des pratiques sexuelles qui s’observent entre les pays et également à l’échelle d’ensembles régionaux plus vastes.
26 juin 2014 - Paris 8
Ce travail a pour objet de proposer une lecture des œuvres de Klaus Mann (1906-1949), Annemarie Schwarzenbach (1908-1942) et Christopher Isherwood (1904-1986) en s’appuyant sur la géophilosophie de Deleuze et Guattari, les théories queers, et les études Trans. Mon projet est de remettre en question la notion d’identité en affirmant que le genre constitue un agencement, c’est-à-dire une construction stable mais contingente, composée d’éléments hétérogènes.
Colloque international
8-10 septembre - Bruxelles
Ce que nous considérons actuellement comme une des dimensions de la géographie des sexualités et de la queer géography est en grande partie issue de l’étude prédominante des espaces gays – hommes blancs de classe moyenne (et par la suite lesbiens) – des centres urbains nord-américains ou européens.
Dans le contexte capitaliste néolibéral actuel, l’espace permet aux dominants d’asseoir leur domination par la surveillance, la spoliation, la relégation, etc. L’ouvrage analyse cette situation mais aussi l’utilisation de l’espace dans la résistance et la contestation des dominés.
Revue
La ville n’est pas un objet classique des études de genre. Pour autant, cette approche permet de renouveler les objets canoniques des disciplines (ici l’espace et la ville), comme le montre l’intérêt actuel de la géographie française pour le genre.Comme dans d’autres disciplines, et en particulier la science politique [Achin et Bereni, 2013], l’attention des géographes s’est longtemps focalisée sur...
29 janvier - Le Mans
Journée d’étude organisée avec le soutien du Gis institut du Genre et de l’UMR CNRS 6590 Espaces et Sociétés - ESO
Depuis le début des années 1980, l’apparition des quartiers gays a participé à la visibilité croissante de l’homosexualité dans les sociétés occidentales. Mais que sait-on exactement de ces espaces urbains spécifiques ? Comment sont-ils nés ? Qui s’y installe et pourquoi ? Comment les citadins les pratiquent-ils et les vivent-ils au quotidien ?
Revue
L’étude des masculinités est récente dans les sciences sociales. Sa généalogie permet de tirer le fil qui est lié historiquement, épistémologiquement et politiquement à l’ensemble de ce que l’on appelle aujourd’hui « la géographie des sexes, genres et sexualités ».
L’opposition sphère publique / sphère privée repose traditionnellement sur la division de la société en termes d’identité sexuée, offrant aux hommes l’espace ouvert du politique, du champ de l’action, alors que les femmes se voient le plus souvent reléguées dans la sphère domestique de l’intime et du recueillement symbolisée par la maison.