scolarité
Symposium
1er-2 septembre - Lyon
En 2004, la sociologue Marie Duru-Bellat fait paraître la seconde édition de L’Ecole des filles : quelles forma(ons pour quels rôles sociaux ? et actualise un ouvrage de synthèse essentiel sur les carrières scolaires féminines, la construction scolaire des différences sexuelles et ses effets sur la formation et l’insertion professionnelle des jeunes femmes.
22 janvier 2014 - EHESS
La mixité scolaire n’implique pas l’égalité entre les sexes. elle pose la question du type de relation qu’une société entend promouvoir entre eux. en france, si l’école peut être perçue comme un facteur d’émancipation des femmes, de nombreuses études ont montré qu’elle demeurait également un instrument de reproduction des rapports sociaux de sexes traditionnels.
22 mars - Strasbourg
Sous l’impulsion de Sophie Kennel, Chargée de mission, « Ascenseur social et réussite », nous avions consacré l’édition 2010 à une réflexion sur l’articulation entre ascension sociale et réussite des étudiants. Dans cette nouvelle édition, nous poursuivrons ce travail en nous intéressant davantage à la façon dont les étudiants de divers horizons sociaux, générationnels, géographiques et culturels, choisissent une formation, se pensent en tant qu’étudiants et vivent leurs études, des questions que nous aimerions réexaminer au prisme du genre.
2 juillet - Rennes 2
Depuis 30 ans, pouvoirs publics, enseignant-e-s et associations travaillent à la mise en place d’une culture de l’égalité entre les sexes. Pensées à plusieurs niveaux, les politiques d’éducation à l’égalité se déclinent ainsi à la fois au plan local – à l’image de la convention académique sur l’égalité entre les femmes et les hommes dans le système éducatif au sein de l’académie de Rennes – et national – comme les conventions interministérielles initiées par l’Education nationale et les structures gouvernementales chargées des droits des femmes, en lien avec les recommandations des institutions européennes et internationales.
Livre
Comment se construisent les inégalités de parcours chez les enseignants et les enseignantes du second degré ? C’est la question à laquelle cet ouvrage se propose de répondre, à partir d’une comparaison entre la France et l’Angleterre.
28 mars - Paris IEC
Les formations techniques restent très caractérisées par la dimension sexuée de leurs effectifs : 3,5 % de filles en bac construction, 1% de filles en bac mécanique auto, 4 % de garçons en bac secrétariat et 3 % en bac coiffure. Pour le BEP, les chiffres sont semblables (source : Enquête Génération 2004- 2007, Céreq).
Ce livre ouvre des voies à une meilleure compréhension des processus qui inscrivent filles et garçons de milieux populaires dans des histoires scolaires distinctes. Il s’appuie sur une enquête ethnographique menée pendant trois ans dans un lycée professionnel et il analyse ce qui se joue pour les unes et pour les autres, ainsi que le rapport entretenu avec la transgression scolaire.
La question des inégalités dans le système éducatif entre hommes et femmes ne date pas d’aujourd’hui : en 2007 déjà, le Service de la Recherche de Genève (SRED) rappelle qu’une des recommandations de la Confé - rence des Directeurs de l’Instruction publique (CDIP) datant de 1993 com - prend l’obligation de former les enseignants à l’égalité des sexes et veut les « amener à reconnaître tout ce qui peut être préjudiciable à ce principe et à y remédier (recommandation 4).
Soutenance de thèse
2 décembre - Paris-Sud 11
Au Mali, l’un des pays les plus pauvres du monde, le système scolaire est préoccupant. Il en est de même de la situation des filles et des femmes dans la société.