colonialisme
4 mars - Genève
« L’homme reste homme tant qu’il est sous le regard d’une femme de sa race. » Dans les colonies, cette phrase n’a rien d’un paisible constat. Comme le montre avec force l’historienne et anthropologue états-unienne Ann Laura Stoler, c’est une injonction qui trahit une inquiétude, inséparablement raciale et sexuelle, sur l’ordre du monde colonial.
4-5 décembre - Nantes
Dans le sillage d’importants colloques et numéros de revue portant sur les femmes et le genre en situation coloniale (notamment « La femme dans les sociétés coloniales » en 1985, plus récemment, le numéro « Colonisations » de la revue Clio, paru en 2011, ou encore en 2012, le colloque « Femmes et genre en contexte colonial, XIXe-XXe siècles »), cette rencontre se propose d’examiner à l’aune du genre les circulations européennes dans les Empires coloniaux au xixe siècle.
Revue
Autant d’expériences différentes des femmes dans la modernité, autant de visions dissonantes de l’émancipation : mais comment inclure cette diversité dans le projet féministe ? Revenant sur une géopolitique du savoir dont la prétention à l’universalité fut marquée par la ‘différence coloniale’, ce numéro souligne à quel point le genre, instrument et langage de la différenciation hiérarchique, est, aujourd’hui comme hier, au cœur de ce processus historique.
28 mars - Paris Diderot
Avant le 29 juin - Nantes
Dans le sillage d’importants colloques et numéros de revue portant sur les femmes et le genre en situation coloniale (notamment « La femme dans les sociétés coloniales » en 1985, plus récemment, le numéro « Colonisations » de la revue Clio, paru en 2011, ou encore en 2012, le colloque « Femmes et genre en contexte colonial, xixe-xxe siècles »), cette rencontre se propose d’examiner à l’aune du genre les circulations européennes dans les Empires coloniaux au xixe siècle.
Colloque international
19-21 janvier 2012 - Paris
Coloniser a longtemps été perçu et analysé comme une entreprise exclusivement masculine. C’est sans doute pour cette raison que l’histoire des colonisations (et des décolonisations) – qui fut d’abord le plus souvent écrite par des hommes – n’a fait que peu de place aux femmes, aux rapports sociaux de sexe, à la construction des identités de genre et à l’histoire des sexualités.
Séminaire
NYU Paris
Coloniser a toujours été perçu comme un acte essentiellement masculin. C’est sans doute pour cette raison que l’histoire de la colonisation (et de la décolonisation) - qui, jusqu’à une date récente, était le plus souvent écrite par des hommes - n’a fait que peu de place aux femmes, aux rapports sociaux de sexe, à la construction des identités de genre et plus encore à l’histoire de la sexualité en situation coloniale.
Séminaire
Programme des séances 2010-2011 - Paris
Coloniser a toujours été perçu comme un acte essentiellement masculin. C’est sans doute pour cette raison que l’histoire de la colonisation (et de la décolonisation) - qui, jusqu’à une date récente, était le plus souvent écrite par des hommes - n’a fait que peu de place aux femmes, aux rapports sociaux de sexe, à la construction des identités de genre et plus encore à l’histoire de la sexualité en situation coloniale.
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