économie
Débat autour de la parution de la Controverse n°23/2010
17 février - Paris Sorbonne
Quelles relations entre la présence des femmes aux postes de responsabilités dans les entreprises et leurs performances économiques ? Nombre de résultats de recherche concordent pour mettre en évidence une telle relation. Mais ils posent questions.
. Comment évaluer ces résultats ?
6 mai - Paris Descartes
Journée d’étude
26-27 juin - Genève
International Workshop
22 avril - Paris
The financial crisis of 2007 has diversely hit European countries, causing economic and labour market disequilibria of more or less magnitude. As with past global crises, the current one has gendered implications. While women’s employment is said to be preserved relatively to men’s in the early stages of a recession, austerity plans implemented in several countries to limit public deficits and debts are deemed to affect female workers more deeply.
C’est par devoir de mémoire qu’est publié cet ouvrage. Il propose, à juste titre, de revisiter un mouvement féministe aujourd’hui tombé dans l’oubli. Un mouvement dont la revendication de base était agitée à l’époque comme un véritable épouvantail : un salaire au travail ménager !
Avant le 30 juin - Paris Sciences Po
Since the 1990s, a number of European countries have set up policies to promote the development of household services through schemes designed to both lower the cost of labour and to subsidize the demand for household services, especially for childcare and elderly-care, through the introduction of cash subsidies or different socio-fiscal measures (social contribution exemptions and/or tax reductions).
Plafond de verre, salaires moindres, emploi à temps partiel subi, exploitation domestique… Difficile d’échapper à ce triste constat : les inégalités entre les sexes demeurent, encore et toujours, un fait structurant de nos sociétés modernes. Comment y remédier ?
Malgré les lois, discours et autres chartes, en France, le salaire des femmes reste inférieur d’un quart à celui des hommes. Comment expliquer cet écart persistant ? Au XIXe siècle, on considérait qu’il n’était pas vital pour une femme de travailler. Pouvant compter sur « monsieur Gagnepain », celle-ci ne pouvait prétendre qu’à un « salaire d’appoint ». De manière insidieuse, ce modèle pèse encore aujourd’hui. Les salariées semblent piégées, entre « plancher collant » et « plafond de verre ».
Débat
17 février - Paris
Débat organisé par le Mage, la revue Travail, genre et sociétés et le
cerlis autour de la Controverse du n° 23/2010 de Travail, genre et sociétés
Séminaire Genre et économie
26 mai - Paris