théorie
HDR
5 décembre 2012 - université de Poitiers
Lors de cette soutenance, je présenterai l’esprit et la logique des recherches que je conduis depuis une quinzaine d’années. Ces recherches comportent deux volets à la fois distincts et articulés. Elles concernent d’une part l’analyse sociologique de la genèse des problématiques de sexe dans les sciences sociales. Il s’agit de prendre acte et d’expliquer sociologiquement l’impact et l’apport cognitif du mouvement et des recherches féministes.
« Le rire de la Méduse » d’Hélène Cixous a été publié en 1975 dans la revue L’Arc et a été traduit en anglais l’année suivante. Depuis, il a inspiré la critique féministe du monde entier, mais aussi de nombreuses écrivaines et plasticiennes.
12 novembre - Paris Diderot
Intervention dans le cadre de l’’action structurante PluriGenre et l’Institut Émilie du Châtelet
Livre
Ce livre réunit des textes parus dans la presse (L’Humanité, Libé, Politis, Le Monde, Regards, Le Nouvel Obs...), ou dans des revues (Vacarme, Réfractions, Cahiers du genre, Mouvements, Revue de l’OFCE, Non fiction...) depuis trente-cinq ans.
L’ouvrage, Simone de Beauvoir aujourd’hui, constitue le premier ouvrage traduit et publié en français de l’allemande Roswitha Scholz, figure de proue de la critique de la valeur. Au sein de ce mouvement critique, Scholz a développé à travers de nombreux ouvrages, le concept de dissociation/valeur permettant de penser la domination particulière des femmes au sein du capitalisme comme une domination liée à la forme marchandise.
Séminaire public de GTM 2011-2012
Les trente dernières années ont vu se développer et s’institutionnaliser les objets de recherche qui sont au cœur des activités de l’équipe "Genre, Travail, Mobilités" issue de l’association des laboratoires GEDISST (créé en 1979) et d’une partie du GST (créé en 1970), auxquels s’est adjoint, plus récemment, le Centre d’Études féminines de Paris 8 (créé en 1978).
Journée d’études
21 février - Paris 3
Le concept d’écriture migrante a fait l’objet au Québec de recherches approfondies et d’analyses théoriques dans le domaine des lettres et des arts depuis les années 80, constituant un champ épistémologique à part entière. Le moment d’émergence de ces études est marqué par la publication de La Québécoite de Régine Robin en 1983, qui fut suivie d’une production fournie et diversifiée comprenant aussi bien des écrivains d’Europe que du Maghreb, de la Caraïbe, d’Asie et du Moyen-Orient.
Les femmes dans le monde, aujourd’hui et depuis la nuit des temps, constituent le plus grand peuple jamais colonisé. Quelles que soient leur ethnie, leur culture, leur situation sociale, leur orientation sexuelle, toutes les personnes humaines sexuées femelles sont colonisées dans leur corps jouissif et leur corps fécond et opprimées de ce fait dans tous les registres de leur existence.
Séminaire
21 juin - Paris Pouchet
Dans le champ épistémologique, les principales critiques féministes soutiennent que le sexe du sujet connaissant est un facteur déterminant de la production scientifique et technique et partant, que l’épistémologie traditionnelle, pour qui cette question est toujours restée une préoccupation relativement lointaine, ne saurait se fonder sur une représentation qui privilégie un sujet inconditionné.
Journée scientifique de l’Unité Genre, démographie et société
La première enquête française sur les violences faites aux femmes, ayant une dimension nationale, l’Enveff, a été réalisée au cours de l’année 2000, sous la responsabilité de Maryse Jaspard, enseignante chercheuse à l’Institut de démographie de l’Université de Paris1 (IDUP) et co-responsable de l’unité Genre, démographie et société de l’Institut national d’études démographiques (Ined).