féminin
Revue
L’émancipation ou l’empowerment des femmes dans les pays du Sud est aujourd’hui un objectif affiché par l’ensemble des agences multilatérales et bilatérales de développement et par de nombreuses ONG internationales. Comme le souligne Jeanne Bisilliat [2000, p. 24], depuis les années quatre-vingt-dix, l’empowerment...
Livre
« La pudeur, n’est-elle pas toute la femme ? », demandait Balzac. Même dévêtue, celle-ci conserve ce voile de pudeur invisible qui distingue, pour les moralistes, la femme honnête de la dévoyée. Bel éloge de la féminité, mais lourde responsabilité qui a souvent contribué à l’effacement de la parole et du corps féminins.
Paris Sorbonne
Le genre sert généralement à désigner l’ensemble des assignations socialement construites à partir de l’identité sexuée : c’est, en quelque sorte, « le sexe social », que les sociétés élaborent selon des modalités variables dans le temps et dans l’espace.
Les profondes mutations suite au "Printemps arabe" nécessitent une étude du statut de la femme dans les sociétés maghrébines, tel qu’il se manifeste dans la production littéraire. Ces romancières oeuvrent non seulement à la réappropriation de la parole féminine, mais aussi à un redressement historique, puisque la part de la femme dans les mouvements et guerres de libération avait été occultée par les hégémonies installées dans ces pays au lendemain de la colonisation.
28 septembre 2013 - Paris 8
La thèse traite de la question de la représentation féminine en jeu dans les œuvres de Joanna Russ, Ursula le Guin, Toni Morrison, Margaret Atwood et Daphne Marlatt. Cette thématique est élaborée à partir d’un questionnement philosophique sur le genre. Les utopies et les dystopies publiées aux Etats-Unis dans les années 1970 ont contribué à fournir de nouvelles possibilités narratives pour la représentation du féminin.
Le long effort des grammairiens et des académiciens pour masculiniser le français a suscité de vives résistances chez celles et ceux qui, longtemps, ont parlé et écrit cette langue sans appliquer des règles contraires à sa logique.
Colloque international
10-11-12 décembre - Grenoble
Il est fort à parier que les recherches interrogeant le rapport genré à la spatialité, aux lieux, à l’action sont traversées par des controverses. Dans le champ de la géographie, les approches par genre ont été questionnées dans leur fondement épistémologique, leurs valeurs et leurs légitimités pour être aujourd’hui coe nsidérées comme un objet géographique, un « construit cognitif permettant d’appréhender un phénomènspatial » (Lévy et Lussault, 2003). Il y a eu des moments, des lieux où cette controverse a été débattue (Lyon-Grenoble, 2004), (Bordeaux, 2010)… dévoilant ainsi les points aveugles et les effets d’occultation de la discipline dans l’analyse de la relation de genre à l’espace.
Avant le 27 juin - revue Líneas
Les identités féminines et masculines, leur ductilité, leur porosité mais aussi parfois leur persistante incompatibilité, génèrent « mécaniquement » interrogations, doutes, tensions et révolutions.
Appel à contributions
Avant le 15 juin - Recherches sociologiques et anthropologiques
Loin d’atteindre la mixité hommes-femmes officiellement affichée, diverses recherches contemporaines soulignent la permanence des attributions sexuées dans de nombreux domaines sociaux. Si les domaines « féminins » accueillent très majoritairement des femmes et sont plutôt associés à l’écoute, à l’expression d’émotions ou à la grâce, les domaines « masculins » accueillent également très majoritairement des hommes et se réfèrent plutôt à l’affirmation de soi, à la technique ou à la force.
18-19-20 juin - Amiens / Paris