Espagne
20 décembre 2013 - Toulouse 2
Cette thèse se donne comme objectif de rendre visibles les femmes
espagnoles réfugiées en France de 1939 à 1942. Il s’agit de proposer
une narration au féminin de l’exode sur le sol français de ces femmes
restées dans l’ombre de leurs compagnons, pour les faire advenir sur
la scène historique. Prises en charge par l’administration française,
elles sont tributaires d’images sociales stéréotypées qui influencent
les pratiques des autorités à leur égard.
23 mai - Paris
Séance du séminaire ERESCEC co-organisée avec le CIRCE-LECEMO de l’Université Paris 3
15 novembre 2013 - Bordeaux
Pour étudier la prise en charge la violence conjugale, nous avons choisi d’adopter tout d’abord une démarche compréhensive et comparative franco-espagnole puis une évaluation régionale de l’efficacité des mesures adoptées. Ainsi, nous dressons un constat qualitatif et quantitatif du travail des associations et des institutions qui prennent en charge la violence conjugale, tout en analysant le contexte politique au sein duquel ils évoluent, leurs contraintes, leurs ressources et les logiques d’acteurs.
19 février - Paris MIE
Cet atelier est l’occasion d’adopter une perspective historique sur les questions de genre et de religions, perspective qui s’enracine dans un contexte spécifique, celui de l’aristocratie espagnole. La chercheuse interroge le rôle des femmes de pouvoir dans le mécénat religieux et la signification de leur engagement artistique et religieux.
Avant le 1er mars - Paris
Par rapport aux pays anglo-saxons, la France affiche un certain retard au niveau de la recherche universitaire concernant les études de genre, issues des « cultural studies », notamment dans le champ audiovisuel, comme le notait encore en 2009 Geneviève Sellier dans un article sous forme de bilan sur la question (« Gender studies et études filmiques : avancées et résistances françaises », Diogène n°225).
Débat
16 novembre - Paris
Débat organisé par le MAGE (Réseau de recherche international et pluridisciplinaire "Marché du travail et genre") dans le cadre des "Amphis du MAGE"
20 mars - Pau
La place des femmes libertaires dans le processus de la Révolution Espagnole de 1936-1939, a souvent été mis en lumière à travers le rôle de militantes connues et moins connues (Federica Montseny, Lucía Sánchez Saornil, Amparo Poch, Lola Iturbe, Mercedes Comaposada, Sara Berenguer, Pepita Carpeñas, les rédactrices de Mujeres Libres, Antonia Fontanillas Borras, à qui cette journée sera dédiée) dans une démarche souvent prosopographique.
S’appuyant sur une approche comparative, l’ouvrage explore les formes d’engagement politique des femmes sur plusieurs continents, notamment l’Amérique du Sud et l’Europe. Mêlant aux approches sociologique et historique l’étude du genre et les sciences politiques, les contributions dessinent différentes figures de l’activisme féminin au XXe et XXIe siècle.
Mélanges de la Casa de Velazquez
Les articles réunis dans ce dossier analysent divers aspects liés aux pratiques et aux représentations symboliques du genre, du sexe et de la nation, présentes dans différentes cultures politiques espagnoles aux XIXe et XXe siècles, avec un contrepoint sur le rapport entre masculinité et identité nationale dans la France du XIXe siècle.
Colloque
Avant le 23 juillet - Paris 3
Le théâtre et le cinéma espagnols, largement dominés par des figures masculines pendant la dictature franquiste, ont vu apparaître une série de créatrices avec la Transition puis la démocratie retrouvée. Ainsi, pour le cinéma, trois réalisatrices se sont imposées au cours des années 1970-80, Pilar Miró, Cecilia Bartolomé et Josefina Molina. Bien qu’elles n’aient pas revendiqué une posture féministe, leurs films ont introduit un nouveau regard sur les femmes et certains de leurs opus ont pu s’apparenter à un bilan de la condition féminine sous le franquisme ou proposer de nouvelles images féminines, plus en consonance avec l’évolution de la société espagnole.
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