féminin
Journées jumelées ERIMIT-Gradiva
21-22 juin - Paris 8
On s’interrogera, durant ces journées, sur les multiples zones de contact que sollicitent, que renouvellent ou que font éclater les créations, qu’elles exacerbent ou au contraire qu’elles résorbent et qu’elles dépassent en offrant souvent des alternatives aux paradigmes classiques sur lesquels repose la pensée.
Revue
L’émancipation ou l’empowerment des femmes dans les pays du Sud est aujourd’hui un objectif affiché par l’ensemble des agences multilatérales et bilatérales de développement et par de nombreuses ONG internationales. Comme le souligne Jeanne Bisilliat [2000, p. 24], depuis les années quatre-vingt-dix, l’empowerment...
Appel à contributions
Avant le 5 juin - Le Pan poétique des muses
Être une femme poète, être une poétesse comme on dit, c’est accepter le statut de mineure dans un monde fait de grands poètes qui forment l’essentiel de l’Histoire de la poésie universelle (le simple dépouillement des ouvrages consacrés à la poésie le confirme).
Avant le 27 juin - revue Líneas
Les identités féminines et masculines, leur ductilité, leur porosité mais aussi parfois leur persistante incompatibilité, génèrent « mécaniquement » interrogations, doutes, tensions et révolutions.
Appel à contributions
Avant le 15 juillet - Champ des Lettres
Peut-on programmer les moments qui dépassent l’habituel, qui nous font sentir pleinement l’en-vie ? Faire la fête/ carnaval : soupape ou subversion ? Les sous-cultures, les moments d’exiose, d’extase, d’inattendu, les moments où on « prévoit l’inattendu », aller en boite, boire des bières chez des copains, partir en retraite de méditation.
Séminaire mensuel IISMM-EHESS
EHESS
Il s’agit de réfléchir aux transformations contemporaines des enjeux moraux et éthiques contemporains au Maghreb, au Moyen-Orient, dans les pays de culture musulmane et dans les communautés arabes ou musulmanes d’Europe ou d’ailleurs, à partir d’une approche en termes de subjectivités et de genre.
Livre
« La pudeur, n’est-elle pas toute la femme ? », demandait Balzac. Même dévêtue, celle-ci conserve ce voile de pudeur invisible qui distingue, pour les moralistes, la femme honnête de la dévoyée. Bel éloge de la féminité, mais lourde responsabilité qui a souvent contribué à l’effacement de la parole et du corps féminins.