violence
Livre
Ce livre pionnier éclaire la place et le sens des viols en temps de guerre. Parce que les victimes étaient majoritairement des civils et des femmes, les viols furent longtemps relégués au second plan, à la marge du champ de bataille.
18 novembre - Strasbourg
8 juin - Paris
Le but de cette journée d’études à l’Institut d’Etudes Avancées de Paris est de discuter la qualité intrinsèquement masculine de la guerre.
18 septembre - Genève
La violence de genre à l’école est une démonstration des difficultés de la mixité. Des garçons s’attachent à ne pas éprouver d’empathie envers les filles et les garçons jugés féminins afin de pouvoir exercer à leur dépend une violence qui attestera de leur virilité. Des filles partagent avec les garçons le rejet des filles de mauvaise réputation. Seule une mixité réfléchie, travaillée en classe, permet de recréer le lien d’empathie nécessaire entre élèves.
Journée d’études
7 février - Bordeaux
Journée d’étude organisée par Fanny Bugnon (Centre Emile Durkheim, Sciences Po Bordeaux) et Isabelle Lacroix (Printemps, UVSQ)
Thèse
13 décembre 2011 - Sciences Po Paris
Alice Debauche soutiendra sa thèse, intitulée "Viol et rapports de genre. Emergence, enregistrements et contestations d’un crime contre la personne" le 13 décembre 2011 à 14h00 à Sciences-Po (199 bd Saint Germain 75007, Paris)
This book is the first critical survey of the work of Éric Jourdan. Jourdan first came to public attention as a schoolboy in 1955, when he published Les Mauvais anges, a sulphorous novel of adolescent male-to-male love, which was banned by the censors in 1956 and again in 1974. It did not officially appear until 1984.
This superb collection of essays illuminates the film portrayal of violence, masculinity, and power in a postcolonial context, showing how the cinema challenges, normalizes, or contests these major issues. Taking an interdisciplinary and comparative approach, drawing from literature, sociology, and media studies, the essays shed light on films about societal violence in postcolonial cultures, whether it be terrorism, suicide bombings, the underworld, organized crime, or mob violence.
« Avec cet ouvrage, Sandrine Ricci a entrepris une grande première en langue française : étudier le génocide – ici le génocide des Tutsi en 1994 – dans une perspective féministe. Mais étudier ce génocide de ce point de vue, c’est remettre en cause les présupposés qui informent toutes les études sur les génocides, et le génocide en général ; et qui informent aussi les présupposés sur les violences contre les femmes commises dans toutes les guerres. Car oui, la guerre est « genrée », comme la paix. ».
Journée d’étude
26 février - Fontainebleau
A partir de la fin des années 1970, en France notamment, des groupes féministes se spécialisent dans la lutte contre les violences envers les femmes, en se concentrant sur le viol, la violence conjugale et le harcèlement sexuel au travail. Ils orientent leurs actions vers des dispositifs d’écoute et d’accompagnement des femmes, ainsi que de prévention de ces violences.