économie
Appel à contributions
Avant le 15 juin - Bordeaux 3
Tenu à l’IUFM de Bordeaux au printemps 2011, le colloque consacré à la figure du bas-bleu entre 1848 et 1870 a été l’occasion d’un constat. Si la question du pouvoir et des stratégies qu’elle peut induire n’est pas ignorée des travaux portant sur les femmes auteurs et la littérature féminine, la question de l’argent en revanche reste étrangement absente, comme si l’on évacuait l’interrogation sous-jacente de la minorité financière des femmes (auteures ou pas) et de l’assujettissement au pouvoir masculin, disposant de son côté du monopole légitime de la puissance monétaire.
This contribution seeks to delineate the broad contours of a transnational, anti-imperial feminist perspective on gender and economics in Muslim communities by bringing together feminist analyses of Orientalist tropes, development discourses and policies, and macro- and microeconomic trends. The goal is to facilitate conversations among scholars who have tended to work within their respective disciplinary and methodological silos despite shared interests.
Journée d’études CEDREF
4 novembre - Paris Diderot
Journée d’étude
26-27 juin - Genève
Séminaire Genre et économie
26 mai - Paris
International Workshop
22 avril - Paris
The financial crisis of 2007 has diversely hit European countries, causing economic and labour market disequilibria of more or less magnitude. As with past global crises, the current one has gendered implications. While women’s employment is said to be preserved relatively to men’s in the early stages of a recession, austerity plans implemented in several countries to limit public deficits and debts are deemed to affect female workers more deeply.
6 mai - Paris Descartes
Livre
Il existe partout dans le monde une multitude d’initiatives locales spécifiquement féminines combinant activités économiques (production, consommation, finance, etc.) et politiques (défense des droits) et pourtant celles-ci sont quasiment ignorées de l’opinion publique et du domaine académique.
Plafond de verre, salaires moindres, emploi à temps partiel subi, exploitation domestique… Difficile d’échapper à ce triste constat : les inégalités entre les sexes demeurent, encore et toujours, un fait structurant de nos sociétés modernes. Comment y remédier ?
Malgré les lois, discours et autres chartes, en France, le salaire des femmes reste inférieur d’un quart à celui des hommes. Comment expliquer cet écart persistant ? Au XIXe siècle, on considérait qu’il n’était pas vital pour une femme de travailler. Pouvant compter sur « monsieur Gagnepain », celle-ci ne pouvait prétendre qu’à un « salaire d’appoint ». De manière insidieuse, ce modèle pèse encore aujourd’hui. Les salariées semblent piégées, entre « plancher collant » et « plafond de verre ».