Séminaire STRIGES Structure de recherche interdisciplinaire sur le genre, l’égalité et la sexualité
Coordination : Laura Di Spurio, David Paternotte & Valérie Piette
Les séances se tiennent de 12h15 à 14h00
Salle Doucy (Bâtiment S) Avenue Jeanne, 44
1050 Bruxelles
Programme :
Jeudi 10/09
Firouzeh NAHAVANDI
« Ventres à louer : une nouvelle approche des ressources du Sud ? »
Aujourd’hui, la gestation pour autrui (GPA) est devenue une réalité grâce aux progrès de la biomédecine. De nombreux individus et couples espèrent y trouver une réponse à leurs aspirations de descendance. Néanmoins, la GPA est également un sujet de controverses, dans la mesure où elle suscite de nombreuses questions, entre autres, sur la santé de la mère et de l’enfant, ce que signifie une famille, ce que signifie être parent, la citoyenneté, l’intérêt de l’enfant, mais également sur les implications d’une rémunération éventuelle de la mère porteuse. C’est dans ce cadre, que s’inscrit cette communication. En effet, de plus en plus de personnes ont recours aux « services » de femmes de pays pauvres. En conséquence, la GPA est devenue un business qui implique de nombreux acteurs, dont les femmes porteuses, les médecins, les intermédiaires… et bien évidemment les clients eux-mêmes. Cette communication croisera les motivations des clients et des prestataires de « services » pour aborder l’inégalité de l’échange et discuter de la mise en place d’une nouvelle forme d’appropriation des ressources du Sud. Aujourd’hui, la gestation pour autrui (GPA) est devenue une réalité grâce aux progrès de la biomédecine. De nombreux individus et couples espèrent y trouver une réponse à leurs aspirations de descendance. Néanmoins, la GPA est également un sujet de controverses, dans la mesure où elle suscite de nombreuses questions, entre autres, sur la santé de la mère et de l’enfant, ce que signifie une famille, ce que signifie être parent, la citoyenneté, l’intérêt de l’enfant, mais également sur les implications d’une rémunération éventuelle de la mère porteuse. C’est dans ce cadre, que s’inscrit cette communication. En effet, de plus en plus de personnes ont recours aux « services » de femmes de pays pauvres. En conséquence, la GPA est devenue un business qui implique de nombreux acteurs, dont les femmes porteuses, les médecins, les intermédiaires… et bien évidemment les clients eux-mêmes. Cette communication croisera les motivations des clients et des prestataires de « services » pour aborder l’inégalité de l’échange et discuter de la mise en place d’une nouvelle forme d’appropriation des ressources du Sud.
Jeudi 01/10
Julie DE GANCK
« À qui appartient la santé des femmes ? Le développement de la gynécologie entre 1880 et 1940 »
Jeudi 12/11
Elsa ROLAND
« Généalogie de l’éducation ménagère : la disciplinarisation et la biopolitisation des femmes et de leur famille en Belgique francophone (1830-‐1950) »
Mardi 01/12
Anaëlle PRÊTRE
« L’intersectionnalité à l’oeuvre chez les artistes femmes : évolution d’une pratique corporelle engagée depuis les années 1880 »
Contact :
laura.dispurio@gmail.com Entrée libre