La plupart des ouvrages disponibles en français présentent l’homosexualité comme la résultante d’une enfance ou d’un environnement particulier voire d’un choix, et ce, au mépris des données scientifiques. Tous les livres sauf un, celui de Jacques Balthazart, à la tête du Groupe de recherches en neuroendocrinologie du comportement à l’université de Liège. Pour lui l’homosexualité a une composante biologique importante.