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Annonces du RING - 1er mai 2007


Date de mise en ligne : [01-05-2007]




[Annonces du RING]

[N’hésitez pas à me signaler vos informations concernant les colloques et les séminaires.
GG]

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SOMMAIRE :
1 - COLLOQUE :
- "Historia y Feminismo. La historiografía feminista francesa y su influencia en España", 8-9 juin, Madrid (Espagne)
- Judith Butler à Bruxelles le 25 mai
2 - SEMINAIRE :
- "Sexe et genre : pour un dialogue interdisciplinaire aux carrefours des sciences de la vie et des sciences humaines", Institut Emilie du Châtelet
3 - APPELS A CONTRIBUTIONS :
- Avant le 3 mai, "Gender – Genre – Geschlecht : Travelling Concepts"
- Avant le 15 juin, "« Cache ce travail que je ne saurais voir ! » Ethnographier le travail du sexe"
4 - ALLOCATIONS :
- Allocations doctorales et post-doctorales de l’Institut Emilie de Châtelet
5 - INTERNET :
- Création d’un site web sur la Women’s History au Royaume-Uni
6 - PUBLICATIONS :
- Cahiers du Genre, "Inversion du genre. Corps au travail et travail des corps"
- Sylvie Chaperon, Les Origines de la sexologie, 1850-1900
- Teresa de Lauretis, Théorie queer et cultures populaires : De Foucault à Cronenberg
- "Féminin, masculin : anthropologie des catégories et des pratiques
médicales", sous la direction de Virginie Vinel
- Recherches féministes, "Dé-construire le féminin"

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COLLOQUE :

- "Historia y Feminismo. La historiografía feminista francesa y su influencia en España"
II Seminario Internacional de la AEIHM
8-9 juin 2007, Madrid (Espagne)
Infos :
http://www.aeihm.org/events/ISemInt/Home.htm

- Judith Butler, professeure à l’Université de Californie (Berkeley), viendra à Bruxelles le 25 mai pour une édition spéciale des Soirées de Sophia, organisée en collaboration avec l’Atelier Genre(s) et Sexualité(s) (http://www.ulb.ac.be/is/ags/) de l’ULB.

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SEMINAIRE :

- Le séminaire de recherche "Sexe et genre : pour un dialogue interdisciplinaire aux carrefours des sciences de la vie et des sciences humaines"
Organisateurs : USM 104 - CNRS UMR 5145 Eco-anthropologie et éthnobiologie, Opération de Recherche " Les problématiques du genre " (responsable : Evelyne Peyre), et Institut Emilie du Châtelet (responsable :Evelyne Peyre et Joëlle Wiels).Département scientifique Hommes, natures, sociétés du MNHN.
Adresse : Amphithéâtre Rouelle, MNHN Jardin des Plantes, rue Cuvier 75005 Paris.
Objectifs : Dans le cadre d’un échange interdisciplinaire, le séminaire sera animé par des chercheurs des sciences de la vie et des sciences de l’Homme et de la Société. Le dialogue qui s’établira devrait souligner la diversité des approches et permettre de formuler un certain nombre d’interrogations épistémologiques. La distinction rigoureuse entre sexe et genre devrait notamment montrer ce qui dans la notion commune, comme dans la notion savante, du sexe, relève en fait du genre (travail d’épistémologie critique sur les sciences biologiques).
Calendrier provisoire :
. Mardi 29 mai 2007 (14h15-17h00)
Hélène Pagezy, Directrice de Recherche au CNRS, biologiste spécialiste de l’alimentation à l’USM 104 - UMR CNRS 5145 EcoAnthropologie et Ethnobiologie du Département scientifique Hommes, natures, sociétés du MNHN.
" Devenir femme chez les Ntomba du Congo "
. Mardi 19 juin 2007 (14h15-17h00)
Catherine Louveau, Professeure en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives au Laboratoire Sports, Politique et Transformations Sociales à Université Paris XI (ORSAY), membre du Comité directeur et du Comité scientifique de l’Institut Emilie du Châtelet.
" Corps dans le sport et genre "

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APPELS A COMMUNICATIONS :

- Avant le 3 mai
"Gender – Genre – Geschlecht : Travelling Concepts"
Colloque international
Avec la participation de :
Caroline Arni (Berne), Elsa Dorlin (Paris), Geneviève Fraisse (Paris),
Myra Marx Ferree (Wisconsin), Gudrun-Axeli Knapp (Hanovre), Lorena Parini (Genève),
Patricia Purtschert (Bâle/Paris), Eleni Varikas (Paris)
Le réseau suisse des études genre organise un colloque international de trois jours qui
s’adresse aux étudiant·e·s et aux doctorant·e·s aussi bien qu’aux chercheur·e·s confirmé·e·s
dans le domaine des études genre.
« Gender », « genre », « Geschlecht » sont des concepts nomades qui se construisent et se
modifient au gré de leurs voyages à travers les différentes cultures scientifiques. Leurs
diverses acceptions varient selon les contextes de réception. Ils sont marqués par les divers
rapports de pouvoir. Parfois ils s’intègrent dans les paradigmes dominants, quand d’autres fois
ils se confrontent à des obstacles linguistiques particuliers. Le paysage international des
études genre s’est ainsi développé de manière multiple et variée. Il est traversé par des
constructions théoriques, des cadres conceptuels et des références historiques qui diffèrent
d’une tradition linguistique à l’autre.
Est-ce que les termes de « gender », de « genre » et de « Geschlecht » signifient la même
chose ? Si tel n’est pas le cas, quels sont néanmoins les points communs entre ces concepts ?
Dans le cas de « gender », de « genre » et de « Geschlecht », s’agit-il non seulement de
concepts nomades, mais également de « boundary concepts » ? C’est-à-dire des concepts
polysémiques qui lient entre eux des champs scientifiques hétérogènes et peuvent engendrer
une forme d’unité ? Le colloque « Gender – Genre – Geschlecht : Travelling Concepts »
s’intéresse à ces questions, en mettant plus particulièrement l’accent sur les différences, les
similitudes et les voies de réception entre les traditions théoriques germanophones et
francophones.
Les journées se dérouleront en deux temps. Elles s’organiseront d’une part autour de neuf
interventions en plénière qui reprendront et discuteront de façon approfondie le thème du
colloque. D’autre part, les concepts centraux des études genre germanophones et
francophones, ainsi que leur réception dans les zones linguistiques respectives, seront discutés
sous forme de courtes présentations lors d’ateliers sur les thématiques suivantes :
1. Intersectionalité
2. Queer
3. Psychanalyse
4. Egalité, parité, Gleichheit
5. Discours, signe, textualité
6. Sciences
Nous invitons les chercheur·e·s issu·e·s des études genre, ainsi que celles et ceux issu·e·s des
Sciences sociales et humaines qui travaillent dans une perspectives de genre, à nous envoyer
leur candidature. Sont attendus des résumés de 2000 à 3000 signes en rapport avec les six
thématiques susmentionnées. Le colloque se déroulera en français, en allemand et en anglais.
Les résumés sont les bienvenus dans ces trois langues. Lors du colloque, les interventions
seront traduites simultanément, de l’allemand au français et inversement.
Les résumés doivent être envoyés, avant le 3 mai 2007, sous forme électronique à :
fabienne.amlinger@izfg.unibe.ch
Infos : http://www.izfg.unibe.ch/travelling_concepts/

- Avant le 15 juin
"« Cache ce travail que je ne saurais voir ! » Ethnographier le travail du sexe"
Colloque international
MAPS – Université de Neuchâtel, Suisse – les 24 et 25 janvier 2008
La prostitution jouit d’une curieuse forme de distinction scientifique : le « plus vieux métier du monde » n’est en réalité étudié sous l’angle de la sociologie du travail que depuis récemment et cela de manière remarquablement timide. Ce paradoxe s’étend plus généralement aux nombreuses autres formes de travail liées à l’industrie du sexe (danseuse de cabaret, escorte, masseuse, actrice de films pornographiques) où l’on trouve des femmes qualifiées de « faciles » censées mener des vies « difficiles », sans pour autant que la principale raison de leur présence dans ces secteurs – le travail rémunéré – soit examinée avec soin.
Cette invisibilité s’explique en partie par les multiples rapports qui lient ces formes de travail à l’illégalité, quand bien même la sociologie de la déviance s’est intéressée à de nombreuses activités délictuelles ou criminelles. La prostitution étant prescrite en tant que telle, elle n’était pas classée comme « métier » à côté de celui de secrétaire, de menuisier ou d’infirmier. Or, depuis la légalisation de la prostitution dans plusieurs pays européens, dont la Suisse, la question de son statut de « métier » sans guillemets se pose de manière frontale. Et force est de constater qu’elle suscite des oppositions, tant du côté des moralistes traditionnels (ou nouveaux) que du côté de certains courants du féminisme. Ce problème de classement lié à la nature hautement stigmatisée du travail prostitutionnel apparaît avec une clarté violente quand on examine son rapport aux autres secteurs de l’Etat : bien que légal, le travail dans l’industrie du sexe ne sera jamais proposé à un chômeur ou à une chômeuse par un conseiller en placement, et risque de priver une mère de la garde de ses enfants en cas de divorce. Décidément, la prostitution n’est pas un métier comme les autres.
L’invisibilité du travail effectué dans l’industrie du sexe est également un effet des autres formes d’illégalité qui guettent ces professionnel-le-s, très souvent des migrant-e-s totalement ou partiellement sans autorisation de séjour et/ou de travail. Les études menées auprès de ces personnes montrent bien que les difficultés dont elles témoignent avec le plus d’urgence n’ont le plus souvent que très peu à voir avec leur activité en tant que telle. C’est surtout la vulnérabilité supplémentaire liée à la stigmatisation de ce travail ou à l’illégalité migratoire qui leur pose les plus grands défis, avec son cortège de menaces de la police, d’escroquerie et de chantage exercés par les passeurs, les collègues, les tenanciers de bar, les gérants d’appartements et autres intermédiaires.
Dans cet appel à contributions, nous souhaitons partir du constat de l’invisibilité du travail sexuel pour poser la question de sa description empirique : en quoi consistent exactement les différentes formes de travail sexuel rémunéré ? Quelles « formations » nécessite-t-il ? Comment est-il structuré dans le temps (contrôle sur le rythme, la durée et la régularité du travail) et dans l’espace, aussi bien collectif (localisation dans les villes, les banlieues) qu’intime (répartition des fonctionnalités au sein de l’espace de travail) ? Au-delà de l’activité sexuelle « en soi », quelles sont les autres activités liées à la pratique de ces formes de travail ? Comment les personnes concernées le représentent-elles, comment décrivent-elles ce qu’elles ont appris et ce qu’elles veulent encore apprendre, ce qu’elles peuvent y trouver, ce qu’elles n’aiment pas, voire ce qui les fait souffrir ? Sur quels critères qualifient-elles leurs collègues de « bon-ne-s », « doué-e-s » ou au contraire « incompétent-e-s » pour ce travail ? Est-ce qu’elles-mêmes pensent que c’est un « métier » et comment le justifient-elles ?
Ces questions seront mises en lien avec la circulation croissante des personnes et des images dans ce monde hautement transnational qu’est l’industrie du sexe : comment expliquer que de plus en plus de migrant-e-s travaillent dans ce secteur et quelles sont leurs situations ? Comment les facteurs de genre, de classe et d’ethnicité/race sont-ils construits, articulés, mis en scène et superposés dans les pratiques et les représentations liées à ces activités ? De quelle manière des facteurs migratoires comme le type de statut de séjour – ou justement le manque de statut – influencent-ils la nature même de ce travail ? L’objectif est de récolter des matériaux ethnographiques qui permettent d’entrevoir les différentes formes du travail sexuel rémunéré et ses liens avec les logiques de genre, de classe et de race.
Notre démarche se veut volontairement descriptive, car une meilleure compréhension empirique de ce travail nous semble incontournable si nous souhaitons entrer de manière nuancée et respectueuse dans les débats sur les politiques étatiques et internationales dans ce domaine. Loin de nier la dimension de contrainte qui s’exerce à différents niveaux dans le « choix » d’exercer ce type d’activité – allant des processus socio-économiques de déqualification et de marginalisation des personnes sans grande formation professionnelle aux formes les plus violentes qui caractérisent certains réseaux internationaux de trafic d’êtres humains – ce colloque a pour but de rendre compte de façon ethnographique des activités, méconnues car stigmatisées, qui constituent le quotidien de ces formes de travail. Nous considérons que les actrices et les acteurs principaux du marché du travail sexuel ont quelque chose à nous apprendre sur leurs activités, même si leurs positions ne suffisent pas à elles seules à clore les débats. Ainsi, ce colloque privilégiera-t-il les études à caractère empirique dans lesquelles les points de vue, les expériences et les circonstances de vie de ces professionnel-le-s occupent une place centrale.
Les abstracts doivent comprendre entre 1’000 et 2’000 signes et être envoyés à Marylène Lieber (marylene.lieber@unine.ch) pour le 15 juin 2007. Nous demanderons les textes complets des contributions retenues pour le 15 décembre 2007. Un colloque sera organisé autour de conférences plénières et de workshops, lors desquels l’accent sera mis sur la discussion des textes mis à disposition de tout-e-s les participant-e-s.
Organisatrices de la conférence : Prof. Janine Dahinden (MAPS), Loïse Haenni (Institut d’ethnologie), Prof. Ellen Hertz (Institut d’ethnologie), Marylène Lieber (MAPS), Alice Sala (Institut d’ethnologie).
La MAPS - la maison d’analyse des processus sociaux - est née d’une vision et d’une convergence d’intérêts de professeurs de différentes disciplines des sciences sociales. Elle est un lieu de partage de savoir et de savoir-faire, que ce soit dans la mise sur pied de programmes d’enseignement communs ou dans l’élaboration de projets de recherche interdisciplinaires (www.unine.ch/maps ou maps.info@unine.ch).

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ALLOCATIONS :

- Allocations doctorales et post-doctorales
Dans le cadre de la subvention que lui accorde la Région Île-de-France, l’Institut Émilie du Châtelet lance deux appels à candidatures pour l’attribution d’allocations doctorales et post-doctorales. Ces allocations sont destinées à soutenir des recherches menées sur les femmes, le sexe ou le genre. Elles concernent toutes les disciplines.
. Allocations doctorales : elles prennent la forme d’un contrat à durée déterminée d’une période de 36 mois pour les étudiant-e-s inscrit-e-s en 1ère année de thèse et 24 pour ceux ou celles inscrit-e-s en 2ème année. Le salaire mensuel net est d’environ 1350 euros.
. Allocations post-doctorales : elles prennent la forme d’un contrat à durée déterminée, d’une durée de 12 à 18 mois pour un salaire mensuel net moyen de 2100 euros.
Les dossiers de candidatures devront être transmis à l’IEC par les candidat-es au plus tard le 25 mai 2007.
Ces dossiers sont également téléchargeables sur le site de l’IEC : http://www.mnhn.fr/iec

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INTERNET :

- Création d’un site web sur la Women’s History au Royaume-Uni qui rassemble des ressources nationales et internationales :
http://www.genesis.ac.uk/

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PUBLICATIONS :

- Cahiers du Genre 42 / 2007
"Inversion du genre. Corps au travail et travail des corps"
En pénétrant des espaces de travail traditionnellement dévolus à l’autre sexe, femmes et hommes bousculent-ils/elles les définitions genrées de la corporéité au travail ? Pas de réponse univoque à cette question, les dynamiques novatrices se combinant aux ambivalences féminines, aux résistances masculines, aux rappels à l’ordre normatifs de l’entourage.
Coordonné par
Yvonne Guichard-Claudic et Danièle Kergoat
Lire l’introduction et les résumés des articles sur :
http://cahiers_du_genre.iresco.fr
. Sommaire
Yvonne Guichard-Claudic et Danièle Kergoat
Le corps aux prises avec l’avancée en mixité (Introduction)
Christine Mennesson
Les sportives ‘professionnelles’ : travail du corps et division sexuée du travail
Geneviève Pruvost
Anatomie politique, professionnelle et médiatique des femmes dans la police
Sylvie Cromer et Dominique Lemaire
L’affrontement des sexes en milieu de travail non mixte, observatoire du système de genre
Marine Cordier
Corps en suspens : les genres à l’épreuve dans le cirque contemporain
Oumaya Hidri
Le ‘chassé-croisé’ des apparences sexuées : stratégie d’insertion professionnelle des cadres commerciaux
Elisa Herman
La bonne distance. L’idéologie de la complémentarité légitimée en centres de loisirs
Laurence Hardy
De la toiletteuse au thanatopracteur. Prendre soin des corps après la mort
. Hors-champ
Maria Rosa Lombardi
Le genre et ses frontières. Les femmes ingénieures dans le Brésil d’aujourd’hui
. Note de recherche
Madeleine Hersent et Angélique Rose
Retrouver du travail au Creusot Montceau-les-Mines : un parcours d’obstacles pour les femmes
. Document
Claude Zaidman
La mixité, objet d’étude scientifique ou enjeu politique ?
. Notes de lecture
Catharine A. MacKinnon. Le féminisme irréductible. Discours sur la vie et la loi (Éléonore Lépinard) Soline Blanchard, Jules Falquet et Dominique Fougeyrollas (eds). Transmission : savoirs féministes et pratiques pédagogiques (Anne-Marie Devreux)
Patricia Mercader (ed). Le sexe, le genre et la psychologie (Christophe Dejours)
Ilana Löwy. L’emprise du genre. Masculinité, féminité, inégalité (Marie Bonici)
Joan W. Scott. Parité ! L’universel et la différence des sexes (Aurélia Troupel)
Michel Kail. Simone de Beauvoir philosophe (Marie Ploux)
Catherine Vidal et Dorothée Benoit-Browaeys. Cerveau, sexe & pouvoir (Stéphane Le Lay)
Christine Mennesson. Être une femme dans le monde des hommes. Socialisation sportive et construction du genre (Anne-Marie Devreux)
Annie Dussuet. Travaux de femmes. Enquêtes sur les services à domicile (Isabelle Puech)
Claude Dubar. Faire de la sociologie. Un parcours d’enquêtes (Sandrine Dauphin, Jacqueline Heinen et Helena Hirata)
Pour toute commande au numéro, s’adresser àL’Harmattan :
diffusion-harmattan@wanadoo.fr
tél. 01 40 46 79 20

- Sylvie Chaperon, Les Origines de la sexologie, 1850-1900, Editions Audibert, 2007, 22 euros

- Teresa de Lauretis, Théorie queer et cultures populaires : de Foucault à Cronenberg, La Dispute, 2007
A noter : la librairie Violette à Paris (11e) accueillera Teresa de Lauretis le 28 juin à 19h en présence de Marie-Hélène Bourcier et Pascale Molinier :
http://www.violetteandco.com/librairie/article.php?id_article=228

- "Féminin, masculin : anthropologie des catégories et des pratiques
médicales"
Sous la direction de Virginie Vinel
Cahiers du Portique, n ° 4, revue de Philosophie et de Sciences huamines de l’Université Paul Verlaine de Metz (le portique@voila.fr- BP 65, 67061 Strasbourg Cedex).
Les pratiques et les catégories médicales sont-elles sexuées ?
Comment est-on passé d’une représentation de la femme "naturellement
"m morbide à celle de la la "mère" en bonne santé au XVIIIè siècle ?
Comment les catégories de ménopause et d’andropause se
construisent-elles du XIXè siècle à nos jours ? Comment aborder
l’incontienece féminie et masculine ? L’assignation à un genre est
omniprésente, comme le montre l’exemple des Mazatèques au Mexique où
l’importation de pratiques médicales occidentales préserve la statut
en termes de genre. L’ouvrage permet d’interroger les injonctions
contradictoires traversées par la dimension de genre.
Contributions :
d’Elsa Dorlin Nicoletta Diaisio, Magali Demanget, Pascal LeVaou,
Patrick Ténoudji, Virginie Vinel Marie Isabel Freiria, Liane Mozère.

- "Dé-construire le féminin"
Recherches féministes, 2006, volume 19, n°2, Montréal, GREMF,
Pavillon Charles de Koninck, Université Laval, Québec, Canada, G1K7P4
revue.gremf@fss.ulaval.ca
Contributions :
Isabelle Boisclair et Lori Saint-Martin ; "Les
conceptions de l’identité sexuelle, le postmodernisme et les textes
littéraires" ;
Isabelle Courcy, Suzanne Laberge, Carine Erard et
Catherine Louveau, "Le sport comme espace de reproduction et de
contestation des représentations stéréotypées de la féministé" ;
Liane Mozère et Irène Jonas, "Comment re-penser petite enfance et rapports
de genre : l’exemple des auxiliaires de puériculture en France" ;
Virginie Duclos : "La scolarisation des élites féminines en France du
Maghreb en France : les stratégies familiales, sexuées et de classe,
et les parcours scolaires".
Notes de recherches et comptes rendus


RING
(Réseau Interuniversitaire et
interdisciplinaire National sur le Genre)
Bâtiment D - Salle 226
Université Paris 8
2 rue de la Liberté
93526 Saint-Denis - Cedex 02
tél. 01 49 40 73 49
mél ring@iresco.fr
http://www.univ-paris8.fr/RING

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