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Annonces du RING - 15 avril 2007


Date de mise en ligne : [15-04-2007]




[Annonces du RING]

[N’hésitez pas à me signaler vos informations concernant les colloques et les séminaires.
GG]

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SOMMAIRE :
1 - COLLOQUES
- "Normes et Contre Normes : dés/humanisation des femmes et sexualités", 14-15 juin, Paris
- "Santé des femmes et qualité de vie. Pratiques, représentations, enjeux", 3-9 juin, Laval (Québec)
2 - SEMINAIRES
- Prochaines séances du séminaire du CEDREF
- "Sexe et Genre : pour un dialogue interdisciplinaire aux carrefours des sciences de la vie et des sciences humaines", Institut Emilie du Châtelet, Paris
- "Genre, médias et politique", 3 mai, CEVIPOF
3 - APPEL A CONTRIBUTIONS
- Avant le 1er mai 2007. "La prostitution des mineur(e)s et des jeunes. Approches historiques."
4 - INTERNET
- Mise en ligne des interventions du colloque "le Genre au coeur de la mondialisation"
5 - PUBLICATIONS
- "Genre et organisations", nouveau numéro de la revue Travail, genre et sociétés
- (Ré)articulation des rapports sociaux de sexe, classe et
« race » : repères historiques et contemporain. Mémoires du séminaire du CEDREF 2005-2006
- "Violences envers les femmes. Trois pas en avant deux pas en arrière"
Sous la direction de Natacha Chetcuti et Maryse Jaspard
- Catharine MacKinnon, "Ce ne sont que des mots"
- Judith Butler, Le Récit de soi
- Marie-Laure Déroff, Homme/Femme : la part de sexualité. Une sociologie du
genre et de l’hétérosexualité
- Evelyne Pisier et Sara Brimo, Le Droit des femmes

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COLLOQUES :

- Programme provisoire colloque "Normes et Contre Normes : dés/humanisation des femmes et sexualités"
14 et 15 juin 2007
CEDREF Université Paris Diderot,
site Javelot
103/105 rue Tolbiac 75013 Paris
Objectifs et thématiques du colloque :
Les recherches féministes en sciences humaines, menées depuis le début des années 1970, ont montré les logiques politiques sous-jacentes aux systèmes sociaux qui refusent aux femmes un plein statut humain. La sexualité (réelle ou supposée) des femmes a souvent été utilisée dans ce but. Aujourd’hui, il est temps de nous pencher sur les pratiques sexuelles considérées comme stigmatisantes pour les femmes et leurs enjeux, afin de saisir les effets produits par des groupes minorisés et des pratiques de marge sur la définition de la norme dans le domaine des sexualités. Ce colloque aura pour objet d’analyser le vécu quotidien et l’existence historique et géographique d’un ensemble de femmes dont les pratiques sexuelles sont ou ont été perçues comme « déviantes », en marge des normes, ainsi que les conséquences de ces pratiques, tant pour les différentes sociétés concernées que pour les femmes et les hommes. L’objectif est de mettre à jour les différentes formes et pratiques de contrôle social à l’égard des femmes et d’analyser les modes de résistance des femmes, qu’ils soient individuels et/ou collectifs. Il s’agira également d’identifier les processus de transformations – fruit de transgressions ou subversions – du rapport sexe/genre, sexualité, dans les différentes temporalités et géographies et d’examiner comment ces transformations se comportent par rapport aux autres variables sociales que sont l’âge, les classes sociales, les classes de race, etc. Ce projet, à visée interdisciplinaire, croisera les différentes approches des sciences humaines : historique, sociologique, civilisationniste, linguistique, biologique, anthropologique, psychanalytique, littéraire, philosophique...
* Jeudi 14 juin *
9h15 :
Ouverture du colloque
Discours d’introduction : Florence Binard (Université Paris Diderot/CEDREF et ICT) Natacha Chetcuti (Université Paris Diderot/CEDREF et EHESS/LAS).
9h45 : Début des ateliers
9h45 à 12h30 :
Usage des normes et transgressions
Discutante-s Marie-Elisabeth Handman et Numa Murard
Usages des normes et mises en valeurs de leurs pratiques dans les discours des prostituées mobilisées contre la loi sur le racolage. Malika Amaouche, Doctorante anthropologie politique, EHESS Paris, France.
Les réactions des personnes prostituées face aux violences. Agi Fôldhazi, Doctorante en sociologie, Université de Genève, Suisse.
Les prostituées de rues à Florence aujourd’hui. Maria Faussonne, Doctorante en anthropologie sociale, EHESS Paris, France.
9h45 à 12h30 :
L’impensable, l’invisible et le monstrueux.
Discutant-e-s Line Chamberland et Brigitte Lhomond.
Sexualités féminines et visibilité médiatique, effets sociopolitiques de la stigmatisation pour les femmes vivant avec le sida. Maria Mensah, Professeur de sociologie, Université du Québec, Montréal, Canada.
Le « hors champ » du sexuel : les Anciens et les relations entre femmes. Sandra Boehringer, Maître de conférences en civilisation, Université Marc Bloch Strasbourg II, France.
Sexualités féminines en prison : pratiques, discours et représentations. Gwénola Riccordeau, Contractuelle d’enseignement en sciences sociales, Université de Lille 3, France.
Evolution dans le temps et dans l’espace d’un marquage corporel de genre : l’excision. Isabelle Gillette Faye, Sociologue/Chef de projet du programme européen de lutte contre les mutilations génitale féminines en Europe, GAMS/Agence Intergouvernementale de la Francophonie.
Déjeuner : 12h30 à 14h15
Début des ateliers : 14h15
14h30 à 17h30 :
Sexualités genres et théories féministes
Discutantes Jules Falquet etFrançoise Gaspard.
Renormer “la” lesbienne féministe des années 1970. Diane Lamoureux, Professeur de Science Politique, Université de Laval, Québec, Canada.
Exclusion des prostituées de la théorie féministe contemporaine. Namaste Viviane, Professseur agrégé en études féministes, Université Concordia Montréal, Québec, Canada.
Quand le voyage en parenté s’égare en lesbophobie : analyse critique des Métamorphoses de la parenté Maurice Godelier. Nathalie Rubel, doctorante en philosophie, Université de Lille 3.
“La peste occidentale” identitarisme ethnique, antiféminisme et invisibilisation des lesbiennes. Bronwyn Winter, Maître de conférence en études de français, Université de Sydney, Australie.
14h30 à 17h30 :
Résistances et relation aux normes
Discutant-es Dominique Fougeyrollas et Michel Bozon
Jeunes lesbiennes : représentations, faits et modes de résistance. Dominique Bourque, Professeur adjoint en littérature, Université d’Ottawa, Canada.
Normes sexistes, insubordinations subversives. Soeur Juana de La Cruz : en Amérique Latine au XVIIème siècle un contrepoint dialectique au libéralisme naissant. Ana-Liési Thurler, Professeur de sociologie, Université de Brasilia, Brésil.
Brésil : trente années de résistance féministe à la violence sexiste. Lourdes Bandeira, Professeur de sociologie, Université de Brasilia, Brésil.
L’intervention sociale face aux travailleuses du sexe : résistance et mobilisation collective au Québec. Mélina Bernier, Doctorante en travail social, Université de Québec, Montréal, Canada.
Travailleuses du sexe dans le mouvement des femmes au Québec. Louise Toupin, Chargée de cours, Etudes Féministes, Universités Montréal, Ottawa, Canada.
Fin de la journée : 18h00
* Vendredi 15 juin *
9h15 : Petit déjeuner
9h30 Début des ateliers
9h30 à 12h30 :
Construction et production des normes
Discutantes Maryse Jaspard et Régis Révenin
Les mots de la rue tunisoise. Le parler populaire comme indicateur des représentations populaires du féminine et de la sexualité féminine. Sonia Ben Soltane, Doctorante en Urbanisme, Université d’Aix-Marseille, France.
Sexualité lesbienne et catégories de genre : l’hétéronormativité en milieu de travail. Line Chamberland et Julie Théroux-Seguin, Professeur de Sociologie et maître-assistante, IREF/UQAM, Canada.
Dévirilisation ou déshumanisation des esclaves Antillais ? Arlette Gautier, Professeure de sociologie à l’Université de Brest, France.
9h30 à 12h30 :
Monde médical et construction des normes et XIXè siècle
Discutant-es Françoise Barret Ducrocq et Michel Prum
La stigmatisation du cerveau sexuel féminin : les contrôles de l’Utéromanie et Hypocondrie par les neuromédecins entre 1820-1860. Bernard Andrieu, Professeur épistémologie du corps et des pratiques corporelles, Université de Nancy 2, France.
Sexualité des sportives : contradictions dans les discours biomédicaux sur la pratique physique et sportive des femmes de 1880 à 1922. Anaïs Bohuon, Doctorante en Staps, Université Paris XI, France.
Déjeuner : 12h30 à 14h30
Début des ateliers : 14h30
14h30 à 17h30 :
Monde médical et construction des normes du XXè au XXIè siècle
Discutant-es Hélène Rouch et Liliane Crips
Femmes sans enfant à l’ère de la médicalisation : stigmates, retournements et brèches. Laurence Tain, Maître de conférence en sociologie/démographie, Université de Lyon 2, France.
L’excès attribué au féminin : un stigmate de la psychanalyse ? Mildred Salas, Doctorante en psychologie, Université Paris Diderot, France.
La baisse ou absence de désir sexuel (après l’accouchement) : pathologie ou syndrome d’un problème social, Caroline Hirt, Ethnologue, ? Université de Neuchâtel, Suisse.
14h30 à 17h30 :
Représentations culturelles.
Discutant-es Eliane Viennot et Marie-Blanche Tahon
“Moi je m’balance” Sur la figure féministe de la “sorcière” dans la Fiancée du Pirate de Nelly Kaplan. Hélène Fleckinger, Doctorante en cinéma, Université Paris I Panthéon Sorbonne, France.
Une fiction sexuelle pas comme les autres. L’idée et les figures de la “déviance” dans la representation de la sexualité dans la trilogie des jeunes filles de Catherine Breillat. Claudine Le Pallec Marand, Doctorante Etudes cinématographiques et audiovisuelles, Université Paris 8, France.
Roman “Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer” de Dany Laferrière. Lori St Martin, Professeur de littérature, Université du Québec, Montréal, Canada.
Pratiques sexuelles et pratiques esthétiques : provocation (critique) ou transgression. Thérèse St Gelais, Professeur d’histoire de l’art, Université du Québec, Montréal, Canada.
N’être plus qu’un sexe : lecture de Folle, de Nelly Arcan. Isabelle Boisclair, Professeur de littérature québécoise, Université de Sherbrooke, Canada.
14h30 à 17h30 :
Sexualités, racialisations, complicités et résistances
Discutantes Elsa Dorlin etEric Fassin
Lesbian, queer of colour. Paola Bacchetta, Matt Richardson, Roshanak Khesti, Professeurs et doctorante-s, University of California Berkeley et Austin Texas, USA.
17h45 Discours de clôture : Florence Binard (Université Paris Diderot/CEDREF et ICT) Natacha Chetcuti (Université Paris Diderot/CEDREF et EHESS/LAS).

- Université féministe d’été
"Santé des femmes et qualité de vie. Pratiques, représentations, enjeux"
Université Laval, Québec
3-9 juin 2007
Pavillon Charles-De Koninck, Amphithéâtre 1C
Dans toutes les régions du monde, les questions de santé et de qualité de vie sont au cœur des rapports sociaux de sexe. Il n’est donc pas étonnant que les féministes s’y soient beaucoup intéressées. En peu de temps, la santé des femmes est devenue un champ d’étude et d’intervention féministes incontournable. Non seulement connaissons-nous mieux aujourd’hui la maladie, les soins et la santé dans leurs dimensions physiques et mentales mais un nombre considérable de chercheuses, de militantes et d’intervenantes féministes ont documenté le caractère social, politique, historique, culturel, idéologique, économique, technologique, légal, éducatif, épidémiologique, environnemental, éthique de la santé des femmes.
Programme :
* Lundi 4 juin *
9h-12h : OUVERTURE
Présidente de séance : Édith Deleury
Michel Pigeon, recteur de l’Université Laval : Mot de bienvenue
Huguette Dagenais : Introduction et présentation du programme
Édith Guilbert : « Santé publique et planification des naissances, au cœur des préoccupations des femmes d’hier et d’aujourd’hui »
12h30 : FILM
14h-17h : « LE TRAVAIL, C’EST LA SANTÉ ! » VRAIMENT ?
Présidente de séance : Liette Goyer
Johanne Daigle : « Les femmes, au cœur de la modernisation des soins de santé »
Karen Messing et Jessica Riel : La santé au travail des institutrices (titre à préciser)
Marie-France Maranda, Simon Viviers : « La psychodynamique du travail des femmes médecin : Une question de mieux-être et de santé mentale »
Chloé SERRADORI : Les femmes handicapées (titre à préciser)
* Mardi 5 juin *
9h-12h : VIH-SIDA
Présidente de séance : confirmation attendue
Isabelle Auclair : « Féminisation et hétérosexualisation du VIH-Sida et leurs conséquences. Le cas de l’Équateur »
Maria De Koninck : « Mondialisation, urbanisation et santé sexuelle et reproductive des jeunes migrantes en Afrique »
Marie-Céline Fortin : « Inégalités dans les rapports sociaux de sexe et VIH-SIDA au Québec »
Emmanuelle Bédard et Françoise Côté : « Pour la vie, contre le VIH-SIDA. Empowerment des femmes dans le milieu de la prostitution de rue à Québec » (titre provisoire)
12h30 : FILM
14h-17h : SANTÉ REPRODUCTIVE ET DÉVELOPPEMENTS TECHNOLOGIQUES
Présidente de séance : Louise Langevin
Marlène Cadorette : « Le plan de naissance comme manifestation d’une appropriation du choix des soins : quelques aspects juridiques »
Myriam Morissette : « La césarienne élective »
Nathalie Parent : « Pour en finir avec la fin des menstruations ! »
19h30
Grande conférence ouverte au public
Fatou Sow
Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) Cheikh Anta-Diop, Université de Dakar
Vivre sa santé
Pratiques, représentations, enjeux
pour les femmes en Afrique subsaharienne
Présidente de séance : Huguette Dagenais
* Mercredi 6 juin *
9h-12h : ENVIRONNEMENT
Présidente de séance : confirmation attendue
Lise Parent : « Que connaissons-nous des liens entre la santé des femmes et l’environnement ? »
Jocelyne Néron : « Le poids de l’eau sur la santé et la qualité de vie des femmes. Désertification en Afrique de l’Ouest »
Madeleine Bird : « La face cachée des produits de beauté »
12h30 : FILM
14h-17h : LE CORPS DES FEMMES
Présidente de séance : Guylaine Demers
Marie-Hélène Landry : « Condition physique cosmétique et mythes relatifs à l’entraînement musculaire. Les implications en termes de santé »
Confirmation attendue : Les implants mammaires, un produit de consommation comme les autres ?
Hélène Bélanger-Martin, Marlène Duchesne : « Anorexie et troubles de l’alimentation. » Communication suivie de la présentation du film La peau et les os… après, elle-même suivie d’une période de discussion avec la réalisatrice, Hélène Bélanger-Martin
* Jeudi 7 juin *
9h-12h : CONDITIONS DE VIE ET INTERVENTION SOCIALE
Présidente de séance : confirmation attendue
Ann Robinson, Josette Tardif, Lynda Benhadj : « La santé des lesbiennes dans la région de Québec. État d’une enquête »
Bilkis Vissandjée : « L’interface entre les femmes immigrantes et les intervenant-e-s de première ligne »
Isabelle Miron : « Aidantes naturelles, un double défi dans les communautés francophones et acadienne du Canada »
12h30 : FILM
14h-17h : VIOLENCE : PRÉVENTION ET TRAITEMENT DES FEMMES VICTIMES
Présidente de séance : confirmation attendue
Johanne Landry : « Couverture médiatique des cas d’agression sexuelle et santé des femmes : l’affaire Dave Hilton et l’affaire Guy Cloutier, 1999-2006, au Québec »
Renée Brassard : « Violence et femmes amérindiennes/autochtones »
Francine Cytrynbaum : La violence envers les aînées (titre à préciser)
17h15-19h RÉCEPTION ET LANCEMENTS
* Vendredi 8 juin *
9h-12h : QUESTIONS D’AUJOURD’HUI, ENJEUX POUR L’AVENIR
Présidente de séance : Renée Cloutier
Catherine Des Rivières Pigeon : titre à confirmer
Abby Lippman : « La santé des femmes : un choix primordial mais plus qu’une simple question de choix » (« Women’s health : choice matters, but it’s more than a matter of "choice" »)
12h-12h30 : CLÔTURE
Huguette Dagenais : Mot de la fin et remerciements
Pour des renseignements supplémentaires :
(418) 656-2131 poste 8930 ; universite-feministe-ete@fss.ulaval.ca
http://www.fss.ulaval.ca/universitefeministedete
Des informations détaillées (tarifs, formulaire d’inscription, modalités d’obtention de crédits, logement sur le campus, etc.) se trouvent sur le site web : http://www.fss.ulaval.ca/universitefeministedete

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SEMINAIRES :

- Prochaines séances séminaire CEDREF Université Paris Diderot site Javelot 103/105 rue Tolbiac 75013 Paris salle 1.87 de 17h15 à 19h15
10 mai :
Emmanuelle Lada (Sociologue, post doc, GTM) et Dolores Pourette (Anthropologue, ATER à Paris 5, Laboratoire d’anthropologie sociale)
"Trajectoires dans la précarité : mondes du travail, santé et sexualité à l’épreuve des rapports sociaux de sexe, de classe et de race"
24 mai :
Les Furieuses Fallopes (groupe de féministes radicales non-mixte) “L’imbrication des systèmes de sexe, classe, race et sexualité et les luttes actuelles”
30 mai : (Nouveaux locaux de Paris Diderot (Halle aux farines, salle et horaire à confirmer) : Hommage à Germaine Tillion pour ses 100 ans, avec Miriam Grossi (Anthropologue, Université Fédérale de Santa Catarina, Brésil)

- "Sexe et Genre : pour un dialogue interdisciplinaire aux carrefours des sciences de la vie et des sciences humaines"
Ce séminaire se situe, selon la spécificité de notre Laboratoire, à l’interface des sciences de la biologie et des sciences humaines et, selon les missions de l’IEC (Institut Emilie du Châtelet), dans un large contexte disciplinaire incluant, en plus des disciplines de notre Laboratoire, certaines des disciplines sollicitées par l’IEC, par exemple, la neurobiologie, les sciences de la cognition, la médecine, la bio-éthique... et les disciplines des sciences humaines qui s’intéressent au corps.
Ce dialogue, enrichi par la diversité augmentée des approches, ne peut que favoriser et préciser les interrogations épistémologiques formulées.
Prochaines séances
Mardi 24 avril : July Bouhallier (Préhistoire et paléoanthropologie : peuplements, environnement et comportements, Département scientifique Préhistoire, MNHN).
Titre de son intervention : « Le dilemme obstétrical : une réalité biologique ? »
Mardi 29 mai : Hélène Pagezy, (EcoAnthropologie et Ethnobiologie, CNRS).
Titre de son intervention : « Devenir femme chez les Ntomba du Congo »
Mardi 19 juin : Catherine Louveau, (Laboratoire Sports, Politique et Transformations Sociales à l’Université Paris XI (ORSAY), et Institut Emilie du Châtelet).
Titre de son intervention : « Corps dans le sport et genre »
Responsables :
Evelyne Peyre (Chargée de recherche au CNRS, Éco-anthropologie et Ethnobiologie)
Joëlle Wiels (Directrice de Recherche au CNRS, Immuno-généticienne, Institut Gustave Roussy)
Contacts : peyre@mnhn.fr, wiels@igr.fr, Institut Emilie du Châtelet
Lieu et heures : Amphithéâtre Rouelle, Jardin des Plantes, rue Cuvier, Paris 05
de 14h30 à 17h.

- "Genre, médias et politique"
3 mai 2007
Avec :
Frédérique Matonti (Université Paris 1, CRPS) : " Le féminin en politique : usage (médiatique) du genre en campagne et stéréotypes sociaux".
Séminaire du Groupe Genre et politique
Lieu : Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF). 98, rue de l’Université. 75 007 PARIS.
Salle Georges Lavau. Le Jeudi de 17 à 19 h.

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APPEL A CONTRIBUTIONS :

- Avant le 1er mai 2007
"La prostitution des mineur(e)s et des jeunes. Approches historiques"
Pour le prochain numéro de la Revue d’histoire de l’enfance irrégulière (n°10)
Depuis les travaux pionniers d’Alain Corbin (Les filles de noces, 1978), historiens et spécialistes des sciences sociales publient régulièrement des recherches sur la question de la prostitution. Ainsi, à côté de monographies locales (Harsin, 1985 ; Termeau, 1986), assez nombreuses, et couvrant progressivement de nouveaux espaces, on trouve des analyses sociologiques, juridiques, anthropologiques des phénomènes prostitutionnels, des mouvements de réforme sociale luttant contre la prostitution (Brian Donovan, 2006), ainsi que des politiques publiques tendant à la contrôler ou à l’interdire (S. Danet et V. Guienne, 2006). Pour ne prendre que des exemples récents, la prostitution a fait l’objet d’analyse recourant aux outils conceptuels de l’histoire du genre (Clio, n°17-2003) ou a été mise en relation avec le système de domination coloniale (C. Taraud, 2003). Il faut cependant noter que la production historique francophone apparaît bien en retard par rapport à la profusion des publications en langue anglaise (Louise Jackson, 2002 ; A. Brown et D. Barrett, 2002).
Ainsi, il n’existe pas, en langue française, de travaux portant spécifiquement sur la question des mineur(e)s et des jeunes prostitué(e)s. Or, la jeunesse des prostitué(e)s, leur minorité au regard de la loi, posent aux sociétés un certain nombre de problèmes particuliers (moraux, législatifs, hygiénistes, etc.) qui méritent d’être étudiés. La figure fragile du jeune, à qui la société doit protection, ne s’oppose-t-elle pas à la figure inquiétante de la (du) prostitué(e) ? L’acte payant avec un(e) mineur(e) ne doit-il pas être considéré et puni comme un abus ?
D’autre part, alors que la prostitution s’internationalise, que des réseaux bien organisés alimentent le monde occidental en jeunes gens et jeunes filles, les instances de protection de la jeunesse semblent se désintéresser de la question laissant le terrain au monde associatif. En France, les dernières rencontres sur le sujet datent de la fin des années 1980 (CNFEES, 1987 ; IDEF, 1990).
Enfin, il parait utile de revenir une nouvelle fois sur ce thème de la prostitution, alors que se développent, en opposition aux anciennes politiques publiques, réglementaristes ou prohibitionnistes, des théories, qui au nom du libéralisme, font du corps « une marchandise comme les autres » et revendiquent donc le droit de se prostituer librement.
Ainsi le comité de rédaction de la Revue d’histoire de l’enfance irrégulière a-t-il décidé de consacrer un numéro à cette question. Celui-ci sera ouvert à toutes les périodes historiques, jusqu’aux temps les plus récents, ainsi qu’à tous les pays. Il concernera aussi bien la prostitution masculine que la prostitution féminine. Les quelques pistes de réflexion qui suivent ne sont pas exclusives d’autres thèmes proposés par les auteurs.
- Il pourrait être utile de s’intéresser aux pratiques prostitutionnelles des jeunes et à leurs évolutions dans la longue durée, en rapport aux définitions morales et légales de la prostitution. Il serait aussi intéressant d’étudier l’évolution de la géographie internationale de la prostitution, la question discutée des filières de trafic, et l’émergence récente de la notion de tourisme sexuel.
Plus largement, l’analyse pourra aussi porter sur les comportements se situant aux marges de la prostitution. Par exemple, des jeunes filles s’étant enfuies du foyer paternel et poursuivies devant les tribunaux de l’Entre-deux-guerres utilisent souvent les mots de « noce » ou de « fêtes » pour parler de faits qui peuvent être considérés, par les adultes, comme de la prostitution. L’usage de ces vocables a-t-il un sens particulier dans leur bouche : simple euphémisme pour ne pas parler ouvertement de prostitution ou revendication d’une libération, au moins temporaire, du pouvoir des adultes. La parole des jeunes devant les tribunaux, parole « captive » (Chauvaud) de l’appareil judiciaire, mérite cependant d’être écoutée.
- Il faudrait aussi s’intéresser à l’attitude des pouvoirs publics et de la justice. Dans le système réglementariste en particulier, la prostitution des mineur(e)s se trouve au cœur d’une contradiction entre la tolérance accordée aux activités prostitutionnelles et la nécessaire protection des jeunes. La prostitution n’étant pas poursuivie par la loi, comment gérer alors les cas des jeunes prostitué(e)s ? Dans les pays dirigés par le Code pénal français, il est bien connu que le délit de vagabondage a largement été utilisé, instrumentalisé, pour réprimer la prostitution des jeunes filles. Plusieurs lois ont tenté de remédier à ce phénomène. Si celle de 1908 est bien connue (Yvorel, 2002), il pourrait être utile de revenir sur la genèse et les effets sociaux de celle de 1921 (qui crée la notion de débauche) ou encore sur les décrets-lois de 1935 (dépénalisation du vagabondage).
- Si la prostitution ne relève qu’incidemment de la loi, par le racolage entre autres, il existe, en revanche, toute une prise en charge administrative de cette activité. Quelle est l’attitude des services de police (Berlière, 1992), puis des services d’hygiène à l’égard des jeunes prostitué(e)s ? Quels types de traitement leur applique-t-on ? Quels établissements les prennent en charge ? Dans quels objectifs ? Et avec quelles garanties en ce qui concerne les libertés individuelles ? En France, une affaire médiatique récente montre toutes les ambiguïtés des services de police confrontés à une situation complexe mettant en scène client majeur et prostituée mineure.
- Récemment, plusieurs pays se sont lancés sur la voie de la pénalisation de la clientèle, en particulier en ce qui concerne les prostitué(e)s mineur(e)s. Sur ce point, la Suède, à l’opposée du système néo-réglementariste adopté par les Pays-Bas, présente un modèle exemplaire qui influence les débats internationaux et nationaux sur le sujet.
- De Parent-Duchâtelet au docteur Le Moal les prostitué(e)s ont été observé(e)s, étudié(e)s, mesuré(e)s classifié(e)s. Tout un discours savant s’est développé tendant à rechercher les stigmates physiques, les penchants héréditaires, plus rarement, les causes sociales, pouvant éclairer les débuts du jeune dans la prostitution. Si les théories anciennes sont bien connues (Lombroso, Lacassagne, etc.), il existe toute une production « scientifique » plus récente qui n’a pas encore fait l’objet d’analyses historiques.
- Si l’histoire des sociétés de réforme et des groupes de pression luttant contre la prostitution a largement progressé dans de nombreux pays, il faudrait étudier quelle a été l’attitude de ces mouvements à l’égard des mineur(e)s et des jeunes. De même, il faudrait étudier l’attitude d’autres mouvements, tels les courants féministes ou les sociétés de protection de la jeunesse.
- Il faudrait également prendre en compte l’action des instances internationales (SDN, ONU, etc.). La SDN, par exemple, lance toute une réflexion autour de la traite des « blanches », propose aux Etats un certain nombre de recommandations pour lutter contre ce fléau, met en place des conventions internationales. Certains Etats suivent ces indications, alors que d’autres refusent.
Pour prévoir une publication en 2008, il est nécessaire de réunir les textes pour le 1er septembre 2007. Ceux-ci ne devront pas dépasser 50.000 signes. Conformément aux usages de la revue, les textes sont soumis à une double évaluation anonyme. Il est possible de proposer un texte dans une autre langue que le français, mais celui-ci devra être traduit avant publication.
Pour toute proposition d’article, envoyer avant le 1er mai 2007, un résumé à Eric Pierre : eric.pierre@univ-angers.fr ou Christine Machiels : machiels@chdj.ucl.ac.be

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INTERNET :

- Mise en ligne des interventions du colloque "le Genre au coeur de la mondialisation" organisée par Genre, Travail, Mobilités (GTM) les 21, 22 et 23 mars derniers :
http://www.gtm.cnrs-bellevue.fr/site-gtm/colloqueMondialisation.htm

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PUBLICATIONS :

- "Genre et organisations"
nouveau numéro 17/2007 de la revue Travail, genre et sociétés
Sommaire :
PARCOURS
Martha Nussbaum
Justice et développement humain
propos recueillis par Laura Lee Downs
DOSSIER
coordonné par Tania Angeloff et Jacqueline Laufer
Genre et organisation
Changement organisationnel et stratégies identitaires.
Le cas de cinq infirmièr-e-s britanniques
Susan Halford
Les femmes cadres dans les entreprises innovantes
Ina Wagner et Andrea Birbaumer
La fabrication organisationnelle des dirigeants
Un regard sur le plafond de verre
Cécile Guillaume et Sophie Pochic
Des femmes dans la maison des hommes
L’exemple des surveillantes de prison
Guillaume Malochet
MUTATIONS
La querelle des sexes dans l’histoire de la modernité espagnole
Carlos Prieto
Politique familiale et emplois des mères,
peut-on importer le modèle suédois ?
Céline Marc et Hélène Zajdela
CONTROVERSE
coordonnée par Rachel Silvera
autour du livre de Alain Lefebvre et Dominique Méda
Faut-il brûler le modèle social français ?
De l’alchimie des modèles sociaux
Yohann Aucante
D’un modèle à l’autre : transférabilité et cohérence
Dominique Anxo
Le modèle social français se limite-t-il à cela ?
Danièle Meulders
Le modèle social scandinave : l’attrait du fruit défendu ?
Jeanne Fagnani
Réponse de Alain Lefebvre et Dominique Méda
Vous trouverez un sommaire détaillé en fichier joint.
Pour vous abonner http://www.tgs.cnrs.fr/abonnement.htm

- (Ré)articulation des rapports sociaux de sexe, classe et
« race » : repères historiques et contemporain. Mémoires du séminaire du CEDREF 2005-2006
Coordonné par Jules Falquet, Emmanuelle Lada et Aude Rabaud
Ce numéro se penche sur la (ré)articulation des rapports sociaux selon la classe, le sexe et la « race », dans le cadre des transformations sociales, politiques et économiques induites par la mondialisation. Dans le prolongement de la réflexion collective engagée lors du séminaire du CEDREF consacré à cette problématique en 2005-2006, ce numéro tente de réaliser une synthèse entre des outils d’analyse et des réflexions théoriques et militantes, en proposant un retour sur l’histoire, dans et hors l’hexagone ainsi que des réflexions théoriques issues de différents horizons historiques, géographiques et disciplinaires.
Qu’apportent les nouvelles recherches à l’analyse de la situation des femmes, dans toute leur diversité, voire leurs oppositions internes, en tant que « classe de sexe » ? Comment traitent-elles la dé-naturalisation du sexe tout autant que de la « race » ? Qu’est devenue la classe, a-t-elle disparu devant la « race » ? /Quid/ de l’imbrication des rapports sociaux de classe, de sexe et de « race », ainsi que leur relation de co-construction ? Comment des constructions théoriques anciennes mais solides sont-elles mobilisées pour interroger la réalité contemporaine et dans quelle mesure cette dernière conduit-elle, en retour, à les ré-examiner ? Comment, enfin, penser l’action ? Ces questions ont constitué la toile de fond commune aux séances du séminaire ainsi qu’aux contributions rassemblées dans ce numéro.
Sommaire
* Jules FALQUET, Emmanuelle LADA, Aude RABAUD
Introduction
* Myriam PARIS
La page blanche. Genre, esclavage et métissage dans la construction de la trame coloniale
(La Réunion, XVIIIe-XIXe siècle)
* Combahee River Collective (Traduit de l’anglais (USA) par Jules Falquet)
Déclaration du Combahee River Collective
* Jules FALQUET
Le Combahee River Collective, pionnier du féminisme Noir : contextualisation d’une pensée radicale
* Vincenza PERILLI
« Sexe » et « race » dans les féminismes italiens. Jalons d’une généalogie
* Horia KEBABZA
« L’universel lave-t-il plus blanc ? » : Race, racisme et système de privilèges
* Paola BACCHETTA
Quand des mouvements lesbiens à Delhi questionnent les « Théories féministes transnationales »
Infos : cedref@ccr.jussieu.fr

- Violences envers les femmes. Trois pas en avant deux pas en arrière
Sous la direction de Natacha Chetcuti et Maryse Jaspard, L’Harmattan,
Bibliothèque du féminisme, 27 euros
L’ensemble de ces diverses contributions se réfèrent à une problématique de genre selon laquelle les violences contre les femmes résultent, en premier lieu, de la hiérarchisation des rapports sociaux de sexe. Ces textes témoignent de la volonté de poursuivre le combat de la reconnaissance scientifique et politique des violences contre les femmes. Le titre incline à vision optimiste des transformations : un pas de plus dans la marche vers l’égalité et la lutte contre les violences sexistes.

- Catharine MacKinnon, "Ce ne sont que des mots", Editions Des femmes, 2007, 10 euros
Traduit de l’américain par Isabelle Croix et Jacqueline Lahana
Ce ne sont que des mots réunit trois articles, « Diffamation et discrimination », « Harcèlement sexuel et harcèlement racial » et « Égalité et liberté d’expression ». L’auteure y analyse la façon dont la pornographie, aux États-Unis, est protégée par le premier amendement de la Constitution : en la considérant comme une forme d’expression, c’est-à-dire comme une pensée, des « mots » et non des actes, les juges en font non un acte de discrimination, mais une parole diffamatoire. Or, dans la pornographie se joue un rapport de forces dissymétrique où la femme est dominée, et ce qui est en jeu alors, ce n’est pas « que des mots », c’est un acte de discrimination réel.

- Judith Butler, Le Récit de soi, PUF, 2007, 16 euros
Cet ouvrage renouvelle de manière fondamentale la pratique éthique, en affirmant avec vigueur que la réflexion morale ne saurait être considérée en dehors du contexte social et politique dans lequel elle est formulée. Si la philosophie morale a par nature tendance à idéaliser le sujet moral en lui conférant une autonomie trop vite considérée comme allant de soi, il importe de contrer cette tendance en prenant comme point de départ l’expérience indépassable du caractère relationnel de chaque vie. Aucune vie ne saurait se dire à soi, parvenant à construire le récit adéquat de son déroulement, ni revenir sur son émergence dans le monde. Ce qui se soustrait à elle, ce sont non seulement les conditions de sa naissance et de son développement, mais aussi les formes sociales qui la rendent lisible. La reconnaissance de soi par soi est incomplète, lacunaire. Située dans le récit des autres, elle est hantée par les formes de justification qui en découlent et achèvent de rendre toute procédure de reconnaissance impossible. Le rapport à l’autre devient constitutif de l’impossible rapport à soi. C’est dans ce contexte de dépossession qu’il devient urgent, selon Judith Butler, de procéder à une enquête sur les conditions de possibilité d’une relation morale à soi et aux autres qui ne fasse pas violence à un tel contexte mais le prenne au contraire en considération. Car l’éthique est violente dès lors qu’elle s’arroge le droit de dépasser les contextes singuliers dans lesquels se trouvent placées les vies pour formuler des prescriptions universelles.

- Marie-Laure Déroff, Homme/Femme : la part de sexualité. Une sociologie du
genre et de l’hétérosexualité, PUR, Collection Le Sens Social.
Présentation :
Les femmes ne feraient pas l’amour sans investir la relation, tandis que les hommes dissocieraient plus aisément sexe et sentiments. Ce serait là, affaire
de « Nature ». Que dire alors des changements de comportements sexuels au
cours de ces dernières décennies ? Vaines tentatives d’émancipation de cette « Nature » dont la sexualité se ferait l’expression ? La sociologie oppose à cette lecture, une approche en termes de constructions sociales. La sexualité est une voie d’analyse du social. Dans un mode hétérosexuel, la sexualité peut alors être tenue pour lieu d’actualisation des rapports sociaux entre les sexes. La bonne distance entre les identités sexuées, l’être ensemble et séparés, qui se recomposent en contexte d’égalité, rendraient à nouveau inaperçue la « domination
masculine ». L’auteure interroge la dynamique relationnelle de se « 
Transformer pour mieux demeurer ». Quels « donnant donnant » peut-on conclure l’un avec l’autre ? Quels consentements s’y renouvellent ? Quelles
Ouvertures s’y jouent ? À quels arrangements peut-on se faire soi-même ? Que traduisent ces changements en forme « d’emprunt » ou de « révélation » ? Passer de la mécanique sexuelle à la sexualité relationnelle si l’on peut rester individualiste ?
Garder le modèle de sexualité relationnelle si elle permet l’émancipation ?
Des femmes et des hommes nous parlent ici, chacun dans sa logique narrative – logique de « carrière » ou de « situation » –, de la manière de devenir une femme, de devenir un homme dans et par la sexualité. Ainsi, Marie-Laure Déroff nous propose-t-elle une analyse des idéaux de la féminité et de la masculinité
Auxquels se réfère l’expression de la sexualité et en contrepartie les usages de la sexualité par lesquels se vit le sentiment d’être une femme, d’être un homme.
Marie-Laure Déroff est docteure en sociologie, membre du laboratoire « 
Atelier de recherche sociologique » (EA 3149). Elle enseigne au département de Sociologie de l’université de Bretagne occidentale.

- Evelyne Pisier et Sara Brimo, Le Droit des femmes, Dalloz, 2007, 2 euros
L’ouvrage présente les textes juridiques concernant l’évolution des droits politiques, civils et sociaux des femmes françaises, de la Déclaration des droits de l’Homme à nos jours.
http://boutique.dalloz.fr/Produit.aspx?ProduitID=707014


RING
(Réseau Interuniversitaire et
interdisciplinaire National sur le Genre)
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Université Paris 8
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tél. 01 49 40 73 49
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