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Annonces du RING - 15 juin 2010


Date de mise en ligne : [15-06-2010]




[Annonces du RING]

// http://www.univ-paris8.fr/RING/index.php \\

[N’hésitez pas à m’adresser vos informations. GG.]

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SOMMAIRE :
1 - COLLOQUES :
- "Sex sells, Blackness too ? Stylisation des rapports de domination dans la culture hip-hop", 28 juin, Paris 8
- "Journée des doctorant-e-s en études féminines et études de genre de Paris 8", 18 juin, Paris 8
- "Le Manifeste Cyborg - Bruno Latour, Donna Haraway et Isabelle Stengers", 30 juin, Paris Pompidou
2 - SEMINAIRES :
- Todd Shepard, "La révolution sexuelle en France et l’homme arabe, 1967 à 1974", 16 juin, Paris
- Reguina Hatzipetrou-Andronikou, "Genre et structures éducatives dans le milieu du renouveau de la musique traditionnelle en Grèce", 16 juin, EHESS
- Laure Murat, "Ni homme, ni femme : quoi, alors ?", 24 juin, Paris
3 - APPELS A CONTRIBUTIONS :
- Avant le 2 juillet, "Genre et parcours de vie. Enfance, adolescence, vieillesse", Nancy 2
- Avant le 31 juillet, "Transmissions et partages"
- Avant le 1er octobre, "Animation et santé"
- Avant le 15 octobre, "Exploring contested terrains of LGBT public activism in Eastern Europe”
4 - DIVERS :
- Master : Sociologie et anthropologie : politique, culture et migrations. Spécialité Recherche : Genre et développement
- Josiane Hay, "Le casse-tête de la traduction du mot « gender"
- Groupe de travail sur les mondes ouvriers/classes populaires dans une perspective prenant en compte les rapports sociaux de sexe de 1789 à nos jours
- "1970-2010 : où en sommes-nous de la déconstruction des identités genrées ?" - entretiens
- PRESAGE - Sciences Po Paris
5 - PUBLICATIONS :
- Luc Capdevila, François Rouquet, Fabrice Virgili, Danièle Voldman, Sexes, genre et guerres (France, 1914-1945)
- Lorena Parini, Le système de genre. Introduction aux concepts et théories
- Maxime Cervulle, Jade Lindgaard, Éric Macé, Éric Maigret, Angela McRobbie, David Morley, Éric Neveu, Cultural Studies. Genèse, objets, traductions
- VST, revue du champ social et de la santé mentale, "Que faire avec les filles ?"
- Liane Mozère, Fleuves et rivières couleront toujours. Les nouvelles urbanités chinoises
- Yannick Ripa, L’Affaire Rouy. Une femme contre l’asile au XIXe siècle
- Raphaëlle Moine, Les femmes d’action au cinéma
- Marilyon Yalom, Le Sein. Une histoire
- Marguerite Rollinde, Genre et changement social en Afrique
- La lutte contre les violences faites aux femmes

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1 - COLLOQUES :

- "Sex sells, Blackness too ? Stylisation des rapports de domination dans la culture hip-hop"
Journée d’études de l’école doctorale "Pratiques et théories du sens" - laboratoire Théories du politique - Laptop
lundi 28 juin
Université Paris 8 - salle D 0002
Présentation :
Depuis les années 90, la culture rap jouit d’une reconnaissance artis- tique et commerciale sans précédent, mobilisant tout type de supports multimé- dias (de la radio à la téléphonie mobile). Quelle incidence a cette musique sur nos modes de perceptions de l’Autre ? Le rap acquiert dans ce processus d’identifi- cation une capacité à re-produire la « race » au travers de stéréotypes genrés et sexistes. Quel(s) type(s) de contribution(s) les sciences humaines et sociales peuvent-elles alors apporter à la compréhension de l’une des musiques les plus controversées de notre société ?
Programme :
9h Théâtralité et re-présentation des corps dans le rap
Présidence : Malek Bouyahia, ATER au département de science politique Université Paris 8 Saint-Denis
> Franck Freitas, Allocataire-moniteur au département de science politique Université Paris 8 Saint-Denis.
La fabrique du corps noir dans l’industrie du rap
> Rocé, artiste rap
Besoin d’oxygène
> Karima Ramdani, ATER au département de science politique, Université Paris 8 Saint-Denis
Les représentations du corps féminin noir et maghrébin
dans la musique Rap
14h00 Rap hors savoir ?
Présidence : Violaine Roussel, Professeure au département de science politique, Université Paris 8 Saint-Denis.
> Sébastien Barrio, Docteur en sociologie, Université Paris 8 Saint-Denis
La textualité dans le rap français
> Elsa Dorlin, Maître de conférence à La Sorbonne Paris I
Culture hip hop et féminisme hardcore
> Gérome Guibert, Maître de conférences à l’Université Paris III (UFR Communication)
La recherche sur le hip hop en France. Un essai de lecture historique
http://www.univ-paris8.fr/article.php3?id_article=3480

- "Journée des doctorant-e-s en études féminines et études de genre de Paris 8"
Vendredi 18 juin 2010
Université Paris 8
Bâtiment B, salle 106 - 9h30
Avec le soutien des écoles doctorales « Pratiques et Théories du Sens » et « Sciences Sociales ».
Programme :
09h30 Accueil des participants
. 09h45 Aicha BELARBI, UMR 7217 Cresppa GTM
Ambitions, traumatismes et folie dans les oeuvres de Maïssa Bey et Leïla Marouane
. 10h30 Mathilde FOURNIER, Cresppa GTM et EA 1569
Le genre à l’épreuve de la guerre : la tentation du passing dans les textes d’autofiction de Christopher Isherwood et Klaus Mann
. 11h15 Camille DELON, UMR 7217 Cresppa GTM
Penser le corps blessé chez Anne-Marie Alonzo et Audre Lorde
12h Déjeuner
. 13h30 Cecilia KATUNARIC, EA 4385 (Laboratoire d’Études romanes)
Lire, comprendre, sentir, réécrire aux femmes : sur deux écrivaines chiliennes
. 14h15 Jordana CANOVA, UMR 7217 Cresppa GTM
Corps étrangers, pratiques artistiques minoritaires
15h00 Pause café
. 15h15 Nathanael WADBLED, Equipe EA 4008 (Laboratoire d’Études et de recherches des logiques contemporaines de la Philosophie)
Au-delà du principe de désir : les plaisirs S/M de Foucault
. 16h00 Damien TISSOT, CRESPPA-GTM
Féminisme, justice et universalisme : l’apport de Paul Ricoeur

- "Le Manifeste Cyborg - Bruno Latour, Donna Haraway et Isabelle Stengers"
mercredi 30 juin, 19h30, Grande salle, niveau -1
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Présentation :
Philosophe des sciences et professeur à Santa Cruz, Donna Haraway est une figure majeure de la pensée contemporaine. Elle a développé depuis les années 1980 la théorie Cyborg, qui conteste l’essentialisme du genre et propose d’explorer le caractère hybride (machine et organisme) de l’être humain. Ses ouvrages ont profondément renouvelé et bouleversé les domaines de la primatologie, de la biologie et de la philosophie. Rencontre avec la philosophe Isabelle Stengers et Bruno Latour autour de quelques-uns de ses sujets de prédilection : sorcières, animaux et scientifiques.
http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Manifs.nsf/0/ADE43ECD4DC6CD78C12576DB004F2712?OpenDocument&sessionM=2.6.3&L=1&view=

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2 - SEMINAIRES :

- Séance du séminaire "Genre en situation coloniale et postcoloniale"
Mercredi 16 juin 2010 (18H00-20H00)
Todd Shepard, "La révolution sexuelle en France et l’homme arabe, 1967 à 1974"
Todd Shepard est Directeur de recherches en histoire contemporaine à l’université Johns Hopkins (USA). Il est notamment l’auteur de 1962. Comment l’indépendance algérienne a transformé la France, Paris, Payot, 2008.
Séminaire mensuel à NYU Paris : 56 rue de Passy, 75016 Paris (métros Passy sur la ligne 6 ou La Muette sur la ligne 9). En cas de problème pour ouvrir les portes à cause des codes tel : 01 53 92 50 80.

- Atelier Genre - EFiGiES-IRIS
mercredi 16 juin à 19h, salle 3, à l’EHESS, 105 bd Raspail.
Reguina Hatzipetrou-Andronikou (Doctorante en sociologie au CMH-EHESS)
"Genre et structures éducatives dans le milieu du renouveau de la musique traditionnelle en Grèce"
L’atelier est ouvert à toute personne intéressée.
Contacts :
Solenn Carof solenncarof@hotmail.fr
Julie Guillot guillotjulie@hotmail.fr

- Séminaire de recherche « Sexe et genre : pour un dialogue interdisciplinaire au carrefour des sciences de la vie et des sciences humaines »
organisé par l’Institut Emilie du Châtelet et l’UMR CNRS 7206 EcoAnthropologie & Ethnobiologie, Opération Recherche « genre » MNHN, Département scientifique Hommes, Natures, Sociétés.
Séance du 24 juin 2010
14h à 16h30 : Jardin des Plantes, Amphithéâtre de Paléontologie, 2 rue Buffon, 75005 Paris
intervention de
Laure Murat
Historienne, professeure au département d’études françaises et francophones, Université de Californie-Los Angeles (UCLA), USA
« Ni homme, ni femme : quoi, alors ? »
Entre l’avènement du romantisme et la Seconde guerre mondiale, s’est élaborée en Europe une notion désignant toutes les catégories d’individus qui n’entraient pas dans la définition traditionnelle de « l’homme » et de « la femme », rassemblées sous le terme de « troisième sexe ». Comment s’est-il construit et qu’a-t-il apporté en retour à l’histoire du genre ? À travers l’analyse d’archives de la police, de traités médicaux et de textes littéraires, le troisième sexe ressort comme un opérateur moins innovant qu’utile pour décrypter l’histoire des mentalités par rapport aux problématiques de sexe et de genre. Il s’agira de montrer aussi bien ses limites que ses perspectives, jusqu’à l’époque actuelle, dans les débats à l’intérieur des études transgenres et la théorie queer.
Publications
Laure Murat, La Maison du docteur Blanche : histoire d’une maison de santé et de ses pensionnaires, de Nerval à Maupassant, Paris, Lattès, 2001. (Goncourt de la biographie) Laure Murat, Passage de l’Odéon : Sylvia Beach, Adrienne Monnier et la vie littéraire à Paris dans l’entre-deux guerres, Paris, Fayard, 2003.
Laure Murat, La Loi du genre : une histoire culturelle du ‘troisième sexe’ , Paris, Fayard, 2006.

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3 - APPELS A CONTRIBUTIONS :

- Avant le 2 juillet
"Genre et parcours de vie. Enfance, adolescence, vieillesse"
Colloque international - Université de Nancy 2 les 21 et 22 octobre 2010
Le colloque a le soutien de la MSH Lorraine, de l’AISLF, de deux équipes de recherche (2L2S-Lasures, erase des Universités de Nancy et de Metz ; Cultures et Sociétés en Europe de l’Université de Strasbourg) et du programme de recherche international « CEVI ».
Présentation :
Depuis plusieurs années, les travaux conduits sur le genre ont mis au jour les processus de sexuation mais aussi les critères mobilisés pour définir et hiérarchiser les conduites masculines et féminines dans des domaines divers de l’existence sociale (la famille, l’école, l’emploi, la retraite, etc.). Ceci étant, les recherches articulant les problématiques liées au genre et celles liées à la codification des âges sociaux sont encore assez peu nombreuses. On sait, par exemple, peu de choses des stéréotypes sexués et des normes encadrant les rapports de genre aux deux extrémités des parcours de vie : la période de l’enfance dont les bornes se redéfinissent avec l’apparition de catégories telles que la préadolescence et celle de la vieillesse aujourd’hui désignée par des termes hétérogènes (troisième âge, grand âge, dépendance, etc.). Dans quelle mesure ces désignations sont-elles genrées ? Quels en sont les effets sur les positions et les trajectoires des hommes et des femmes ? Autant de questions qui se posent aujourd’hui avec une acuité particulière.
(...)
[la suite ici : http://calenda.revues.org/nouvelle16929.html]

- Avant le 31 juillet
"Femmes au travail” se penche sur les “Transmissions et partages"
Le groupe « Femmes et histoire » de l’IHMC poursuit en 2010/2011 son cycle de travaux programmé sur 3 ans sur le thème Femmes au travail : questions de genre, XVe-XXe siècles initié en 2009/2010 avec les Ecritures du travail.
En 2010/2011 ce sont les transmissions et partages du travail qui nous retiendront, déclinés sous des aspects verticaux – transmission des savoirs et savoir-faire, des affaires, des pouvoirs au sein des métiers – et horizontaux – spécialisations féminines ou masculines et partages des tâches au sein d’une même activité, cadre d’exercice, métier ou profession. Dans tous les cas il s’agira de rendre visibles les effets de genre à l’œuvre lors de ces différents transferts et partages.
Le souci d’observer des femmes en situation de travail, sur une longue durée et au travers du prisme des rapports sociaux de sexe à l’œuvre dans un éventail aussi ouvert que possible d’activités, de statuts et de formes de professionnalisations reste nôtre. La périodisation retenue permet d’évoluer de la rigidité du cadre corporatif en place sous l’Ancien Régime à la déstructuration du travail, dans ses temporalités, lieux et conditions s’accentuant à la fin du xxe siècle.
L’ouverture en direction de l’histoire économique et sociale comme des sciences sociales reste également de mise. Le principe des séances repose sur des interventions organisées en binômes histoire/science sociale sur des sujets en cohérence d’objet et/ou continuité chronologique. Le séminaire se veut avant tout carrefour de réflexions autour de chantiers de recherches encore en cours, achevés récemment, ou plus anciennement mais ré-interrogés dans une perspective de genre non présente lors de leur élaboration.
En 2011/2012 le cycle se poursuivra autour des créations, inventions et productions, avec une attention particulière –sans être exclusive – portée au travail intellectuel et artistique.
Les séminaires 2010/2011 se tiendront à l’IHMC (45 rue d’Ulm 75005 Paris) sous forme de 6 séances de décembre à mai, en principe les premiers mardis après-midis de chaque mois et d’une journée complémentaire un samedi en juin, permettant d’élargir le cercle des intervenants.
Merci d’adresser vos propositions d’interventions ou de faire part de votre intérêt pour le suivi de nos travaux par mail avant le 31 juillet à l’adresse martine(point)sonnet(X)ens(point)fr

- Avant le 1er octobre
"Animation et santé"
Mardi 7 et Mercredi 8 décembre 2010.
Journée 1 : Territoires - Journée 2 : Genre
Présentation :
En périphérie du système de santé français (dans ses composantes privées et publiques soutenues par les financements obligatoires et l’aide de l’Etat), le monde associatif et le secteur professionnel de l’animation représentent un secteur important, à la fois ancien et innovant, relativement peu exploré par les sciences sociales : bénévoles engagés dans des ligues contre le cancer, la défense des droits des minorités sexuelles, l’accompagnement des personnes en fin de vie ; professionnels associatifs ou territoriaux mettant en place des actions de prévention contre l’alcoolisme et les drogues, d’éducation à la sexualité, d’intégration des handicapés, de santé communautaire. Ces parcours de bénévoles et de professionnels se mêlent dans un monde aux valeurs fortes, dont l’efficacité sociale est reconnue dès qu’on atteint les limites de l’intervention du système public de santé.
Territoires : la première journée (en continuité des journées organisées par le laboratoire ADES- CNRS les 16 et 17 mars 2010 à l’ISPED-Université de Bordeaux 21) consiste à interroger la santé à partir de sa dimension territoriale : comment s’articulent les initiatives des collectivités et des associations avec la proposition publique de santé sur les territoires issus des lois de décentralisation ? Quelle place prennent- elles dans les nouveaux projets globaux de développement durable, la politique de la ville, les contrats de cohésion sociale, les projets d’aménagement et d’urbanisme ? Qui sont les acteurs bénévoles et professionnels de ces transformations, que disent-ils de l’exclusion ou de la discrimination de certaines catégories de la population ?
Genre : la seconde journée (en continuité de la journée organisée par les laboratoires ADES- CNRS et CERTOP, le 8 avril 2010 à l’Université Toulouse Le Mirail2), explore la possibilité heuristique de la variable genre, considérée non comme une variable secondaire mais centrale des questions de santé : que peut-on dire des corrélations entre genre et santé dans le monde associatif et l’animation ? Que nous disent-elles de la féminisation des métiers du soin, de la hiérarchisation et de la division du travail sexué dans le champ de la santé ? Y a t-il une spécificité « genrée » de certains publics et de leur prise en charge (familles, personnes âgées dépendantes), dans l’exclusion d’autres ? (handicapées, lgbt, hommes et femmes étranger.e.s, prostitué .e.s ?).
On pourra ainsi s’interroger sur les processus d’engagement et de professionnalisation du monde associatif et l’animation dans le champ de la santé et sur les rapports partenariaux ou conflictuels qui se jouent dans l’interface avec les institutions publiques de la santé, en particulier face au changement important que représente la territorialisation des politiques de santé depuis le milieu des années 1980.
Coordination : Eric Gallibour, Yves Raibaud Dates : mardi 7 décembre et mercredi 8 décembre Lieu : Bordeaux (à déterminer) Appel à communication : Retour des propositions avant le 1° octobre à gallibs@yahoo.fr et y.raibaud@ades.cnrs.fr.- Textes : 30 000 signes avant le 1° décembre. Organisateurs : ADES, CEMEA Aquitaine, Partenaires : AFS (RT35), Pôle SAGESSE du CERTOP-CNRS, Réseau MPG de Gironde. Projet de publication : Revue Sociologie et santé.

- Avant le 15 octobre
"Exploring contested terrains of LGBT public activism in Eastern Europe”
Présentation :
LGBT prides and marches are of crucial relevance to the way in which non-heterosexual lives are imagined internationally despite regional and national differences. In Eastern Europe, the annual Pride events have become a litmus test for the strength of the local LGBT communities as well as for the degree of tolerance of the societies in which they take place. Furthermore, local and national politicians have used the alleged danger of public disorder as a reason for banning marches, after themselves having used language likely to encourage extremist opposition from activists of faith-based or ultra right-wing organisations. Within the past couple of years, prides were banned or attacked in a number of places (including, but not limited to Riga, Chisinau, Moscow, Bucharest and Tallin).
At the same time, the 2010 EuroPride is due to take place in Warsaw, perhaps symbolically marking changes in attitudes and at the same time bringing up questions about ideologies implicated in pride events. In particular, this concerns the discourse of “progress” as well as the inscription of Eastern European LGBT movements into the narrative of victimhood and delayed development when compared to LGBT movements in the Global North. This call for papers invites scholars to critically engage with these ideologies and start answering some of the following questions :
. In what ways is sexuality (de)constructed through public activist events such as prides and marches in Eastern Europe ?
. In what way are notions of Eastern Europe challenged/constructed through LGBT public activist events ?
. What is the impact of (mostly Western) activist projects, such as the queer project on public activism in Eastern Europe ?
. What is the nature of activist networks (both transnational and local) formed in the context of public activism ?
. What about more “virtual” networks and engagement with social networking tools and Web 2.0 technology as related to public activism ? These questions are to be taken as an invitation to reflection, rather than prescriptive statements limiting potential submissions. While we focus on Central and Eastern Europe, we also welcome submissions from other parts of the world. We particularly welcome papers crossing/transgressing disciplinary boundaries. Proposals for the special issue (500 words max.) should be sent by 30th June 2010 to
Anna Gruszczynska at a.gruszczynska@bham.ac.uk
Deadline for submission of papers is 15 October 2010. We are planning to publish this issue of Sextures in February 2011.
Submissions of full texts should normally not exceed 8000 words. Please consult our guide for contributors when preparing your manuscripts. The guide can be found at http://www.sextures.net/guidelines-for-contributors. About the Sextures Sextures is a refereed international, independent, transdisciplinary electronic scholarly journal that aims to provide a forum for open intellectual debate across the arts, humanities and social sciences about all aspects affecting the intricate connections between politics, culture and sexuality primarily, but not exclusively, in the Balkans, Eastern and Central Europe. It is published in English once to twice a year. Sextures is dedicated to fast turnaround of submitted papers. More information about the journal can be found on its website : www.sextures.net

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4 - DIVERS :

- Master : Sociologie et anthropologie : politique, culture et migrations. Spécialité Recherche : Genre et développement
Il s’agit de la première formation francophone qui s’ouvre en Europe, qui intègre la dimension du genre dans une formation sur le développement.
Il s’agit d’une spécialité de Mastère recherche, destiné à apporter des éléments d’analyse critique sur le développement comme sur le genre, en incluant les perspectives les plus récentes dans le domaine (notamment les Théories de l’imbrication des rapports sociaux de sexe, « race », classe et les Etudes subalternes).
Cette formation est adossée au Centre d’Enseignement, de Documentation et de Recherche pour les Etudes Féministes - CEDREF.
Infos :
http://www.univ-paris-diderot.fr/sc/site.php?bc=formations&np=SPECIALITE?NS=922

- Josiane Hay, « Le casse-tête de la traduction du mot « gender » en français », ILCEA, 3 | 2002. [En ligne]
Le présent article a pour but de présenter les difficultés de traduction en français du terme anglais « gender ». « Gender » dans le sens étudié ici, désignant « les composantes non physiologiques du sexe perçues comme appropriées aux individus de sexe masculin et aux individus de sexe féminin », selon la définition de R. K. Unger (dans G. Le Maner-Idrissi, 1997), est attesté en anglais à partir de 1963. Aucun terme français n’exprime ce concept et, selon les contextes, surtout lorsque le texte anglais met en parallèle ou oppose « gender » et « sex », il est souvent difficile d’éviter l’anglicisme « genre ». Cet anglicisme est employé au Canada et par un certain nombre de sociologues et psychologues. Il n’est toutefois pas compris du grand public, ce qui impose au traducteur de faire des choix afin de tenir compte de la lisibilité du texte et de sa cohérence interne tout en respectant la pensée de l’auteur. L’article illustre ces difficultés et donne quelques exemples complémentaires de termes du même type reflétant une perception différente du monde, c’est-à-dire des difficultés dues au facteur culturel.
http://ilcea.revues.org/index832.html

- Travaillant sur les ouvrières dans les années 1920 et 1930, la seconde guerre mondiale et dans les années 1968, nous aimerions former un groupe de travail avec des personnes faisant une recherche sur les mondes ouvriers/classes populaires dans une perspective prenant en compte les rapports sociaux de sexe de 1789 à nos jours. L’objectif est à la fois de mutualiser nos recherches, de réfléchir à plusieurs autour de nos problématiques, de travailler ensemble la bibliographie, d’échanger nos idées d’archives etc. Les formes que cela pourrait prendre sont multiples, à définir selon nos envies : réunions de travail autour de nos recherches, atelier de lecture de textes classiques sur la question, création d’une liste mail...Dans un premier temps, cet appel s’adresse aux masterant-e-s, doctorant-e-s, post-doctorant-e-s en histoire ou en sociologie (avec une perspective sociohistorique) . Si vous êtes interessé-e-s, contactez-nous par retour de mail.
    Camille Fauroux (Allocataire à l’IEC, EHESS faurouxcamille@gmail.com , Fanny Gallot (ATER Lyon 1, Lyon 2) sporadikjas3@gmail.com, Nora Natchkova (collaboratrice scientifique Université de Genève, Université de Lausanne) Nora.Natchkova@unil.ch

- Dans le cadre du dossier "1970-2010 : où en sommes-nous de la déconstruction des identités genrées ?" (http://www.sens-public.org/spip.php?article735), qui sera constitué d’entretiens mis en ligne sur le site de l’association Sens public, nous recherchons des doctorantes ou postdoctorantes en histoire susceptibles de participer à l’élaboration et à la réalisation d’entretiens avec des historiennes spécialistes des questions de genre et de sexualités.
Les entretiens que nous souhaitons publier dans le cadre de ce dossier doivent comporter des questions qui se fondent précisément sur des extraits de travaux des historiennes interrogées. Ils requièrent une relecture précise d’un ou de plusieurs ouvrages. Idéalement, ils sont réalisés par plusieurs "jeunes" chercheuses qui élaborent des questions dans un premier temps, qu’elles mettent en commun dans un deuxième temps.
Les chercheuses participantes peuvent être des chercheurs (nous avons décidé d’user du féminin neutre).
En ce moment, nous travaillons à un entretien avec Geneviève Fraisse, que nous voudrions pouvoir interroger sur ses contributions à l’histoire des femmes. Un entretien avec Françoise Picq est également prévu.
Notre projet comportant une dimension collective et pluridisciplinaire, nous souhaiterions que ces entretiens bénéficient des points de vue d’autres jeunes chercheuses, de jeunes historiennes, notamment.
Ces deux entretiens devraient être réalisés dans le courant de l’automne 2010 et nous en sommes actuellement à la phase d’élaboration des questions.
Bien entendu, de nombreuses autres historiennes devraient être interrogées : dans l’idéal toutes celles qui ont travaillé ou travaillent sur le genre et les sexualités devraient l’être...
Les entretiens se dérouleront jusqu’à l’automne 2011, notre équipe fera bon accueil à toutes les propositions d’entretiens.
Si vous souhaitez rejoindre notre projet, n"hésitez pas à me contacter : sylvie.duverger@orange.fr

- PRESAGE - Sciences Po Paris
Sciences Po ouvre un large Programme de Recherche et d’Enseignement des SAvoirs sur le GEnre, PRESAGE. Il insère une réflexion sur le genre dans l’ensemble des activités de Sciences Po : enseignement, recherche, formation continue.
Le programme est novateur de plusieurs points de vue :
. Il adopte une approche transversale en se plaçant dans une démarche pluridisciplinaire (économie, droit, philosophie, science politique, sociologie, histoire, psychologie…).
. Il porte un projet intellectuel nouveau en rassemblant l’ensemble des recherches sur les rapports sociaux de sexes.
. Il est ouvert à l’international de sorte à faciliter la collaboration avec des chercheurs-es étrangers-ères.
http://presage-ofce.sciences-po.f

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5 - PUBLICATIONS :

- Luc Capdevila, François Rouquet, Fabrice Virgili, Danièle Voldman, Sexes, genre et guerres (France, 1914-1945), Payot, 384 p., 10,50 euros. I.S.B.N. : 2-228-90556-9
En France, de 1914 à 1945, la guerre a obligé les femmes et les hommes à imaginer de nouvelles relations. Leurs représentations de la virilité et de la féminité se sont modifiées à mesure que les états-majors comme les pouvoirs publics, soucieux de les mobiliser, de les enrôler, de les surveiller, faisait du sexe une affaire d’Etat. Centré sur la question des identités de genre, ce livre examine donc la transformation de la place des hommes et des femmes dans les dispositifs civils et militaires. Il analyse aussi comment les affaires privées du sexe ont été pensées et contrôlées par l’Etat. Enfin, il montre comment les individus ont réagi à cette évolution des identités masculines et féminines qui produit encore ses effets aujourd’hui.
http://www.payot-rivages.net/livre_Sexes-genre-et-guerres_ean13_9782228905565.html

- Lorena Parini, Le système de genre. Introduction aux concepts et théories, Editions Seismo (Suisse), collection « Questions de genre », 132 p., 18,70 euros. ISBN 978-2-88351-034-0
Cet ouvrage a été conçu pour les personnes qui souhaitent s’initier aux problématiques de genre. Il a l’ambition de retracer un certain nombre des discussions théoriques et épistomologiques et proposer des réflexions autour des principales thématiques développées par les Etudes Genre. Il est également conçu comme une aide pédagogique destinée aux einseignant(e)s. Les thématiques traitées interrogent, dans un permier temps, des notions telles que « femmes, féminisme, sexe ou genre ». Dans un deuxième temps l’ouvrage aborde les notions de systèmes et des régimes de genre à partir de trois domaines cruciaux de l’analyse de genre : la reproduction, la division sexuée du savoir et du travail et le politique. Il présente ensuite les trois courants classiques de la pensée féministe (libéral, marxiste et radical) et leurs analyses des inégalités de genre. Pour terminer, l’ouvrage se pose la question de l’ontologie de la différence entre femmes et hommes et aborde les problématiques politiques y relatives.
http://www.seismoverlag.ch/

- Maxime Cervulle, Jade Lindgaard, Éric Macé, Éric Maigret, Angela McRobbie, David Morley, Éric Neveu, Cultural Studies. Genèse, objets, traductions, Editions Centre Pompidou. ISBN-10 2-84246-128-2
Né en Angleterre dans les années soixante, le courant de recherche des Cultural Studies invite à questionner la notion de culture dans toutes ses dimensions. Attentives aux cultures populaires, aux
« subcultures » et à la réception des médias de masse, résolument transdisciplinaires, les Cultural Studies ont ouvert de multiples champs d’étude : genre, génération, fans, queer, postcolonialisme… Quel que soit leur objet, elles s’attachent à mettre en évidence les enjeux de pouvoir dont la culture est porteuse.
Lors de ce colloque, les interventions et débats de chercheurs français et anglais ont montré en quoi les Cultural Studies permettent d’appréhender les identités multiculturelles de nos sociétés contemporaines.
http://editionsdelabibliotheque.bpi.fr/livre/?GCOI=84240100173570

- VST, Vie sociale et traitements, revue du champ social et de la santé mentale, "Que faire avec les filles ?", numéro 106, 16 euros. ISBN : 978-2-7492-1247-0
Coordination : Marie-odile Supligeau et Francoise Tétard
Tentatrices, hystériques, invisibles, ignorées, à rééduquer, à protéger... les filles et les femmes, les personnes de sexe féminin font depuis longtemps l’objet d’attentions et de prises en compte opposées par le social et la santé mentale, entre sorcières et oies blanches. L’histoire de la prise en compte des filles et des jeunes femmes dans l’éducation spécialisée sera au coeur de ce dossier, avec des liens établis avec les pratiques contemporaines portant sur le statut fait aux filles et aux femmes et sur les attentions particulières qui leurs sont apportées dans le social, le médico-social et la psychiatrie.
http://www.editions-eres.com/resultat.php?Id=2525

- Liane Mozère, Fleuves et rivières couleront toujours. Les nouvelles urbanités chinoises, 184 p., 20 euros. ISBN : 978-2-8159-0055-3
Composé à partir d’observations directes, d’entretiens, de romans, de films et de documentaires, ce livre interroge les nouvelles formes d’urbanité dans les villes chinoises depuis que l’encadrement maoïste strict des populations et des territoires s’est en partie délité. Sous Mao, chacun était « à sa place » dans une division sociale et territoriale strictement contrôlée. Les danwei, véritables unités de travail et de vie, prenaient en charge leurs membres dans tous les domaines de la vie. La période des réformes impulsées par Deng Xiaoping, en transformant les règles de la vie sociale, va conduire les citoyens à pouvoir jouir de certaines formes de liberté (déplacements, commerce…), qui vont modifier le rapport public/privé, non sans que restent ancrés en ville des comportements hérités des années Mao. Facettes multiples de ces évolutions, arrangements inattendus, inventions pragmatiques du rapport toujours renouvelé du rapport à l’autre dans un espace partagé. Une plongée surprenante dans la vie quotidienne en Chine, comme si vous y étiez.
http://www.aube.lu/web3/pages/1024/frameset.html

- Yannick Ripa, L’Affaire Rouy. Une femme contre l’asile au XIXe siècle, Tallandier, 295 p., 27 euros. ISBN : 978-2-84734-662-6
En septembre 1863, Hersilie Rouy, professeur de piano, est placée à l’asile d’Orléans mais le médecin qui la reçoit ne voit aucun trouble dans son comportement. Le calvaire de cette femme remonte à 1854, lorsque son frère réussit à la faire interner pour être seul à hériter. Malgré ses écrits, la jeune femme ira d’asile en asile et s’engagera ensuite pour une réforme de la loi de 1838.
http://www.tallandier.com/

- Raphaëlle Moine, Les femmes d’action au cinéma, Armand Colin, 128 p., 18,50 euros. EAN13 : 9782200242886
Le cinéma a mis les femmes d’action en bonne place dans l’immense bazar de l’imaginaire occidental. De princesses de conte de fée en icônes postmodernes, de délinquantes en justicières, de flingueuses en amoureuses, le 7e art joue à l’envi de la féminité et de ses possibles... 
Loin des Pénélopes soumises et effarouchées, ces héroïnes de choc qui virilisent la féminité et féminisent la virilité flirtent délicieusement avec toutes nos ambivalences.
http://www.armand-colin.com/livre.php?idp=342961

- Marilyon Yalom, Le Sein. Une histoire, traduction de Dominique Letellier, Editions Galaade, 416 p., 24 euros. ISBN : 978-2-35176-069
« Quoi de plus immuable que le sein féminin ? N’a-t-il pas toujours eu pour fonction de contenter l’homme et le bébé ? L’histoire qu’en trace Marilyn Yalom, de la préhistoire à nos jours, est infiniment plus complexe et subtile. Partant de la question : “À qui appartiennent les seins ?” elle donne à voir, selon les époques et les pays, de multiples “propriétaires” qui décident de leur fonction, de leur statut et même de leur forme.
Du sein divin du Moyen âge au sein érotique d’Agnès Sorel, du sein domestique du XVIIe siècle au sein politique de Marianne torse nu, du sein commercialisé par l’industrie du corset et du soutien-gorge au sein rongé par le cancer ou torturé par le piercing du XXe siècle, Marilyn Yalom montre que le pauvre sein de la femme a appartenu successivement à l’enfant, à l’homme, à la famille, au politique, au psychanalyste, aux commerçants, au pornographe, au médecin, au chirurgien esthétique, avant que les féministes n’en reprennent le contrôle à la fin du siècle dernier
http://www.galaade.com/oeuvre/le-sein

- Marguerite Rollinde, Genre et changement social en Afrique, Editions des Archives contemporaines, 132 p. 24 euros. ISBN : 9782813000125
Les communications rassemblées dans cet ouvrage ouvrent des pistes de réflexion sur la notion de changement social et politique appliquée à une approche genre en Afrique. À partir d’exemples de type souvent monographiques, elles débusquent la façon dont les rapports sociaux de sexe interfèrent sur le changement social, brouillant les frontières qui séparent le public du privé, l’espace économique de l’espace politique, allant jusqu’à se jouer des frontières nationales pour ces femmes qui vont chercher ailleurs ce qu’elles ne trouvent pas ou plus chez elles.
En donnant, très largement, la parole aux Africaines elles-mêmes, elles interrogent la place des femmes et les droits qui leur sont accordés dans les sociétés africaines, ainsi que les stratégies qu’elles mettent en œuvre pour conquérir ces droits. Sans tomber sous la tyrannie d’une tradition mythifiée, sans non plus, à l’inverse, céder à l’occidentalisation globalisante, elles tentent de (re)devenir productrices de leur histoire, (re)devenir actrices politiques pour construire leur propre cheminement. En quoi les luttes menées par ces femmes à un niveau individuel peuvent rejoindre – et agir sur – les luttes collectives au sein des mouvements sociaux, au niveau local, national ou transnational ? L’avenir le dira mais à condition de reconnaître que le changement politique et social suppose une prise de conscience et une volonté de changer soi-même et de changer la collectivité. Reconnaître aussi qu’il est avant tout un processus et, par conséquent, un inachevé en mouvemen
http://www.archivescontemporaines.com

- La lutte contre les violences faites aux femmes, Editions EHESP, 136 p., 20 euros. ISBN 978-2-8109-0018-3
L’objectif de la lutte contre les violences faites aux femmes est de redonner à chacune de ces femmes une existence en tant que sujet et une existence sociale en tant que membre d’une société. Il est donc nécessaire d’articuler, autant que possible, l’intervention sociale d’aide à la personne avec une intervention sociale d’intérêt collectif. La capacité des travailleurs sociaux à construire des actions collectives avec les femmes concernées est un véritable enjeu. C’est ce que montrent les auteurs, qui s’attachent aussi à prendre en compte les particularités territoriales, en particulier les spécificités du milieu rural, sur ce sujet complexe.
Rapport élaboré au sein du groupe de travail « Intervention sociale d’intérêt collectif » sous la présidence de Didier Dubasque, assisté de Brigitte Bouquet, vice-présidente du CSTS.
Rapporteurs : Cathy Bousquet, Rita Voile.
http://www.presses.ehesp.fr/social-medicosocial/conseil-superieur-travail-social/447-lutte-contre-violences-faites-aux-femmes


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- permanence tous les mardis -
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