Archive for 2016

Cours intensifs de l’inter-semestre

N. CHETCUTI-OSOROVITZ : « Féminismes contemporains et sciences sociales »

Le lundi 09/01/17 de 10h à 17h en B232.
Le mardi 10/01/17 de 10h à 17h en B232.
Le mercredi 11/01/17 de 10h à 12h en B233, de 12h à 15 en B232, de 15 à 18 en B230.
Le jeudi 12/01/17 de 10h à 17h en B232.
Le vendredi 13/01/17 de 10h à 17h en B233.
(Sous réserve de modifications de salles)

J-F. LAE : « L’archive en sociologie »

Du Lundi 09/01/17 au vendredi 13/01/17 de 9h à 12h.
Le lundi en B233,
Le mardi en B237,
Le mercredi en B232,
Le jeudi en B230,
Et le vendredi en B232.

B. DAVID : « Anthropologie de l’ethnicité »

Le lundi 09/01/17 de 09h à 18h en C022
Le mardi 10/01/17 de 09h à 18h en C022
Le mercredi 11/01/17 de 09h à 18h en C022
Le jeudi 12/01/17 de 09h à 15h en B134 et de 15h à 18h en C022
Le vendredi 13/01/17 de 09h à 12h en B235, de 12h à 15h en B232 et de 15h à 18h en B134.

Examen final du cours de M. Challier

Suite au décalage de la rentrée, l’examen final du cours d’Introduction aux sciences sociales L1 de M. Challier, prévu au départ pour le lundi 2 janvier (15h-18h) aura finalement lieu lundi 9 janvier, de 15h à 18h (salle à confirmer).
Pour le groupe du mardi, l’examen aura lieu mardi 3 de 9h à 12h, comme annoncé.

Soutien à Nicolas Jounin

Le 3 novembre dernier, notre collègue et ami Nicolas Jounin, enseignant en sociologie à l’Université Paris 8, a été condamné à six mois de prison avec sursis avec inscription au casier judiciaire par le tribunal de Bobigny, qui l’a jugé coupable d’avoir frappé un policier au printemps dernier lors d’une manifestation contre la loi El Khomri.

Nicolas a pourtant toujours nié les faits avec méthode. Lors de l’audience du 6 octobre 2016, son avocat ne s’est pas privé de relever plusieurs contradictions dans les témoignages des policiers. La victime supposée de Nicolas Jounin était incapable de l’identifier formellement. C’est le commissaire chargé du dispositif répressif qui l’aurait identifié a posteriori sur la base d’une description opportune et hasardeuse (calvitie signalée sur le PV alors que Nicolas portait un bonnet ce jour là, coup porté au visage mentionné sur ce même PV alors même que le policier concerné ne l’avait pas signalé lors de son examen médical).

Ce verdict politique, mais aussi le réquisitoire de la procureure, criminalisant le simple fait de porter un document rappelant les droits d’un-e citoyen-e dans ses interactions avec la police ou la possession de sérum physiologique, constituent une atteinte aux libertés publiques, et rejoint la criminalisation que subissent plusieurs camarades, dont certain-e-s sont aussi nos étudiant-e-s, nos collègues enseignt-e-s, etc. Durant tout le mouvement contre la loi travail, les violences policières, les interdictions de manifester, les interpellations de militant-e-s se sont multipliées.

Le CRESPPA-CSU, Le CRESPPA-GTM et le département de sociologie et d’Anthropologie affirment leur solidarité avec Nicolas Jounin, et plus largement avec les personnes victimes de cette répression. Nous demandons l’arrêt de toutes les poursuites judiciaires et la levée de toutes les condamnations dont font l’objet les opposant-e-s à la loi Travail.

Motion votée le 8 décembre 2016 par les membres du département de sociologie et d’anthropologie de l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis.

Motion concernant la libération d’Antonin

Le département de Sociologie et d’Anthropologie exprime son soutien aux collègues de l’Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense et relaye leur motion concernant la libération d’Antonin:

Nous, enseignants-chercheurs, étudiants, et citoyens dénonçons l’atteinte aux droits fondamentaux que subit Antonin, 21 ans, étudiant de sociologie à Paris-Ouest, dans l’affaire d’une voiture de police brûlée place de la République au moment de la mobilisation contre la loi travail du printemps 2016.

Sa présomption d’innocence n’a pas été respectée : Antonin est incarcéré depuis 6 mois (suspecté d’avoir brisé une vitre du véhicule et accusé de tentative d’homicide volontaire) malgré l’absence de preuves matérielles.

Sa détention provisoire est incompréhensible : Antonin est un jeune homme inséré socialement, dont les nombreux professeurs ont attesté l’assiduité et le comportement exemplaire. Et pourtant, il est maintenu en prison depuis de longs mois, sans jugement ni date de procès, alors qu’il bénéficie de toutes les garanties de représentation requises et ne présente aucun risque de fuite : en juin dernier, il s’est d’ailleurs présenté de lui-même à la justice lorsque le parquet a interjeté appel de sa remise en liberté.

– Etant donnés les chefs d’inculpation qui pèsent contre lui et parce que la justice de notre pays est terriblement lente, Antonin pourrait être maintenu en détention provisoire pendant 3 ans, ce qui ruinerait non seulement ses études mais sa jeunesse. Est-il nécessaire de rappeler les conditions de détention désastreuses des prévenus, souvent pires que celles des condamnés alors qu’ils sont présumés innocents ?

– L’acharnement judiciaire et policier dont il est victime, doublé d’une campagne médiatique souvent calomnieuse, reposent manifestement sur son identité politique de militant engagé et non sur ses actions, or « nul ne doit être inquiété pour ses opinions» (art 10 de la déclaration des droits de l’homme). La détention provisoire interminable d’Antonin ne devient-elle pas, finalement, un moyen de sanctionner ses idées ?

Parce que cette détention provisoire soumet un jeune homme, et avec lui sans doute bien d’autres manifestants du printemps 2016, à un arbitraire très inquiétant auquel l’Etat d’urgence semble malheureusement nous habituer, Parce que nous ne pouvons pas accepter que soient ainsi bafoués des droits fondamentaux tels que la présomption d’innocence, la liberté d’opinion et la liberté de manifester, Nous demandons la remise en liberté immédiate d’Antonin, jusqu’à son procès si le parquet est en mesure de retenir des preuves pour que celui-ci ait lieu.

Liens utiles :
Mediapart « Une enquête à l’envers »
Pétition sur change.org « pour la libération d’Antonin et l’arrêt des poursuites contre Angel et ses camarades »
Page Facebook « Libérons Antonin »

Liens vers articles de presse
Le monde :
http://abonnes.lemonde.fr/police-justice/article/2016/12/08/voiture-de-police-incendiee-a-paris-les-revirements-de-l-enquete_5045279_1653578.html
Rue89/ Nouvel Obs :
http://rue89.nouvelobs.com/2016/12/08/quai-valmy-affaire-traore-bon-usage-detention-provisoire-265853
Médiapart :
https://www.mediapart.fr/journal/france/091216/voiture-de-police-incendiee-paris-antonin-bernanos-reste-en-detention

Lettre signée par Axel Barenboim, Laure Blévis, Valérie Boussard, Carole Brugeilles, Fanny Bugeja-Bloch, Grégory Busquet, Céline Clément, Sylvaine Conord, Aurélien Dasré, Aurélien Djakouane, Stéphane Dufoix, Muriel Epstein, Sabine Fortino, Charles Gadea, Colin Giraud, Matthias Glenn, Jérôme Greffion, Mathieu Grégoire, Hadrien Malier, Frédérique Leblanc, Alexandra Oeser, Sylvie Pedron-Colombani, Typhaine Rahault, Anne Raulin, François Reyssat, Simon Ridley, Pierre Sauvêtre, Pascal Sebille, Gabriel Segré, Anne Steiner, Simona Tersigni, pour le département de sociologie de l’Université Paris-Ouest le 5/12/2016.

Motion votée au CSU (Cresppa) et au GTM (Cresppa) le 6/12/2016.

Motion Soutenue par SUD Éducation 92 le 7/12/2016.

Motion soutenue par le département de sociologie et d’anthropologie de l’Université Paris 8 le 8/12/2016.

Motion soutenue par l’IDHES (UMR CNRS 8533) le 12/12/2016.

Motion soutenue par le Lavue (UMR CNRS 7218) le 12/12/2016.

Motion soutenue par l’IRIS (UMR CNRS 8156) le 16/12/2016.

Motion soutenue par l’ISP (UMR CNRS 7220) le 22/12/2016.

Motion soutenue par le C.A. de l’Association des sociologues enseignant-e-s du supérieur (ASES).

Signatures individuelles :

Jérôme Berthaut, Maître de conférences, Université de Bourgogne
Fanny Jedlicki, Maître de conférences, Université du Havre

Si votre institution (laboratoire de recherche, syndicat, département universitaire, etc. ou, à défaut, vous-même) souhaite donner sa signature solidaire, merci d’adresser un mail à l’adresse : liberonsantonin@gmail.com en précisant votre institution (et/ou votre nom) et la date à laquelle la motion a été votée.

Absences Nicolas Duvoux

Pour raison de santé, Nicolas Duvoux sera absent les 6 et 7 décembre. Les cours ne seront pas assurés à ces dates. Les évaluations sur table des cours « transformations sociales au XXe siècle » et « grande enquête – monde privé des ouvriers », prévues le 13 décembre seront déplacées au 10 janvier 2017.

Absence Romain Leclercq

Romain Leclercq ne pourra pas assurer le cours de « Tutorat Projet Voltaire » ce vendredi 2 décembre de 15h à 17h car il sera sur son terrain. Le cours est rattrapé le mardi 6 décembre de 18h à 20h en salle C 204.

Journées des doctorants du Lavue

Les journées des doctorants du Lavue auront lieu le 24 & 25 novembre 2016.

Consultez le programme: Programme journées des doctorants du Lavue

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Professeure invitée et conférence

Nous avons le plaisir d’accueillir MMe Neiva Veira da Cunha comme professeure invitée au département de sociologie et d’anthropologie pour la période du 15 novembre-15 décembre.

Neiva Vieira

Présentation:
Anthropologue brésilienne, Professeur à l’Université de l’Etat de Rio de Janeiro/UERJ et Chercheur Associée du Laboratoire d’Ethnographie Metropolitaine/LeMetro/IFCS-UFRJ. Elle a réalisé un Doctorat en Anthropologie en 2003, à l’Université Fédérale de Rio de Janeiro, en cotutelle avec l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales/EHESS-Paris. Depuis son doctorat, elle réalise des recherches dans le domaine de l’Anthropologie Urbaine. Ces recherches proposent une approche de l’espace urbain dans ses dimensions formelles, environnementales, architecturales et habitées et portent sur les thèmes des grands projets de rénovation urbaine et ses impacts sociaux et environnementaux dans des espaces d’habitation populaire comme les bidonvilles et les banlieues de Rio, sur les processus de ségrégation urbaine et spatialisation de la pauvreté et sur les conflits et formes de mobilisation collective dans l’espace public. Pendant ces années d’expérience comme chercheur et enseignante, elle a maintenu des relations scientifiques avec des collègues chercheurs et enseignants français à l’EHESS et au LAVUE. Entre août 2014 et décembre 2015 elle a été invitée au Centre d’Etudes des Mouvements Sociaux/CEMS-IMM-EHESS. Cet échange d’expérience dans le domaine des études urbains a motivé son intérêt dans le développement de projets communs visant à la construction d’une perspective comparative entre le Brésil et la France dans le domaine de l’Anthropologie et de la Sociologie Urbaines à partir de la création d’un réseau de recherche entre le Laboratoire d’Ethnographie Métropolitaine/LeMetro/IFCS-UFRJ, le LAVUE et le pôle Ville de l’Université Paris 8. Ses travaux des recherches actuels portent sur des thèmes comme: sentiments moraux, conflits et formes de mobilisation collective dans l’espace public; politiques publiques dans les favelas et la restructuration de l’espace urbain à Rio de Janeiro; rénovation urbaine et justice socio-spatiale; sociologie du risque et conflits environnementaux. Ces thèmes des recherches sont directement liées aux programmes de recherche du LAVUE, dont « Justice et inégalités ».

Elle sera présente dans deux cours au département, le cours de Master « Lecture de textes anthropologiques » ; le cours de L2 « Grands Courants, Sociologie urbaine et de l’habitat » le 21 Novembre. Elle assurera également un séminaire doctorant le 06 décembre ainsi qu’une présentation l’axe Justice et Inégalités du LAVUE le 08 décembre. Si vous souhaitez la rencontrer, voici ses coordonnées : neiva Vieira

Enfin nous avons retenu l’idée d’une conférence le 01er décembre 2016, dans la foulée de la réunion de département, qui s’intitulera : « La ville comme laboratoire: les recherches mené par le Laboratoire d’Ethnographie Métropolitaine/Lemetro/IFCS-UFRJ à Rio de Janeiro ». La conférence aura lieu en salle des conseils au 3ème étage à 12h00.

Le pouvoir du récit?

La revue Sociologie et sociétés publie cet automne un numéro dirigé par Jean-François Laé, Annick Madec et Numa Murard sur le thème de la « sociologie narrative: le pouvoir du récit« .

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Les journaux parlent de tout, sauf du journalier. Les journaux m’ennuient, ils ne m’apprennent rien.[…] Ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons, le reste, tout le reste, où est-il ? Ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l’évident, le commun, l’ordinaire, le bruit de fond, l’habituel, comment en rendre compte, comment l’interroger, comment le décrire ? (Perec, 1989 : 11) il était une fois… Il était une fois… l’enquête. S’approcher, attendre, revenir, obstinément voir de plus près, accepter une déroute, patienter, sentir une fureur secrète, entendre humour ou ironie, reprendre le fil laissé la veille. Puis raconter ce qu’on a vu, entendu, ce qui apparaît et disparaît, les déplacements de cadre et de territoire, l’inattendu, ses effets qui déportent l’enquêteur aux frontières de la discipline et à ses marges. Une inlassable curiosité nous a poussé, des décennies durant, dans les quartiers populaires, dans l’épaisseur du social, le long de ses divisions et conflits, entre les couches de son mille-feuille. Cela commence de façon simple : nous nous sommes tôt glissé derrière les murs des multiples institutions de la démopédie, dans les archives de l’hôpital psychiatrique ou de la prison, et, suivant la généalogie de ces deux matrices vers le présent, de la soupe populaire aux foyers de sans-abris, des guichets du bureau d’aide sociale à ceux de la caisse d’allocations familiales, du Club de prévention au foyer de l’éducation surveillée, mais aussi de la salle de musculation à la salle de boxe, et du café où l’on parie sur les chevaux à la boutique du loto, ad libitum. Nous avons écouté et entendu des êtres parlants, dans leur vie privée ou bien publique, en cherchant à comprendre comment les unes et les autres « s’expliquaient » le monde dans lequel nous vivons. Et c’est ainsi que cela devient un peu plus compliqué. Comment laisser une large place à la réflexivité des enquêtés, leurs investissements dans des séries de pratiques sociales ? Si l’enquête est le socle de la narration, elle met en avant la compréhension de ce qui est agi, les circonstances de ce qui se fait ou se pense, explique ce qui peut l’être. Se mettre « à la place de » l’enquêté, prendre ses catégories d’agir comme une source de savoirs et de connaissances, travailler avec nos émotions, ce que l’on sent entre les mots, les actions et les contextes : tel a été notre pari. Ce numéro est né de la profonde insatisfaction dont parle Perec à propos du « journalier ».

Inscriptions pédagogiques pour le Centre de Langue

ATTENTION : Les inscriptions pédagogiques par le web ( IP WEB) pour le Centre de Langue se terminent le 18 novembre. Pensez à vous inscrire dans les délais pour faciliter la saisie de vos notes en fin de semestre. Si vous rencontrez des difficultés, veuillez vous adresser au Centre de Langue qui se situe en B204.

Enquête sur le rapport au politique et au militantisme des étudiants

Cher-e-s collègue-s,

En partenariat avec l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense et l’Université de Bretagne Occidentale, les étudiant-e-s de Licence 2 du Département de sociologie et d’anthropologie de l’Université Vincennes-Saint-Denis réalisent cette année une enquête par questionnaire d’envergure sur le rapport au politique et au militantisme des étudiant.e.s.

Cette enquête vise à décrire la diversité des engagements étudiants. Elle est menée dans les trois institutions : Paris 10, l’UBO et Paris 8. Elle est strictement anonyme et servira exclusivement à produire des analyses statistiques. Vous pourrez avoir accès à ces analyses sur le site du Département de sociologie et d’anthropologie en juin 2017.

Afin de mener à bien ce projet, les étudiant.e.s de L2 sollicitent votre aide et votre précieuse participation du 21 novembre au 25 novembre. En accordant 15 minutes à la réalisation de cette enquête dans vos cours, vous garantissez un bon taux de réponse et un respect de la méthode d’échantillonnage, lesquels constituent les fondements d’une enquête par questionnaire de qualité.

Restant à votre disposition pour de plus amples informations et espérant compter sur votre coopération, veuillez agréer, cher(e) collègue, l’expression de nos salutations respectueuses.

Cette enquête est réalisée sous la responsabilité de sept enseignants : Mathilde Apelle (mathildeapelle@hotmail.fr), Fanny Bloch-Bugeja (fanny.bugeja@u-paris10.fr), Marie-Paule Couto (marie-paule.couto@cnrs.fr), Corinne Davault (davault.corinne@wanadoo.fr), Christelle Dormoy-Rajramanan (cridoraj@gmail.com), Julia Legrand (legrandjulia@hotmail.fr), Pierre-Edouard Weill (pierreedouard.weill@gmail.com).

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Nicolas Duvoux dans le Monde, sur Arte et France culture

A la suite de la parution du dernier film de Ken Loach, « I, Daniel Blake », Nicolas Duvoux, professeur au département de sociologie et d’anthropologie de Paris VIII a donné une interview au journal Le Monde pour mettre en perspective le contenu du film avec la situation française.

http://lemonde.fr/idees/article/2016/10/20/les-pouvoirs-publics-ont-accredite-l-idee-que-les-pauvres-etaient-responsables-de-leur-situation_5017496_3232.html

On trouve également une recension du film dans La vie des idées.fr

http://www.laviedesidees.fr/L-enfer-du-guichet.html

Par ailleurs, il a été l’invité de l’émission 28 minutes, animée par Elisabeth Quin sur Arte le mercredi 2 novembre, le thème du débat était « La France rejette-t-elle ses pauvres? »

http://sites.arte.tv/28minutes/fr/guy-delisle-et-christophe-andre-la-france-rejette-t-elle-ses-pauvres-28minutes

Enfin, il a été l’invité de la Matinale du samedi sur France Culture, présentée par Caroline Broué, le 5 novembre, sur le thème de la pauvreté.

https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-idees-de-la-matinale/nicolas-duvoux-lempathie-naccompagne-plus-le-phenomene-de

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Dynamiques patrimoniales et enjeux pastoraux en milieu peul

L’Harmattan publie ces jours-ci dans la collection Connaissances des Hommes dirigée par Olivier Leservoisier l’ouvrage d’Anaïs Leblon, Dynamiques patrimoniales et enjeux pastoraux en milieu peul. Les fêtes de transhumance yaaral et degal au Mali.

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DYNAMIQUES PATRIMONIALES
ET ENJEUX PASTORAUX EN MILIEU PEUL
Les fêtes de transhumance ?aaral et degal au Mali

Alors que les politiques du patrimoine culturel tendent à mettre en place des normes globalisées, cet ouvrage analyse les effets et les enjeux locaux de l’insertion d’un pays d’Afrique de l’Ouest, le Mali, dans ce nouvel ordre patrimonial. À partir d’un terrain réalisé de 2006 à 2010 portant sur la valorisation d’institutions pastorales peules du Delta intérieur du fleuve Niger, l’auteure rend compte de l’articulation, souvent conflictuelle, entre l’application du programme de sauvegarde du patrimoine immatériel conçu selon les normes de l’UNESCO (patrimonialisation participative, protection de la diversité culturelle, développement durable) et les enjeux contemporains du pastoralisme transhumant peul. L’ethnographie se concentre sur les acteurs impliqués dans la gestion des pratiques pastorales patrimonialisées pour révéler la diversité de leurs attentes et de leurs stratégies, dépassant souvent le champ du patrimoine. L’analyse permet ainsi de nuancer l’interprétation parfois simpliste d’objectivation de la culture, pour replacer la patrimonialisation dans les cadres sociaux du Mali contemporain. Une attention particulière est pour cela accordée aux représentations différenciées du passé, aux relations intergénérationnelles, aux hiérarchies sociales, aux dimensions esthétiques et morales du pastoralisme ainsi qu’aux règles de gestion du foncier pastoral. Cette anthropologie résolument politique du patrimoine culturel alimente une réflexion originale sur les pratiques politiques de la tradition et de l’appartenance et sur les rapports de pouvoir entre l’État, les pouvoirs locaux et les usagers du territoire deltaïque.

Le département de sociologie et d’anthropologie remercie Patricia Ebring

Patricia Ebring a quitté le secrétariat du département de sociologie et d’anthropologie pour rejoindre celui de science politique.

L’ensemble des membres du département remercie Patricia pour ces huit années de collaboration (2008-2016).

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Béatrice David. Cours de Master Lecture de textes anthropologiques.

La séance du mercredi 19 octobre (12h-15h) est annulée. Les consignes de lecture sont affichées sur le moodle du cours. Les étudiant-e-s sont invité-e-s à le consulter.

Cours de Construction et élaboration du mémoire (M2)

Le premier cours de Construction et élaboration du mémoire, destiné aux étudiant.e.s de M2, aura lieu le vendredi 4 novembre de 9h à 12h.

Les autres cours du premier semestre auront lieu les vendredis 18 novembre, 2 décembre et 16 décembre, de 9h à 12h.

Les dates des cours du second semestre seront transmises lors de la première séance.

Sociologie de la déviance

Sociologie de la déviance: M. Kokoreff sera absent le jeudi 20 octobre.

La sélection du Prix lycéen du livre de sciences économiques et sociales 2017

L’ouvrage de Baptiste Coulmont, Changer de prénom. De l’identité à l’authenticité, a été sélectionné pour concourir au prix lycéen du livre de sciences économiques et sociales 2017.

Découvrir la sélection de Lectures pour le Prix lycéen du livre de sciences économiques et sociales 2017.

Fiches pédagogiques à remettre au secrétariat avant le 21 octobre

Les fiches pédagogiques (confirmation des IP web, modification ou inscriptions) doivent obligatoirement être complétées par tous les étudiants de licence et remises avant le 21 octobre au secrétariat de sociologie et d’anthropologie. Ces fiches vous seront distribuées dans les cours et pourront aussi être retirées au secrétariat.

Absence de Montassir Sakhi le lundi 10 octobre

Le cours d' »introduction aux sciences sociales » du lundi 10 octobre (9h-12h) assuré par Montassir Sakhi est annulé. Le cours reprendra le 17 octobre et un cours de rattrapage aura lieu le 09 janvier.