Archive for novembre, 2012

Cours de rattrapage « Sociologie de la déviance »

Les cours de rattrapage de « Sociologie de la déviance » de Michel Kokoreff auront lieu les :

– mardi 4 décembre 2012, 10h-13h salle COO8,

– mardi 11 décembre 2012, 10h13h salle COO8,

– vendredi 11 janvier 2013, 9h 12h amphi A2

– vendredi 18 janvier 2013, 9h12h (examen final : *salle à fixer*

Une session d’observation sur le terrain aura lieu un samedi à
préciser ultérieurement.

Nicolas Jounin, Jean-François Laé dans Le Monde

Nicolas Jounin, maître de conférences au département de sociologie de l’université Paris 8 signe aujourd’hui une tribune sur la démocratisation de l’enseignement supérieur dans Le Monde : Il est temps d’en finir avec Sciences Po ! :

…commençons par supprimer Sciences Po, c’est-à-dire : le privilège légalisé, l’écrémage social et le hold-up financier dont il est le produit.

Deux générations dans la débine, de Jean-François Laé, professeur de sociologie à l’Université Paris 8, et Numa Murard, a fait l’objet d’une analyse dans la chronique de Pierre Mercklé dans Le Monde :

cliquez pour lire la chronique

Pierre Mercklé a poursuivi plus longuement l’analyse sur son blog.

Signalons aussi un compte-rendu Des lieux de mémoire de l’immigration, dans La Vie des Idées du dernier livre de Claire Lévy-Vroelant, professeure de sociologie à Paris 8, Hôtels meublés à Paris : enquête sur une mémoire de l’immigration (Créaphis, 2011)

ABSENCE DE B.DAVID

La séance du cours de MCU du lundi 26 novembre (12h-15h) de Mme B David est annulée pour des raisons de santé.
Des consignes concernant le travail final à rendre le 17 décembre seront affichées sur le blog du cours dans la semaine (mardi 27 ou mercredi 28). Les devoirs à rendre peuvent être déposés dans son casier en salle des enseignants de sociologie.

Coline Cardi sur France Culture

Coline Cardi, maîtresse de conférences au département de sociologie, était récemment invitée de l’émission « Les Lundis de l’histoire » au sujet de son livre, co-dirigé avec Geneviève Pruvost, Penser la violence des femmes
Elle était aussi, le 26 octobre dernier, invitée de l’émission Le rendez-vous.
Enfin, jeudi 22 novembre, le journal Libération a publié un compte rendu de Penser la violence des femmes

Femmes hors d’elles
CRITIQUE Des sociologues sondent les violences au féminin, longtemps impensables
Par YANNICK RIPA
En désirant qu’Arlette Farge préface cet ouvrage interdisciplinaire de 27 contributions, les sociologues Coline Cardi et Geneviève Pruvost l’inscrivent dans la continuité des travaux novateurs que l’historienne avait dirigés avec Cécile Dauphin en 1997 (De la violence et des femmes, Albin Michel) et soulignent la percée de cette thématique, longtemps impensable, voire tabou. Car penser la violence des femmes perturbe l’ordre des sexes…

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IMPORTANT : cours d’observation intensif à l’intersemestre

Un cours intensif d’Observation avant le 2nde semestre : étudiants de L3, rattrapez votre retard; étudiants de L2, allégez votre emploi du temps !

Un cours d’observation est organisé de façon intensive du 21 janvier au 1er février inclus.
Il s’adresse en priorité aux étudiants de L3 qui n’ont pas validé ce cours de L2 et aux étudiants de L2 qui doivent valider un EC « Observation » cette année. Il leur permet d’alléger leur emploi du temps du second semestre.
Les 39 heures du cours « Observation in situ » s’organisent de la façon suivante :
Tous les jours entre le 21 janvier et le 1er février, avec des horaires variables en fonction du travail d’observation fait à l’extérieur de l’Université. Le lieu observé sera le centre commercial Rosny 2, et plus particulièrement le dispositif Tête-à-Tête, que nous découvrirons ensemble le 2ème jour, le mardi 22 février.

Il est donc impératif de participer à la première séance, Lundi 21 janvier à 9h30, salle à préciser ultérieurement. Des documents seront distribués sur place. On peut joindre l’enseignante par mail pour plus d’information: clevyvroelant@gmail.com

IMPORTANT : cours de MCU intensif à l’intersemestre

Un cours intensif de MCU avant le 2nde semestre : étudiants de L1, rattrapez votre retard !

Un cours de MCU est organisé de façon intensive du 21 janvier au 1er février inclus.
Il s’adresse en priorité aux étudiants arrivés trop tard pour pouvoir s’inscrire aux cours de MCU proposés au premier semestre. Il leur permet de ne pas reporter la validation de ce cours à l’année prochaine. Il s’adresse aussi aux étudiants qui n’ont pas validé cet EC au premier semestre et qui ont besoin de soutien méthodologique.

Les 39 heures du cours de MCU s’organisent de la façon suivante :

– de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 15h00 les 21, 22, 23, 24, 25, 29, 30 et 31 janvier
– de 9h30 à 12h30 le vendredi 1er février.
– Remarque : pas de cours le lundi 28 janvier.

Les étudiants intéressés peuvent déjà contacter l’enseignante, Françoise de Barros : frandeba@yahoo.fr

Rectificatif

COURS ANTHROPOLOGIE ESTHETIQUE – ALINE HEMOND

Je vous informe que la réunion de département du jeudi 22 novembre étant annulée et reportée au jeudi 6 décembre, nous aurons donc cours d’Anthropologie esthétique normalement le jeudi 22 novembre. En revanche, il n’y aura pas cours le jeudi 6 décembre.

COURS AIRES CULTURELLES DES AMERIQUES – ALINE HEMOND

Je vous informe que le cours « Aires culturelles Amérique » commencera normalement le jeudi 22 novembre, de 14h30 à 17h30. En revanche, il commencera à 15h30 le jeudi 6 décembre.

Alexia à Berlin

Alexia est cette année à Berlin :
Rappel : Réunion d’information jeudi 22 novembre à 10h
Partir en Erasmus était pour moi une envie qui m’animait depuis des années, depuis que je suis en droit car je trouvais que cette idée d’échange était une chance pour les étudiants de découvrir autre chose, un autre univers, une autre culture, mais je n’ai pu le concrétiser que maintenant.
L’organisation n’a pas des plus facile je l’avoue car les facs que je souhaitais n’étaient pas en partenariat avec Paris VIII et c’est un peu par élimination que j’ai pris Berlin. Parler l’allemand était un peu ma hantise car je ne l’ai pas pratiqué depuis longtemps et parce que je ne connaissais pas grand-chose de la ville de Berlin à part le Mur et son histoire. Mais mes amis m’ont encouragé à y aller. C’est une chose à faire au moins dans sa vie m’ont-ils dit et tu vas adorer Berlin. N’ayant pas trop le choix et ne voulant pas attendre l’année d’après, je prépare mon dossier en me disant autant tenter. Mais voulant prendre des matières d’anthropologie et de sociologie, mon choix est assez restreint car les facs à Berlin ne font pas les deux disciplines en même temps. Je pouvais alors juste passer un semestre d’Anthropo ou de Socio à Berlin ce qui n’est pas déjà si mal et un autre à Paris. Mais je voulais faire les deux semestres là bas, un semestre me parait insuffisant pour découvrir! Après plusieurs mails de Monsieur Ingolf Diener auprès de ses collègues de la Freie Universität, ces derniers acceptent que je sois inscrite à la Humboldt Universität mais que je suive les cours d’Anthropo chez eux ! Me voilà remotivée !

Deuxième bémol, mon niveau d’allemand ! Je devais atteindre un certain niveau pour être acceptée. Je dois donc venir plus tôt pour suivre un cours intensif d’allemand et repasser un test.

Début septembre, direction Berlin ! Je fais un peu trop plein d’allemand. Je n’en peux plus de cette langue ! Je ne comprends pas tout ! Nous sommes plusieurs étudiants à suivre les cours, des étudiants d’Erasmus mais aussi d’autres programmes d’échange ! La Humboldt nous a bien reçus et nous explique un peu tout ! Un bureau pour les étudiants étrangers est là en cas de problème !
Les cours se passent bien ! Je suis dans une classe d’à peu près 15 étudiants. On forme une belle équipe ! Quatre semaines de cours de 9h à 13h et chaque semaine une sortie culturelle organisée par le centre de langue pour découvrir Berlin à travers un musée, un film…
Résultat des courses : mon année d’Erasmus ne dépendait pas de mon niveau d’allemand. Ce dernier était exigé pour ma matière mineure ! Point crucial, les quatre semaines m’ont permis de me mettre dans le bain car c’est un peu comme se jeter dans le vide quand on n’est pas habitué à l’allemand.

Le logement ! Problème de pas mal d’étudiants ! Certains de mes camarades ont pu avoir une place dans une résidence étudiante. Pour les moins chanceux, il reste les colocations, très répandues à Berlin. Mais c’est un peu le parcours du combattant. Il faut s’y mettre quelques mois à l’avance ! Pour ma part, ne savant pas si j’allais être prise ou pas à cause du niveau d’allemand, j’ai loué une chambre dans une coloc pour quatre semaines, pendant lesquelles j’ai consacré pas mal de temps à chercher un appartement. Ce n’est pas pour décourager mais c’était dur ! Des mails à n’en plus finir mais qui restent cependant sans réponse ! Une ou deux visites par la suite et qui elles aussi restent sans réponse. Et les colocations sont assez exigeantes par moment. Le refus des étudiants en Erasmus est aussi fréquent. Et les anédoctes pour les recherches d’appart ne manquent pas, on en voit de tout et on se dit « Mais c’est quoi ce pays » mais on en rigole après. Après les trois semaines chez mes anciens coloc je me retrouve à alterner entre l’auberge de jeunesse et chez des amis. Après une semaine et quelques je trouve enfin une chambre en coloc ! Soulagement ! Pas idéal la coloc mais c’est mieux que rien. Donc autant s’armer avant de partir.

Ensuite, la deuxième phase était l’inscription à la fac. A Berlin, on ne peut pas faire son inscription tant qu’on n’est pas inscrit à la mairie, le Bürgeramt. Et dans ce dernier on ne peut s’inscrire que lorsque l’on a un logement. Donc entre mon inscription à la mairie et ma recherche d’appart, je n’allais jamais être inscrite à la fac tant que je n’avais pas d’appart ! (un cercle vicieux je dirai) ! Lors de l’inscription on doit présenter les documents qu’on nous a délivré, la pièce d’identité ou passeport et la preuve de paiement du Semesterticket. En échange on reçoit le certificat de scolarité et le papier de transport qui équivaut à la carte Imagine’R avec laquelle on peut se déplacer de la zone A à C. Je n’ai pas pu avoir mon Semesterticket tant que je n’étais pas officiellement inscrite à la Humboldt mais ayant expliqué ma situation au responsable Erasmus qui a l’air de connaitre Paris VIII j’ai pu avoir mon ticket de transport.


Humboldt Universität est une bonne université, l’une des meilleures à Berlin avec la Freie. Elle propose différentes filières. Ce n’est pas grand campus. Les différents départements sont un petit peu éparpillés dans la ville. Le département de Sociologie est situé à Dorotheenstrasse, dans le centre, pas loin de lu bâtiment principal de la Humboldt.
Viennent ensuite les cours. Ici, pour s’inscrire à un cours, on peut essayer tous les cours et si cela ne nous plait pas, on peut changer avant de faire son choix final.
Comme en Autriche, il y a les « Vorlesung », cours en amphi, les « Grundkurs », équivalent des TD et les Proseminar qui sont des TD plus poussés et d’approfondissement. Il existe aussi les « Blockseminar », des séances qui durent deux week end de suite et qui s’étalent de 9h à 18h. La première séance, en octobre, le prof explique comment fonctionne les séances, ce qu’il attend des étudiants et les séminaires peuvent se faire en janvier ou février. Le système de notation va de 1 à 6, 6 étant une mauvaise note. Mais comme on n’a pas encore été noté jusqu’ici, je ne peux pas en dire plus. Pour les examens aussi, on doit s’inscrire sur le site de la fac pour que nos notes soient validées par la suite. Il faut dire que la fac où je suis fonctionne beaucoup par internet. Les profs stockent pas mal d’information sur Moodle et pour les textes à préparer il faut également les télécharger sur Moodle. Loin de là les fascicules distribués en cours pour chaque étudiant. Dans certains cours, les fascicules sont disponibles mais il faut les acheter.

Pour le déroulement des cours, la participation des étudiants est tout le temps sollicitée et le prof ne fait parfois office que d’arbitre. Point à souligner, en Allemagne, ils sont adeptes des exposés. Et à la fin de chaque cours, on tape sur la table pour remercier le professeur ou l’étudiant qui a passé son exposé, « Referat ».
Ce qui m’a surpris, ce sont les bibliothèques ! On ne peut pas y rentrer avec son sac, son manteau ou le sac de son ordinateur portable. Il faut poser tout cela dans un casier et mettre ses affaires dans un sac en plastique transparent, fourni par la bibliothèque ou dans un panier comme au supermarché. Ils sont très stricts sur ce point.

Quant au mode de vie berlinois, il est différent de Paris. De premier abord, les Allemands sont froids mais après la barrière tombe. Il est cependant un peu difficile d’engager une discussion avec eux en cours. Sinon, les Allemands sont très à cheval avec le respect de l’environnement : ils utilisent beaucoup le vélo et pour les poubelles, même publiques, il y a un tri selectif, très poussé. Ici, on ne s’étonnera pas de voir des bouteilles trainer dans la rue ou voir une personne déposer sa bouteille vide dans la rue. Au contraire ! C’est pour les « clochards » ou les SDF. En effet, dans les supermarchés, il y a déjà des machines prévues pour remettre des bouteilles vides. Ensuite la personne perçoit de l’argent en fonction du nombre de bouteilles qu’elle a déposé. Donc laisser sa bouteille dans la rue peut rendre service à quelqu’un dans le besoin! Ensuite, pour traverser la rue, ils sont très respectueux des feux rouges et ne traversent jamais même si aucune voiture ne passe ! Chose qu’on ne retrouve pas souvent à Paris !
Au niveau gastronomique, ils ne sont pas aussi renommés que les Italiens ou les Français mais ils ont leur spécialité culinaire qu’ils veulent maintenir et dont ils en sont fiers. Currywurst, tout ce qui est à base de wurst (les saucisses), charcuterie n’ont pas de secret pour eux. De même que les fromages. Le currywurst peut se prendre à quel moment de la journée. Ce sont des saucisses découpées, avec du ketchup saupoudré de curry, souvent accompagnés de frites, mais pas très à mon goût. Les Allemands ont un penchant pour les sandwiches, mais généralement à base de charcuterie. Et si vous cherchez les meilleurs döners, venez à Berlin et pas chers en plus !
Pour les végétariens, n’ayez pas peur ! Chacun sera servi ! Contrairement à la France, ce mode de consommation est très répandu ici. Même dans les annonces de colocation parfois ils précisent qu’ils ont une préférence pour les végétariens mais les non végétariens sont bien sûrs les bienvenus.
Et les marchés biologiques pullulent de partout. Donc, tout le monde peut y trouver son compte.
J’ai failli oublié, les Allemands consomment des glaces même quand il fait froid. Et pour tout vous dire, elles sont délicieuses.

Ce qui me fascine également dans cette ville c’est que tous les endroits sont chargés d’histoire. On y retrouve tous les vestiges du passé, du stade olympique en passant par la Spree pour arriver à Berlin est.

Quant au côté culturel de Berlin, depuis que je suis arrivée, je vois par-ci par-là festival du film brésilien, japonais, court-metrage…ainsi que les opéras. C’est une ville très artistique. Et je vous vois venir ! Oui Berlin est la capitale de l’electro par excellence. Et les clubs passent beaucoup de musique electro. Bizarre dites-vous ? Non, j’ai moi-même commencer à apprécier ce son à base de boum boum pendant plusieurs minutes et on ne s’en lasse pas. Ils sont les champions mais attention l’entrée est sélective dans les meilleurs endroits où on passe cette musique. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut être tiré par quatre épingles pour y aller !

Pour conclure, ce que j’aime à Berlin c’est cette nonchalance mêlée à une énergie qui provient de je ne sais où ! C’est ce côté décontracté mais à la fois strict ! c’est le mélange de tous les styles sans regards méchants de son voisin de métro, ce sont ces gens avec leur bouteille de bière à la main dans les rues, le métro, sans se dire c’est interdit ou mal vu, c’est toutes ces personnes avec leurs tatouages et piercings ! C’est le côté altruiste des passants. Ce sont ces lieux qui ont l’air abandonné mais qui donnent un charme à cette ville. Ces petits bouts de jardin qu’ils arrivent à en faire des endroits conviviaux pour discuter, prendre un café ou écouter de la musique.
Mais c’est aussi ces instants où on me demande d’où je viens et que je réponds la France, ils me dévisagent et me disent d’un ton assez accusateur « Mais tu es marron !! » et qu’il faut que je parle de mes origines (au début ça énerve mais ça me fait rire doucement) et c’est aussi pour la même question, un sourire se dessine sur les lèvres et ils ont l’air émerveillé.
Berlin ne se résume pas à un lieu mais un monde à lui tout seul mais que je n’ai pas fini de découvrir car elle recèle de merveilles ai-je entendu dire.

Alors si vous hésitez encore, décidez-vous ! Berlin est une ville à découvrir pour toutes ces facettes et s’immerger dans un autre monde est une chose passionnante !

Quelques adresses utiles :

Recherche d’appart :
http://www.wg-gesucht.de/wg-zimmer-in-Berlin.8.0.0.0.html

http://www.immobilienscout24.de/de/finden/wohnen/index.jsp

Site de l’ambassade de France : http://www.ambafrance-de.org/-Francais-

Marilou à Bologne

Marilou était, l’année dernière, en séjour Erasmus à Bologne en Italie. Voici un petit texte qu’elle a bien voulu écrire pour le site du département de sociologie.

Bologne est selon moi, une ville parfaite pour partir en Erasmus ! Mon séjour d’un an en Italie m’a permis, non seulement d’apprendre l’italien, mais aussi de découvrir un autre univers.

Je suis arrivée a Bologne fin septembre de l’année dernière, sans être trop sur de ce que je faisais. J’avais eu envie de partir, et j’atterrissais dans un autre pays, je ne connaissais personne et je ne parlais pas italien… Je n’ai pas regretté !
Très vite j’ai rencontré des gens géniaux, qui m’ont fait découvrir la ville, les endroits sympa où sortir (qui ne manquent pas) la culture italienne… La cuisine italienne ! Très vite aussi j’apprenais l’italien, qui ressemble au français et s’apprend assez facilement, il m’a suffit de fréquenter des Italiens pour ça, au début suivre les cours est un peu dur mais on s’habitue vite !

Bologne est LA VILLE ETUDIANTE d’Italie, il y a donc non seulement beaucoup d’autres étudiants Erasmus, mais aussi des Italiens qui viennent de l’Italie entière pour y étudier ! Le mix inter-culturel est impressionant ! En Italie, plus qu’en France, les différences entre les régions se notent, les dialectes changent, les habitudes alimentaires aussi, chaque région a ses spécialités et en est fière, les traditions sont différentes…
Bologne c’est en quelque sorte l’opportunité de découvrir toute l’Italie ! Par exemple parmi mes colocataires il y avait Tobia de Sicile, Vincenzo de Bari, Lucrezia et Benedetta toutes les deux de Toscane et Giorgio de la Lombardie ! Voire l’Europe, parmi mes rencontres : allemands, écossais, portuguais, espagnols, d’autres français aussi.. etc…

Bologne est politique, culturelle, festive, étudiante… Bologne est une ville internationale, Bologne est belle. La dimension de la ville et ces particuliarités font qu’on se sent vite chez soit, les personnes qu’on y rencontrent font qu’on ne veut plus en partir !

Je précise que si des étudiants de L2 sont intéressés par la possibilité de faire un séjour Erasmus ils peuvent faire une demande dès la L1 (contrairement à ce que l’on pense souvent), j’en suis la preuve.
Personnellement, je vous conseille Bologne qui vaut le détour, vraiment ! J’espère pour tous que vos demandes seront acceptées et que vous passerez une année aussi belle que la mienne si vous décider de partir (et faites le !) en Erasmus.

Réunion d’information le jeudi 22 novembre à 10h
Et d’autres témoignages d’étudiants du département de sociologie

Avis de dècès : Louis Tissier

Nous avons la tristesse de vous informer du décès de Louis Tissier, étudiant inscrit en L1 de sociologie au cours de l’année universitaire 2011-2012.
Louis n’a pas abandonné ses études qui le passionnaient.
Il est parti en Inde pour perfectionner son anglais et découvrir sur le terrain la civilisation indienne. Il y est décédé dernièrement dans un accident de scooter.

Réunion Programmes d’échange internationaux

La réunion de contact, d’échange et d’information concernant les différents programmes d’échange avec les universités étrangères partenaires (Erasmus, Crepuq, Micefa…) aura lieu

le jeudi 22 novembre 2012 de 10h – 12h
en salle G -2, (G « moins 2 », au sous-sol du bâtiment G).

Sont invité.e.s :

• Nos « revenu.e.s » : étudiant.e.s de Paris 8 ayant déjà accompli un séjour dans le cadre d’un de ces programmes

• Les étudiant.e.s en provenance de nos universités partenaires que nous accueillons dans nos cours en ce moment

• et tous/toutes qui voudraient à leur tour partir pour un séjour d’étude à l’étranger. Pour pleinement profiter de cette rencontre, veuillez déjà vous informer sur le site de Paris 8, rubrique Relations Internationales.

Ludovic Maillard, responsable du service Relations internationales étudiants, sera parmi nous pour répondre à vos questions.

Ingolf Diener et Claire Lévy-Vroelant
(co-responsables relations internationales)

Pour en savoir plus : des témoignages d’étudiants du département de sociologie partis en Erasmus

Cours reporté

Le cours de sociologie de l’environnement de Patricia PELLEGRINI n’aura pas lieu le lundi 19 novembre (il est reporté à la rentrée de janvier).

Cours de rattrapage Genèse des sciences sociales 1

Le cours de rattrapage de Genèse des sciences sociales 1 assuré par Florence Bouillon aura lieu jeudi 8 novembre 2012 de 15h à 18h, en salle C224.
Le cours du vendredi 9 novembre 2012 se déroulera comme habituellement en B225.
Pour rappel, un devoir sur table est prévu le vendredi 16 novembre 2012.

L’approvisionnement informel en eau.

Le Réseau d’Études et d’Échanges en Sciences Sociales sur l’EAU à Paris 8, coordonné par Barbara Casciarri, anthropologue et maîtresse de conférences à l’université Paris 8, organise mardi 13 novembre 2012, à partir de 15h30 (salle D104), une conference-débat.
Plus d’informations sur reseauparis8.wordpress.com

Informal water supply outside the informal sector. Social redistribution of water in Khartoum
L’usage du terme « informel » dans le débat sur la gestion urbaine de l’eau est fourvoyant. On y inclut des « vendeurs d’eau » qui opèrent en dehors de l’économie formelle. Mais cet approvisionnement informel par des fournisseurs dont l’objectif est le profit doit être distingué de celui qui se fait par des réseaux de voisinages et selon des principes de solidarité. Un cas d’étude de la zone péri-urbaine de Khartoum (Soudan) montre que l’accès à l’eau des foyers dépend en large partie de ces formes d’échange. La réalité empirique indique que la dichotomie formel/informel est plutôt une « trichotomie », dont les éléments sont les institutions gouvernementales et compagnies privés, les business informel de l’eau, et l’approvisionnement informel non-marchand. Cette économie des biens symboliques permet de saisir l’importance des relations sociales au micro-niveau dans la compréhension globale des waterscapes.
par SEBASTIAN ZUG,
Doctorant en géographie, Université de Freibourg, Suisse

Cours « Etapes » de Agnès Deboulet

A. Deboulet donne rendez vous aux étudiants du cours Etapes le mardi 06 Novembre 2012 à 09h00 précises à Paris, 19e arrondissement, au métro Belleville (lignes 2 ou ligne 11), devant le bâtiment de la Cfdt qui fait l’angle de la rue de Belleville et du boulevard de la Villette. Se munir d’un carnet de notes (et parapluie éventuellement).