violence
Appel à contributions
Avant le 12 septembre - Paris
Le Centre de Recherches Psychanalyse, Médecine et Société (CRPMS) de l’École doctorale Recherches en Psychanalyse de l’Université Paris VII Denis Diderot et La Fédération Nationale Solidarité Femmes (FNSF) lancent un appel à communications pour leur prochain colloque Violences conjugales, pourquoi tant de résistances à en parler ?
Journée scientifique de l’Unité Genre, démographie et société
La première enquête française sur les violences faites aux femmes, ayant une dimension nationale, l’Enveff, a été réalisée au cours de l’année 2000, sous la responsabilité de Maryse Jaspard, enseignante chercheuse à l’Institut de démographie de l’Université de Paris1 (IDUP) et co-responsable de l’unité Genre, démographie et société de l’Institut national d’études démographiques (Ined).
Avant le 22 février - Saint-Louis (Sénégal)
L’année 1975 marque sans aucun doute un tournant important dans la politique internationale sur la question des femmes car c’est à partir de cette date que la Décennie de la femme est proclamée par les Nations Unies. La Conférence de Mexico organisée à cet effet, à la demande de l’Assemblée générale des Nations Unies pour attirer l’attention internationale sur le besoin de développer des objectifs précis et des stratégies efficaces et des plans d’action en faveur de la promotion des femmes, constitue un tournant décisif de l’agenda international sur les questions des femmes.
Séminaire de recherche du CEDREF
Paris Diderot
Rapport d’enquête
30 novembre - Paris
16 juin 2014 - EHESS
Cette thèse propose de comprendre comment les mouvements féministes, des années 1970 jusqu’à nos jours, ont réussi à constituer la violence conjugale en un problème public, à la fois en France et aux États-Unis. Comprendre la problématisation de la violence conjugale nécessite de restituer les pratiques et les représentations des actrices qui agissent au sein d’associations spécialisées, ainsi que les opportunités institutionnelles et professionnelles dont elles se sont saisies pour faire reconnaître leur cause.
La violence envers les femmes, et plus particulièrement la violence conjugale, est et reste une préoccupation essentielle du mouvement féministe, non seulement pour dénoncer le patriarcat et la domination masculine dans nos sociétés mais aussi pour en faire une question éminemment politique.
20 avril - Genève
Peut-on sortir du cycle de violence quand l’extrême violence anéantit la possibilité même de la réflexion ? Les expériences dans l’espace militant turc offrent des réponses à ces questions, et nous permettent d’envisager les dimensions proprement créatives de l’engagement politique.
Avant le 1er février 2014 - Toulouse 2
Qu’elle soit appelée meurtrière, assassine ou tueuse, la femme qui commet un homicide élude les catégories usuelles : elle dérange l’ordre social, bouleverse les rapports de forces symboliques et inquiète les dispositifs judiciaires. De Médée ou Clytemnestre, et de leurs épigones anglophones, à Black Mamba et ses émules contemporaines, la femme qui tue ne cesse de faire retour dans la littérature et les arts visuels : de manière plus ou moins spectrale et sensationnelle, elle y révèle les paradoxes du maternel mortifère, de la criminelle victime de sa victime ou du meurtre autodestructeur.
3-4 octobre - Lyon
La question des violences entre élèves en milieu scolaire est aujourd’hui une préoccupation centrale des institutions éducatives et des pouvoirs publics. Les présupposés sur lesquels elle repose méritent pourtant un examen détaillé : dans quelles conditions peut-on parler de violence entre élèves ? Existe-t-il vraiment, comme on le dit si souvent, des « décalages » perceptifs, normatifs, interprétatifs entre les élèves et les adultes ?