corps
Livre
Poised between fin-de-siècle ambivalence about change and the brave new world of the 1920s, the early years of Third Republic represented a crossroads in the French experience of modernization. This volume surveys how the French engaged with these challenges in light of new developments in social and historical theory and historians’ efforts to use these tools in novel ways.
Après avoir exhorté les pères à couper le cordon ombilical, on a ré-incité les mères à allaiter, puis valorisé le contact peau à peau avec leur nouveau-né, et certains les invitent à contempler leur placenta. Désormais, les parents d’un enfant mort-né sont encouragés à le toucher ou à le photographier. Alors que la confrontation avec le corps des défunts est supposée favoriser le « travail de deuil », la crémation est suspectée de nuire à celui-ci.
L’opposition sphère publique / sphère privée repose traditionnellement sur la division de la société en termes d’identité sexuée, offrant aux hommes l’espace ouvert du politique, du champ de l’action, alors que les femmes se voient le plus souvent reléguées dans la sphère domestique de l’intime et du recueillement symbolisée par la maison.
6 mai - Lyon ENS
Les échanges se feront avec Aurélia Léon, dont le travail porte sur l’auto-défense féministe et le drag-kinging, Philippe Liotard, qui partira de ses recherches sur le sport et la virilité et Cécile Thomé, qui étudie les usages du préservatif chez les couples hétérosexuels.
9-10 octobre - Nice
Au croisement de la sociologie, de l’anthropologie, de l’histoire et de la psychologie, ce colloque a pour objectif de susciter un dialogue entre disciplines et champs de recherche autour de la question du corps et des normes corporelles. Il propose plus précisément d’explorer les processus de régulation sociale des normes corporelles sous l’angle de la (re)production des différences et de l’altérité.
14 octobre - Paris 8
Qu’est-ce qu’un corps valide ? Qui prend soin de quels corps et comment ? De quel corps avons-nous besoin pour être autonome ? Y a-t-il des alternatives à la norme du sujet autonome ? Comment penser les limites internes et externes du corps, de sa chair, de sa plasticité, de sa technicité ?
Journée d’études
8 octobre - Sorbonne Nouvelle
Cette journée d’étude vient conclure le projet innovant « Identités de genre en représentation », qui a donné lieu à un séminaire de recherche de deux ans. Centrée sur les masculinités trop longtemps passées sous silence, elle prend comme point d’appui le trajet intellectuel de Judith Butler elle-même, à qui l’on a reproché, à tort ou à raison, qu’à trop vouloir élargir la notion de productivité performative du genre, on risquait de perdre la matérialité des corps genrés.
Les rapports entre la bouche et le sexe excitent l’imaginaire de l’homme. Depuis la nuit des temps, des écrivains nous montrent le corps comme siège de besoins et d’appétits. Ripailles, beuveries, douleurs stomacales, matières scatologiques, accouplements plus ou moins cocasses, les classiques s’en donnent à cœur joie : Aristophane, Plaute, Pétrone, Boccace, le Pogge, l’Arétin, Noël du Fail, Brantôme, Rabelais...
Journée d’étude des doctorant-e-s ARPEGE
Vendredi 22 octobre - Toulouse
20-21 octobre - Genève
Peut-on penser le corps, la plasticité, le mouvement, la trace, dans une perspective genrée, interdisciplinaire et trans-chronologique ? A la fois outil et objet de connaissance, lieu de plaisir, de désir et de pouvoir, le corps est l’une des formes les plus représentées.