Allemagne
Les féministes « radicales » ont été le fer de lance du mouvement féministe allemand. Leur projet était de s’attaquer à la racine du problème de la condition féminine, en repensant l’ordre social, économique et politique allemand. La revue Die Frauenbewegung permet de reconstituer les présupposés et les enjeux de leurs luttes, ainsi que leurs stratégies de mobilisation.
5 février - Paris
Débat organisée par le MAGE autour de la parution
du n°30/2013 de Travail, genre et sociétés
Paris Censier
Ce séminaire s’inscrit dans un programme de recherche en cours (coopération entre l’Université Sorbonne Nouvelle, Sciences Po-Paris et l’Université technique de Berlin), dont le but est de lancer un dialogue franco-allemand sur l’Europe du XXe siècle et ses conflits guerriers.
Thèse
9 décembre 2011 - Strasbourg
Anne-Laure Briatte-Peters soutiendra sa thèse en co-tutelle intitulée "Citoyennes sous tutelle. Le mouvement féministe radical dans l’Allemagne wilhelmienne. Présupposés - enjeux - stratégies" le 9 décembre 2011 à 14h, à Strasbourg, au Collège Doctoral Européen (Petit auditorium).
Table ronde
9 octobre - Paris
Dans les années 1970, en pleine « deuxième vague » féministe, on a pu lire les premiers travaux allemands et français sur l’histoire des mouvements de femmes en Allemagne. Les féministes visaient à explorer l’histoire de leur propre mouvement dans une perspective identificatrice. Malgré ces débuts prometteurs, la recherche française sur les féminismes allemands restait, à l’aube du XXIe siècle, toutefois lacunaire. Le présent ouvrage s’inscrit dans le renouveau historiographique qui caractérise actuellement l’histoire des femmes et du genre.
Colloque junior du CIERA
Avant le 22 mars
Partant du constat que les identités « à la marge » sont devenues un sujet central dans un grand nombre de recherches ces dernières années, nous avons souhaité questionner d’une part le concept « d’identité », et d’autre part la manière dont les identités marginales se construisent, collectivement et/ou individuellement.
« Pouvoir au féminin » : l’association de ces deux termes ne va pas de soi, suscitant controverses et questionnements multiples. Et d’abord que recouvrent-t-ils au juste ? A la lumière de sa fragilité et de sa brièveté, le pouvoir est souvent taxé d’illusoire. Quant au féminin, cette notion se trouve fortement relativisée depuis que des philosophes contemporains ont contesté son caractère inné.
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